Malheureusement, vous éludez le problème de fond. Le agriculteurs français ne sont pas hostiles à la remise en valeur de pratiques culturales anciennes plus vertueuses, qui permettraient de s'affranchir du des produits phytosanitaires, et d'économiser l'eau. En revanche, ils ne peuvent accepter de fournir toujours sans cesse toujours plus d'efforts et de sacrifices, sans disposer d'une juste contrepartie , notamment en terme de valorisation financière de productions végétales et animales dont la productivité va nécessairement diminuer. Dans ce contexte , la logique économique consisterait à promouvoir un cahier des charges applicable à l'échelle de la des pays de l'union Européenne pour la mise en œuvre de pratiques agroenvironnementales (validées par des Ingénieurs agronomes, et non pas par des administratifs dogmatiques qui n'ont jamais mis les pieds dans une ferme), en considérant que l'inévitable baisse de la productivité, mais la hausse supposée de la qualité des produits, doivent nécessairement s'accompagner de prix minimums garantis dans le périmètre du marché Européen , en appliquant logiquement le principe de LA PREFERENCE COMMUNAUTAIRE. En d'autre terme, et chacun peut le comprendre, la retour à une agriculture "biologique" plus respectueuse de l'Environnement passe impérativement par le rétablissement d'un MARCHE AGRICOLE EUROPEN PROTEGE, privilégiant la primauté et la valorisation des Label de qualité agroenvironnementaux mis en œuvre par nos agriculteurs. Mais au lieu de cela, la Commission Européenne et de Hauts fonctionnaires ont déconstruit subrepticement le principe initial de "la préférence Communautaire "pourtant inscrite dans les traités de l'Union, pour développer un système cynique et destructeurs de "DEROGATIONS SYSTEMATIQUES" délivrées , sans justificatifs et qui permettent à des producteurs, situés hors de l'espace Communautaire, d'inonder littéralement le marché européen de nombreuses importations agricoles, EN FRANCHISE TOTALE DE DOUANES, alors que notre agriculture est en capacité de les produire. S'ajoute à cela le fait que ces importations massives sont transportées sur des distances conséquentes, avec une empreinte carbone significative , et que d'autre part tous ces produits agricoles sont élaborés à travers des filières qui répondent rarement aux critères de qualité imposés aux producteurs européens. En définitive , la politique agricole communautaire actuelle est uniquement conçue pour favoriser l'industrie agroalimentaire qui recherche le plus souvent, des produits agricoles au prix le plus faible pour les transformer en produits commerciaux....Et peut importe que les matières premières de base soit européennes ou sud américaine ou ukrainiennes, ..seul compte lle profit maximum. Nous ne pouvons pas admettre ce double jeux arrogant et cynique de la part de la commission de Bruxelles, qui s'est volontairement engagé dans une ERADICATION des agriculteurs de l'Union. La situation est d'une extrême gravité, car c'est la sécurité alimentaire de la France et de l'Europe qui sont en jeux , et nos dirigeants le savent parfaitement. La Commission de Bruxelles ne plus persister à outrepasser ses prérogatives, à travers un SYSTEME AUTOCRATIQUE qui ne veut pas dire son nom. L'agriculture européenne est notre bien commun, et il exclu de laisser une Commission aux pratiques douteuses, opaques et incontrôlables continuer à distribuer sans justifications des dérogations pour des importations en franchises totale de douanes , CANCER DE NOTRE AGRICULTURE. L'actuelle Commission de Bruxelles, exclusivement composée de hauts Fonctionnaires, non élus doit rendre des compte MAINTENENT sur toutes ses pratiques, incohérentes et destructrices de notre économie agricole. Les organisations professionnelles agricoles européennes doivent résolument l'exiger à travers une action concertée, et sans concession.
@AudreyR_TV11 ай бұрын
La nécessité d’introduire un minimum de protectionnisme pour empêcher des produits moins cher et bourrés de pesticides de venir de l’autre bout de la planète, c’est pourtant la fin de mon intervention.
@Vengo-s3o11 ай бұрын
Ils eludent car ici ce n'est pas du tout le sujet ici. A t'on intérêt à effectuer une transition d'une agriculture conventionnelle et intensive vers des pratiques agroecologiques ? La réponse est oui, 1000 fois oui. Après votre long commentaire est intéressant dans les deux configurations. Là ils ne font qu'interroger les pratiques et l'esprit de notre agriculture
@jeromepoupou10 ай бұрын
Ce qu'il disent les journalistes, c'est une chimère ! Les industries sont là pour se faire de l'argent et ils en veulent toujours plus ! De toute façon, il ne faut pas se voilé la face , avec tout ce que , nous avons mangé pendant des années traiter par les pesticides, on est déjà mort !😢