L’envers du décor des applications de livraison : Uber Eats, Doordash, Foodora, etc. | Actualité

[@MaximePaquette]

J'aime beaucoup vos reportages chez Rad. Continuez votre bon travail. :)

[@scr347]

J'ai commencé à regarder ces vidéos pour améliorer mon français. Mais les sujets sont très intéressants aussi! J'utilise jamais les services comme UberEats - ce n'est pas juste pour les restos. Merci Rad :-)

[@glygriffe]

Intéressant. Merci, Rad! Est-ce qu'une association de restaurateurs pourrait développer leur propre plateforme? À la manière de Michel Nguyen, mais en amortissant les salaires des livreurs sur plusieurs restos autrement indépendants? C'est sûrement plus de gestion et un investissement, mais le profit par livraison serait possiblement plus grand... Je me demande si quelqu'un au Québec a déjà fait ce calcul...

[@CryptoTwentix]

C'est exactement la réflexion que je m'étais faite! On s'enligne vers ça selon moi, ces plate-formes ne survivront pas, au prix qu'elles engendrent.

[@weplayontheroad]

L'association des restaurateurs travaille pour eux-mêmes et noon avec les restaurants à leur côté...

[@thisisnotme21]

Quand vous faites de tels contenus, wow ! Merci !

[@patchammas6450]

Super intéressant! Ça fait réfléchir sur la structure de ce type d'application un peu fantôme permettant, comme Foodora, de juste quitter un pays du jour au lendemain. C'est assez spécial. Merci beaucoup de nous partager cette réalité!

[@elgadaouiothmane5797]

Très intéressent ! Merci RAD.

[@mendibourenathaliegilbert6065]

Excellent reportage, comme d'habitude. Bravo

[@strugu27]

Le reportage m'a donné le goût de m'acheter un bike, au printemps prochain, et d'en faire quelques fois par semaine 😅

[@tooburn]

ca vient quand meme avec des plus et des moins. Si tu deviens employé, c'est sur le salaire va baisser, tu ne choisi plus ton horaire, tu ne peux pas refuser les livraisons qui te sont assignés, tu vas avoir un patron. Il faut faire la part des choses effectivement.

[@MissFunkyH]

La cause des livreurs au Canada, en Ontario du moins, avance. Cherchez le nom de David Heller, il est actuellement en cours pour obtenir plus. Merci Rad pour ce reportage!

[@mapalo3]

Super intéressant!

[@watchchill789]

C'est bien comme travail complémentaire à temps partiel, c'est fun mais à plein temps ,c'est vivre dans l'inconnu, si tu tombes malades, c'est à vos frais, en cas de blessures aussi !

[@Rapolitik]

🙌👏

[@karencote7502]

Ils font comment en hiver ? Toujours en vélo ?

[@krymz1]

Fat bike avec des clous, et des trippes en aciers.

[@samueldufault9933]

le même vélo, mais avec des pneus d'hiver. pis des mitaines. pis des bottes Sorel. pis 25-40% plus de revenus.

[@karencote7502]

Good job les gars 😊 on voit bien que vous trippez

[@nadiagm8788]

Tu peux aussi livrer avec ta voiture. Moi c'est ca que je fais .

[@youtubehub8190]

0:42 ces applications visent à "faciliter la vie" . . . . . cough cough "faire de l'argent"

[@michaelddesrochers2546]

Pk 30% .. ce n'est même pas eux qui prépare et livre la bouffe .... 10% serais assez pour faire vivre l'application et faire des profits...

[@mialaurin2803]

J'adore!

[@lesaustisdideesdaustin-did5758]

Et si, pour offrir une sécurité financière aux livreurs, au lieu de se battre pour qu'ils soient reconnus comme des salariés et non des travailleurs autonomes, on n'améliore pas les biens de base offert par la société, par exemple avec un revenu de base universel?

[@asabovesobelow7]

Un peu weird que les recherchistes ont reach out à 2 white boys en bike quand la majorité des travailleurs dans le domaine sont issus de l'immigration qui, pour la plupart, ont accès à beaucoup moins de ressources que ces 2 gars-là. Mise-à-part ça, bon topo!

[@lazonecjaq3456]

Interesent et divisé

[@brunobrisson-leveille5780]

Je suis allez au mcdo et j'ai commander a l'auto ensuite je me suis parquer la jai vue les employés mettre sur un chariot a côté de la porte les repas à emporter de uber eat ben tabarnak jai eu le temp de mangé tout mon lunch et fumer ma cigarette et le livreur avait même pas pris la commande encore !!!!!alors tu commence du Mcdo ta ton lunch 40 min aprescquil sois fait cest degueulasse ne commander jamais de Mcdo avec uber eat!!!!

[@strugu27]

Faut pas généraliser, y'a des milliers de McDo au Québec 🤦🏻‍♂️😂

[@fcmhockeyvideos]

Pour être un livreur Uber Eats, je dois dire que les maudites commandes McDo, j'en ai plein le cul. C'est de loin le pire restaurant avec les livreurs. La majorité des restaurants prennent la peine de préparer ou commencer à préparer les commandes pendant qu'on se dirige vers le resto. Au McDo, le livreur doit aller dire à la caisse qu'il est là, et là, ils nous mettent en attente au même titre que les autres clients. On peut y perdre 15 minutes à chaque fois, facilement. McDo nous fait perdre énormément de temps et ramène à la baisse le taux horaire auquel on travaille, car notre but est de faire le plus grand nombre de livraisons possible (plus de tips et plus de commissions).

[@Learnbynet]

l'esclavagisme modern qui ne cesse de ce perfectionner !

[@viziontrex]

En quoi est-ce que la rémunération qui est bien au-delà du salaire minimum, la possibilité de quitter quand on le veux et la possibilité de travailler à son gré pourrait être qualifiée d'esclavage?

[@baby.criminal]

@@viziontrex Faut quand même voir au-delà du taux horaire. Aucune assurance, aucun fond de pension. C'est des jobs qui sont exigeantes physiquement, un certain mode de vie s'impose si tu veux continuer sur le long terme. Les visites au physio/chiro doivent commencer à s'accumuler après quelques années. Si les routes de Montréal sont raides pour les voitures, à vélo c'est ton corps qui amorti le choc.

[@Nowheremovies]

@@baby.criminal Une majeure partie des emplois à taux horaire régulier n'offre aucune assurance/fond de pension ou bien ça prend des années avant de les avoir. C'est pas mal le cas aussi avec la plupart des travailleurs autonomes, que ça soit en post-production video, en arts, entrepreneurs etc... C'est pas pour le moins de l'esclavagisme. Ya aussi beaucoup de jobs avec tous ces services mais qui traitent comme des esclaves. Dans le cas de ces livreurs, ils ont choisi un travail haut risque haute récompense. Plein de jeunes n'arrivent même pas à trouver des emplois à 25$/h avec leurs diplômes.

[@baby.criminal]

@@Nowheremovies Ah, inquiète toi pas, je suis d'accord avec tout ça. C'est pas moi qui va défendre UberEats, le patronat ou le capitalisme en général. Je voulais juste apporter une nuance au post précédent.

[@jean-phil]

tu réalise qu'ils ne sont pas obligé de faire ce métier ?

[@hicetnuncmonamour]

Reporte intéressant mais beurk.

[@LC-kk9kc]

En France nos livreurs sont des migrants illégaux ou des étudiants maghrébins

[@karencote7502]

L'appli fonctionne selon l'offre et la demande. C'est super payant ici parce qu'il y a pas beaucoup de livreurs comme y en a en France. Quand j'habitais à Montpellier on disait qu'il y avait 2 types d'étudiants ce qui livrent et ceux qui se font livrer.

[@julien8548]

faut vraiment être paresseux pour se faire livrer sa

[@jean-phil]

j'suis d'accord mais bon j'imagine que qd tu habite loin du restaurant en question et que tu n'a pas d'auto ... surtout en période de pandémie qd tu veux éviter les transports en commun

[@jeanfrancoisdutremble9022]

en temp de fausse pandemie ;)

[@kweeFilms]

Nul.