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La récente visite du ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, à Damas met en lumière les contradictions et l’hypocrisie de la diplomatie algérienne. Alors qu’Alger se positionne officiellement comme un défenseur des principes de souveraineté et de non-ingérence, ce déplacement illustre un rapprochement opportuniste avec le régime syrien de Bachar al-Assad. Entre cynisme diplomatique et quête d’influence régionale, cette visite s’inscrit dans une stratégie où les discours de principes masquent des calculs géopolitiques bien plus pragmatiques.