La misandrie de France 2 / Violeuse pédophile

Que les mots sont bien choisis, ainsi que les associations et comparaisons. Si c'était un homme, que n'aurait-on pas dit ici ! L'homme aurait été désigné dans le langage et par le langage de prédateur, de pédophile, de monstre, de violeur, de criminel et de pervers, et on aurait parler de " petite victime ", etc.
Rien de tout cela dans ce reportage qui exprime le sexisme envers les hommes de France 2, et qui traite la femme "de manière plus que compréhensible". Le sexisme : "attitude de discrimination fondée sur le sexe, et séparant un groupe social (sexué) de l'autre, en le traitant plus mal. " Si le sexisme n'est pas condamnable nécessairement, il l'est ici, car le journalisme du Service publique est tenu à la neutralité et à une éthique de la responsabilité. FRANCE 2 est officiellement en lutte contre le sexisme bon enfant des hommes, c'est-à-dire quand c'est vous les hommes. Pris dans leur fange contradictoire et la perversion des valeurs et principes affichés, le journalisme du Service publique nous démontre, une fois de plus tout comme l'Etat sexiste français (PS et UMP), qu'il n'aiment pas les valeurs qu'ils veulent vous imposer chez vous à la maison et dans la rue ! On aimerait autant de compréhensions quand il s'agit d'un homme, mais aussi les mêmes mots, comparaisons et associations choisies !
Je ne suis pas là pour juger les actes de cette femme, mais je voulais mettre en évidence une discrimination fondée sur le sexe, selon qu'on est homme ou femme, par un journalisme, mais aussi un gouvernement et un corps enseigant si enclin à vous donner des leçons de sexisme, et qui sont discrédités à jamais !
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Mais il n'y a pas que France 2, on lit le lundi 3 septembre sur Yahoo :
"Une enseignante condamnée pour relations sexuelles avec un élève de 12 ans"
Une enseignante d'un établissement catholique traditionaliste de Vendée a été condamnée lundi par le tribunal correctionnel de La Roche-sur-Yon à six mois de prison ferme pour avoir eu des relations sexuelles avec un élève âgé de 12 ans
on ne parle pas ici de viol....comme on aurait fait pour un homme !
La victime, d'origine anglaise, était scolarisée en CM2 à l'école privée Nazareth de Chavagnes-en-Paillers (Vendée), quand la liaison a commencé.
on parle comme si il y avait eu un consentement mutuel
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A LIRE sur le sexisme officiel : • La misandrie ordinaire...
E. Jourdain, Psychanalyste (Université de Caen)
France 2 05 09 2012