Merci à Véronique pour le témoignage de sa foi catholique, fidèle à l’enseignement de Jésus et de son Église qui éclaire tout homme venant dans le monde. Je partage aussi son analyse sur les contradictions mortifères du pape François (5’ 33’’ - 5’ 51’’ et 21’ 33’’ - 22’ 10’’) et la nécessité d’enseigner à nouveau les bases de la foi (2’ 04’’ - 2’ 10’’ En Belgique, ces bases ont été enseignées dans leur intégrité jusque vers 1967 (?), année où il fut décidé de renoncer à l’enseignement du catéchisme). Myriam pour sa part témoigne de sa foi protestantisante (25’ 29’’). Cela a de l’intérêt pour ceux qui s’intéressent à la foi de Myriam. Quant à l’Abbé Mawet, il illustre ici la « dictature du relativisme », dénoncé par le pape Benoît XVI, qui ramène la foi catholique au rang d’une conviction parmi d’autres. Une fois le forfait accompli, l'Abbé Mawet poursuit : « vos convictions ne sont pas les mêmes, mais c’est ça la richesse. C’est ça le vivre ensemble en Église » (20’ 03’’ - 20’ 10’’). Non, la lumière et les ténèbres, la grâce et la lumière, la vérité et l’erreur sont radicalement irréconciliables. De même que pour créer, Dieu a séparé, pour créer une unité et une paix authentique en Église, nos pasteurs doivent séparer la vérité de l’erreur afin que tous soient consacrés dans la Vérité ; le reste (même s’il s’agit du synode du pape François) vient du Mauvais.
@etiennelezaack563920 күн бұрын
Correction: il fallait lire "la grâce et le péché" et non "la grâce et la lumière".
@JJLD-se5zn17 күн бұрын
Le "signe des temps" c'est quand même ce grand foutoir dans l'église des catholiques...une femme complètement allumée qui vit visiblement sur une autre planète et une autre qui devrait être cohérente avec elle et quitter tout cela ! ou alors elle n'a plus sa raison d'exister (comme d'autres cathos dits "progressistes" alors que c'est en soi une antinomie) que parce qu'elle joue ce rôle d'apparente contradiction, ce qui au final l'arrange peut-être très bien. Quoi qu'il en soit, c'est bien l'heure de la déglingue finale !