Merci pour ce subtile et tendre moment.... Merveilleuse Sophie, l'élégance, le charme, la vivacité d'esprit réunis en un personnage inspirant et qui fait un bien fou !! Interview menée avec bcp de délicatesse.... Je regrette que ce soit déjà terminé.... Merci encore.
@indesophie4043 жыл бұрын
Bravo à Lauren Bastide pour cet interview. Et merci à Sophie Fontanel pour avoir partagé ses moments, ses sentiments et son regard.
@kattail14293 жыл бұрын
Quelle lucidité et quelle facilité à parler de soi (pour une femme) et de ses drames personnels. C'est impressionnant !
@mia_choi3 жыл бұрын
Merci bcp pour le sous titre !
@julietted.29513 жыл бұрын
C'est un joli moment et de véritables échanges entre femmes au sujet des relations hommes et femmes aussi.
@noraiza10723 жыл бұрын
Elle est géniale cette femme Trop cool Je la découvre Merci
@glot45613 жыл бұрын
J'aime bien votre podcast !
@rlv2409 Жыл бұрын
Géniale !
@marinaklein85573 жыл бұрын
Can someone please tell me the name of the song at the intro?
@nnae432311 ай бұрын
Que j'aime cette femme
@better.call.pauline3 жыл бұрын
Je ne comprends pas comment on peut se considérer féministe en tant que journaliste de Elle. C'est un magazine dont les valeurs implicites sont profondément rattachées au patriarcat, qui défend, de par les thématiques abordées, cette idée que les femmes devraient impérativement prendre soin d'elles, cuisiner, soigner leur intérieur, etc. Ce sujets, mode, déco, cuisine, raisonnent en moi comme des présupposés auxquels on me rattache parce que je suis une femme, alors que je n'aime pas spécialement le shopping, ne m'intéresse ni à la mode, ni à la cuisine ou à la déco. Je préfère mille fois lire des magazines de science et je m'intéresse à des activités plutôt connotées comme "masculines". J'avoue ne pas comprendre quand l'invitée dit "je suis un peu androgyne". Pour ma part, ça ne me viendrait jamais à l'esprit, au grand JAMAIS, d'écrire dans un magazine féminin. Rien que d'ouvrir une page de Elle me donne la nausée tant le contenu me rappelle tous les amalgames auxquels je fais face au quotidien. Comment peut-on se dire androgyne et se jeter à corps perdu dans cette fabrique à préjugés sexistes que sont les journaux féminins ? Ne faudrait-il pas, s'il l'on souhaite abolir les diktats liés à l'apparence et j'en passe, boycotter les journaux féminins ? Ils sont les premiers à nous casser les ovaires avec des images photoshopées, des pubs pour des produits antirides, des conseils de régime et j'en passe... Il me semble que ces journaux perdurent non en raison des injonctions patriarcales des hommes mais de notre porte monnaie. La déconstruction, il me semble, passe la remise en question de notre consommation culturelle !