La Réunion, un joyau écologique

L'île de la Réunion, un trésor environnemental que nous allons étudier.
Tout comme la route du Maïdo.
Partant du village du Guillaume et longue de 18 km, cette célèbre route vous guidera à travers des espaces sauvages uniques de l'île, le long du littoral et à travers les terres.
Une aventure incontournable à la Réunion, île riche en végétations indigènes qui doivent être préservées de l'activité humaine.

[@fabianbroeckx632]

❤ 974 ❤ lé le plus zoli pëis

[@JeanThevenet]

Cette ile est actuellement profondément sinistrée par des mauvais choix de transports et de tourisme aggravant la sur-population (320 hab/km carré = Japon) 19:40 c'est la vigne marronne, on a introduit la mouche bleue en prédateur c'est un rare cas d'opération qui a eu des résultats sensiblement positifs. 20:36 20:56 ce paysage n'existe plus: ajoutez une couche de longose qui cache le sol pour la vue "moderne" de cet endroit On ne voit pas encore de longose sur ce reportage. 22:02 le chant du tec tec. 24:47 le bringellier marron, seule plante capable de décaper du cambouis les cassettes et chaines de vélo. Dans le reportage que le problème des plantes invasives était pressenti. Les survols motorisés ont dénaturé les lieux (on n'entend plus la nature par beau temps: il y a 130 ULM, 40 hélicos plus de 200 mouvements par jour dont 180 (66.000 par an rien que d'hélico). C'est l'ile du tout voiture, plus de 400.000 voitures (sur "on en parle" de Réunion première émission en cours sur l'avenir des mobilités les curieux trouveront le podcast) et du tourisme par hélicoptère ( 23:31 c'est comme ça dans 40% de la surface de l'île, mais avec des hélicoptères plus puissants et plus sonore encore que ceux de cette époque, la pollution sonore des modèles actuels est plus massive car on a actuellement 8 aéronefs H130 (les pires) et 40 en tout la plupart étant des H125. 30 à 100 survol/jours dans les cirques, la DGAC avoue 66.000 mouvements/an en 2022 dont moins de 10% autre que loisir-tourisme, sans compter les ULM et avions ni les terrains de posé autre que hélistation et aéroport, donc chiffre sous-estimé), Les drones de loisirs ont aussi mis en fuite une partie des papangues, il en reste moins de 200 couples au monde, mais le Parc National déjà décors de survols d'hélicos ou d'ULM se prête bien à l'usage des drones de loisir qui est très intrusif et semble faire autant de dégâts que les survols motorisés bruyant et spectaculairement envahissant. 17:54 on voit une TS50 de suzuki, c'était la mobylette "nationale" (le seul 2 roue sans permis qui peut monter dans les haut, mobylette à vitesse pseudo moto cross, il en reste une, ou 2 à Cilaos...)