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Chronique d'un coup de coeur du début de l'été, LA ROUTE, une bande dessinée de Manu Larcenet. Adaptée du roman de Cormac McCarthy.
On évoque évidemment l'auteur de No Country for Old Men, ses adaptations au cinéma et cet embouteillage de films/ Séries/ jeux vidéos post- apo qui ont suivi la parution du roman : je n'en ai cité que quelques uns, l'objectif n'était pas tant d'être exhaustif mais de prendre le pouls d'une époque, celle du milieu des années 2000 et du début des années 2010.
Et comme j'étais passé faire un aller/ retour en région parisienne (j'avais oublié ma femme), j'en ai profité pour corriger deux ou trois trucs dans ma chronique d'où ce choix audacieux du noir et blanc.
Notez que je vanne Christopher Nolan pour l'utilisation du noir et blanc dans les séquences du présent. Ce n'est pas tout à fait ça dans OPPENHEIMER. C'est surtout BETTER CALL SAUL qui utilise le noir et blanc à contre courant d'une règle établie. En effet, dans la série de Vince Gilligan, on ouvre une saison avec une séquence en noir et blanc qui raconte les événements en cours de son personnage principal. Tout le reste sont des événements du passé ( en couleurs, donc). Mais je n'ai pas envie de vanner Gilligan. Notez que je n'ai rien contre Nolan, hein. Il me fait l'effet d'un vieux prof sentencieux, avec sa veste en tweed et ses coudières, qui fume la pipe pour se donner une constance.
Je suis sûr qu'il s'endort en s'écoutant parler.
Ma vision de Nolan, pas Nolan lui-même.
Merde, faudrait que j'arrête de dégueuler des bêtises dans le descriptif de la vidéo.
"À défaut de tirer les connes, il tire à la ligne".
Mettez le pouce en l'air, bande de médisants.
PS. encore un erratum, concernant THE WALKING DEAD. Le conflit était entre Darabont et la chaîne AMC . Par contre il y a bien une bisbille entre Del Toro et Mignola.