La surveillance des fonctionnaires fédéraux au bureau passe mal

Les principaux syndicats de fonctionnaires fédéraux digèrent mal la surveillance des employés qui sera faite par la direction pour s’assurer qu’ils se présentent au bureau un minimum de trois jours par semaine. Les méthodes utilisées vont de la simple observation à l’analyse des données informatiques. Angie Bonenfant vous explique.
--
Rendez-vous sur notre site web pour consulter tous nos contenus :
ici.radio-cana...
Pour ne rien manquer, abonnez-vous à notre infolettre :
ici.radio-cana...
Et à nos autres plateformes :
TikTok : / radio.canada.ottgat
X : / iciottgat

[@momonp14]

BONNE CHOSE

[@marie-franceFortin]

Bien d'accord avec les syndicats federaux ici. C'est un retour a l'age de pierre.

[@sebastienbosse7344]

Hahaha... "L'employeur peut les surveiller si ils travaillent?" C'est pas juste normal?!? J'invite votre votre journaliste à se partir une entreprise avec son argent personnel à engager des employés et... à ne pas les surveiller si ils travaillent!!!. Je me demande toujours comment ces gens en arrivent intellectuellement à trouver anormal ce qui est juste du bon gros bon sens!!! Du grand RDI ici!!!

[@cloutanejp]

La ligne est mince entre le micro management et la surveillance. C’est sûr que s’il y as des problèmes de performance ou de rendement, ça prends de la surveillance, mais ces cas sont marginaux et pour la plupart, c’est juste un gros manque de respect et de l’infantilisation de la part de l’employeur car la grande majorité de la fonction publique travaille comme il se doit. Personnellement, si mon boss me demanderais de revenir au bureau pour « me surveiller », ça prendrait pas deux minutes que je serait sorti de là. Si je fait mon travail j’ai pas besoin qu’on me « surveille » comme un enfant. Vas falloir que les business s’ajustent à la réalité du télétravail, ce que fait le gouvernement ce n’est que de la régression.