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La Taxonomie européenne définit les conditions selon lesquelles une activité économique peut être qualifiée de durable sur le plan environnemental. Cet outil impose de nouvelles obligations de reporting aux entreprises, notamment leur chiffre aligné avec la Taxonomie. Nouvelle "boussole" des investisseurs et des entreprises, elle a vocation à réorienter les financements vers des activités durables. Concrètement, quelles sont les obligations ? Qui est visé ? Comment la mettre en pratique ? Comment va-t-elle évoluer ? Les participants à cet atelier : Nicolas TAUZINAT, Aurélien Girault, Pauline Becquey. #big2022
Petit erratum concernant la présentation (et après validation et relecture de l'article 7.3 de l'acte délégué européen) : les entités UE ou non-UE qui ne sont pas soumises à la future CSRD sont exclues du périmètre du calcul du ratio vert (plus spécifiquement, du numérateur) des acteurs financiers. En conséquence, elles n'apparaîtront donc pas au calcul du numérateur du "green asset/investment ratio"...
Cela dit, et pour "corriger" cette exclusion de périmètre (sans pour autant inclure "tout le monde"), la CSRD prévoit :
en 2027 (sur exercice 2026) les PME cotées de l'UE seront soumises à l'exigence de part verte, ce qui élargit l'assiette d'éligibilité ;
en 2029 (sur exercice 2028), les entreprises hors UE dont le CA au sein de l'UE est supérieur à 150M€ seront bien assujetties à la CSRD.