LES 7 CHOSES QUI CHANGENT AVEC UN DIAGNOSTIC

[@sabvital]

Coucou ma copine en pyjama!! je peux enfin me poser car j'ai cassé mon téléphone et j'en ai eu un en prêt mais avec lequel j'ai du mal! j'aimais bien mon vieux tèl! il avait 8 ans! donc un peu perturbée car cela a contrarié mes habitudes! du coup suis sur mon ordi et pas l'habitude, donc pour une majorité de personnes ils trouveraient ça futile, mais des personnes autistes comprennent ce que je peux ressentir dans cette perturbation. Je fais partie des personnes qui pensaient que ça ne servait à rien de se faire diagnostiquer lorsque l'on est plus âgé (53 ans) et j'ai été dans le déni puis le rejet en me persuadant que je savais gérer... Puis arriva mon 4ème burn-out avec une profession qui me passionne pourtant! et là j'ai enfin lâché prise...je me suis rendue compte que je n'arrivais plus à compenser et m'adapter, j'étais épuisée à nouveau! J'ai reçu le diagnostique avec effarement (je pensais avoir "des traits" autistiques tout au plus) et aussi intégré les co-occurrences (TDAH, trouble anxieux jugé sévère, trouble compulsif alimentaire, TOCS, hypersensibilités au bruit, odeurs, toucher) Se regarder tout à coup en face après autant d'années a été douloureux je l'avoue et je suis passée par plusieurs phases entre colère et grande tristesse Après le diagnostique ce qui a été salutaire pour moi a été de poursuivre en TCC (thérapie cognitive et comportementale) auprès du psychiatre et de la psy m'ayant diagnostiquée et pré diagnostiquée... thérapie que je poursuis toujours et qui m'aide énormément à me réapproprier qui je suis Passé les événements difficiles je peux affirmer aujourd'hui que ce diagnostic m'a apporté une nouvelle naissance! Oui comme tu le dis l'estime de soi enfin améliorée et aussi une meilleure compréhension de l'entourage, des professionnels...plus je m'affirme et moins je me trouve confrontée à des personnes qui rejettent mon diag Cela m'a aussi permis d'être protégée au niveau du travail : reconnue également en ALD j'ai enfin accepté que cette profession n'était plus pour moi Je suis en cours et dans l'attente d'une pension d'invalidité, je vais être licenciée pour inaptitude et suis prise en charge par CAP emploi qui m'accompagne pour une reconversion en tenant compte de mon diagnostique. In fine c'est une libération, un apaisement et un nouveau départ Merci pour cette nouvelle vidéo et courage à nous tous!😊💫🤘✊💖💙

[@joana.en.pyjautiste]

merci pour ton beau témoignage plein d'espoir ! Oui, je comprends tellement pour ton problème de téléphone, on est paumé dans ces moments là, bon courage pour te le réapproprier, et bonnes fêtes de fin d'année chère amie 💙🥰

[@Vmj-uz9pu]

Ah bon y'a pas que moi qui suis vite paumée s'il faut changer qqch. Une nouvelle tablette, un nouveau compte email, l'horreur ... Même mon panier à linge.... je garde le vieux... ça me rassure de n'être pas seule comme ça car comme tu le dis si bien pour nous, on se sent tellement mal de n'être pas "normal". Tes videos me font du bien car j'apprends à m'accepter. 56 ans et pas diagnostiquée. Mais je le sais que je suis autiste pourtant je me sens 'imposteur'. Enfin... Et on me fait douter. Courage á nous !😊

[@Sherkhan1962]

Curieusement, les proches acceptent plus facilement le diagnostic de leur garagiste, sans remettre en cause son expertise professionnelle, quand il leur annonce que le joint de culasse de leur voiture est foutu : personne ne lui dit qu'il se trompe, qu'il ne connaît pas son métier, etc. (En plus, c'est risqué, c'est un coup à se prendre un coup de clé à molette et à repartir à vélo !) Il faudrait creuser ce que recouvre ce déni d'un diagnostic médical. En fait, il faudrait presque faire une sorte de guide pratique du coming-out à l'intention des proches.

[@maybreathingstone]

Personne ne dit au garagiste qu'il se trompe... Sauf si la voiture appartient à un autiste, qui aura potassé la mécanique pour l'occasion et qui saura précisément si le joint de culasse a réellement besoin d'être changé. Parce que, vous savez... On n'est jamais mieux servi que par soi-même 😉

[@lilipictures1975]

Très très d'accord!

[@sonyagirodon9510]

J'ai 54 ans, et c'est suite à un burnout/dépression (février 2024) que je suis entrain de faire le diagnostique.... C'est une période très étrange dans ma vie, mais c'est super important pour moi de faire ce bilan, et de savoir une fois pour tout "ce qui ne va pas chez moi". Merci pour vos vidéos que j'ai découverte la semaine dernière, grace à une amie autiste.

[@blanche5777]

Merci pour cette vidéo. Je n’ ai pas l’énergie de développer mais 3 ans après mon diag j’apprends encore mais je vais beaucoup mieux . Alors oui 👍 un diagnostic est libérateur et aide énormément à identifier nos particularités.

[@Acequeen83]

Bonsoir Joana, Contente que la pose de ton diagnostic t'ait apporté tant de changements positifs. De mon côté, j'ai pris un rdv en libéral car je n'aurais plus la capacité psychique d'attendre 2 ans voire plus... Je dirai que la pose de diagnostic "valide" les difficultés rencontrées au travail et "valide" donc également la mise en place d'aménagements ! Rien que pour cela ça vaut 1000 fois la peine. Je suis incapable de tenir un boulot plus de 3 mois sans me mettre en arrêt, me pensant bonne à rien et à remiser à la déchetterie... Et, en second lieu, l'aval d'un ou plusieurs professionnels de santé spécialisés en TSA de ce diagnostic, effacerait, en partie, ce fameux syndrome de l'imposteur... Effectivement, pour l'entourage hélas, c'est selon leur propre capacité à bien vouloir comprendre des fonctionnements différents des leurs...mais on n'a pas de prise dessus, sinon le lâcher-prise justement, mais plus facile à dire qu'à faire. Rien que d'évoquer ce diag, plusieurs de mes proches pretendent comprendre puis me disent : au fait, t'as qu'à faire caissière (car je ne trouve pas de poste dans ma branche) et il va de soi que je serai bien INCAPABLE de travailler dans ce genre d'environnement. Et ceci est un exemple parmi TANT d'autres. Je dois faire des efforts, je suis feignasse etc. Ça ne m'étonne pas de cocher les cases de dépression chronique et de TAG... Courage à toutes ceux et celles qui sont sur ce chemin de croix ! Force à vous.

[@maybreathingstone]

Force à toi aussi ❤❤

[@Acequeen83]

@maybreathingstone merci 😊

[@zabimus]

Bonjour Joana, merci pour cette vidéo Je suis en cours de diagnostic et dans quelques mois j'aurai le résultat. Ce que tu partages correspond tout à fait à ce que j'attends. La culpabilité et le sentiment de n'être jamais à la hauteur de ce que les autres attendent malgré mes efforts et sans trop comprendre pourquoi, je connais cela. Je vais sur mes 62 ans et je vis avec ce poids depuis toutes ces années. Si mon diagnostic est positif, j'espère bien en tirer tous ces bénéfices dont tu nous parles. Merci encore pour toutes tes vidéos qui m'accompagnent bien dans ma démarche.

[@cortek29]

Merci infiniment pour votre qualité de travail sur vos vidéos. C'est libératoire, vraiment. Merci 🙏

[@AmparoSeith]

Merci pour cette vidéo, Joana. J'ai eu mon diag le 4 décembre 2024 avec des comorbidités et pour l'instant, je suis en PLS. J'ai eu un psychiatre adorable - qui va démissionner du CRA malheuseusement - mais pour l'instant j'ai du mal à digérer. J'ai aussi 2 comorbidités qui viennent avec l'autisme. La dépression et un syndrome de stress post traumatique. Pour le moment j'ai vraiment du mal avec tout ça. Plus qu'avant le diag pour être tout à fait sincère. Je pense que ça passera avec le temps. Dans tous les cas, ta vidéo me donne de l'espoir parce que pour l'instant je me sens surtout perdue et en colère. Donc merci ❤

[@tori1908]

Merci Joana ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️

[@amyamy1811]

Wouaw! C'est incroyable! Tu racontes ce que j'ai vécu mais avec ressentis et avec des mots 😮 Et c'est à peu près quasi en même temps J'ai aussi bientôt 39ans et diagnostiquée il y a presque 2ans Merci pour cette vidéo et comme toi, je me sens moins seule 🥰

[@FlorentCourtois-zg1zc]

Un sujet bien abordé, bravo , c'est toujours intéressant de comprendre ce fonctionnnement Divergent, différent et de mettre des mots, le besoin de correction impérieuse. Effectivement les personnes imagine des attaques personnelles et souvent d une simple discussion bannal peu vite tourné au vinaigre. Avoir son diagnostique le plus tôt possible permet d,évité beaucoup de souvrance et de remise en questions. Merci pour vos vidéos .

[@alexpert]

Bravo et merci, ça me donne l'impression que tu as vécu en apnée tout ce temps et que tu peux enfin respirer librement. C'est un plaisir de te voir te re-trouver saine et radieuse. Encore bravo.

[@joana.en.pyjautiste]

merci !!!!

[@cristineroberge5546]

A ceux qui me disent que je cherche une étiquette, je leur dis qu’une étiquette c’est utile pour la personne qui veut savoir comment bien prendre soins soit d’un morceaux de vêtement pour ne pas le bousiller. Ou comprendre son propre fonctionnement pour ne plus s’abîmer. Ma composition neurologique si on veut 😊

[@laellyn6487]

Merci pour ta vidéo, à 47 ans, pour ma part ce fut un soulagement. Après un Burnout en 2019, un diag HPI en 2021, tout ne s'expliquait pas. Personnelement, je ne comprends pas qu'un autodiag puisse suiffir pour certaines personnes.

[@thierrylebras152]

Exactement, le ou les diagnostics ont explosé notre famille, ma femme se sent libéré depuis le diag depuis 2020 mais son TSA TDAH est lourd à gérer pour elles et nous. Se comprendre, c'est une chose, mais là elle en est au stade où elle est dégoûtée du Monde et de son inadaptation. Pourtant elle a repris des études supérieures en langues scandinaves, mais du doutes tout le temps... Les neurotypiques ont un travail d'introspection et d'altruisme a développer. Ma vie avec ma famille TSA TDAH HPI, c'est loin d'être le monde de OUI OUI. Cette année ma fille de 7 ans commence le processus de diagnostic sur environ 8 mois, je vais faire un pré-diagnostic pour moi... Pas facile, mais les bêtises des neurotypiques, laissons les avec. 💙💙💙

[@sosonia5691]

Bonjour Joana, tu résumes tout ce que j'ai commencé à ressentir quand ma psychologue m'a dit que je cochais toutes les cases du TSA... et que j'avais surement aussi un TDAH. J'ai 37 ans... maman de 3 enfants (surement TSA aussi) et je débute les démarches de diag en janvier (je vais devoir casser la tirelire et passé dans le privé pour obtenir mon diagnostic en quelques mois car je ne me vois pas attendre 3 ans pour des raisons de santé mentale ...) et depuis cette première annonce, je suis déjà beaucoup plus indulgente envers moi-même car jusqu'à maintenant je ne comprenais pas pourquoi je n'arrivais pas à faire ce que les autres arrivait à faire. Je me comparais sans cesse aux neurotypiques et je m'imposais d'avoir le même rythme et les mêmes objectifs qu'eux, ce qui m'amenait tous les 3 mois à faire un burn-out. J'ai vécu la dépression aussi et les crises (j'ai compris maintenant que c'était en faite des crises autistiques). J'ai eu mon EURIKA en découvrant ta chaine. Sans cela je crois que je n'aurai jamais osé en parlé à ma psy. Je crois que je commence déjà à assumé ma différence, même si je comprend pas encore tout sur mon fonctionnement. Mais je me suis offert des stimtoy et cela faisait déjà quelques année que je m'étais acheté un casque réducteur de sons donc j'ose le porter une grande partie de la journée mais je n'ose pas encore le mettre pour sortir car en vérité je sors très peu de chez moi. Merci pour tes vidéos Joana

[@Arctuurus79]

Salut Joana, toujours un plaisir de t'écouter, des sujets toujours aussi intéressants, ta vidéo passe trop vite 😅! Je t'écoute toujours en faisant mon intérêt spécifique 😉. Bon de mon côté, homme de 45 ans, en errance diagnostique depuis plusieurs années, plein de suivis avec des soignants (je ne les compte plus : psychiatres, infirmiers psy, psychologogues, neuropsychologues, conseiller insertion pro, psychomotricienne...), des bilans neuropsys réalisés, plein de doutes sur plein de diagnostics ou troubles possibles, mais comme c'est un véritable sac de noeuds, le diagnostic officiel est... (roulement de tambours)... 🥁🥁🥁... Trouble anxieux généralisé ! Et aussi en cours de diag pour un TOC, mais apparemment c'est compliqué car comme dirait Mylène Farmer "oui... mais non". Bref, je fais avec et je mets les choses en place qu'on conseillerait à des personnes TSA ou TDAH et ça m'aide au quotidien. Mais la question du diagnostic met les soignants mal à l'aise car je ne compte plus le nombre de fois où on m'a fait comprendre que je n'en avais pas besoin (psychiatre : "Mais Mr X, vous n'avez pas quand même pas besoin d'un diagnostic pour savoir qui vous êtes !"). Belle fin de journée à toi Joana et merci 🙏

[@lealegros4419]

Vrai conseil, change de psy ce Mr.X ne fait pas bien son boulot, c'est typiquement à cause de ce genre de professionnels que mon TSA est passé dans les mailles du filet et que je me retrouve à 22 ans à initier les investigations par moi même dans le libéral après avoir complétement arrêté le traitement psy et les consultations avec mon propre Docteur psychiatre X

[@maybreathingstone]

@@lealegros4419 Il faudrait une vidéo spéciale pour raconter nos mauvaises expériences avec les psychiatres 😑

[@maybreathingstone]

J'ai aimé le roulement de tambours, dans ma tête il y a eu un coup de cymbale pour couronner l'annonce finale ...☺ Mais je me demande, toi et ceux d'entre nous qui courent de médecin en médecin pour passer mille-et-un tests : comment vous trouvez la foi de faire tout ça ? L'énergie, la détermination, la persévérance ? Moi j'ai reçu mon pré-diag il y a six mois, puis j'ai vu UNE fois UNE psychiatre dans l'espoir de faire tamponner tout ça médicalement, je me suis pris un vent (donc gros drama), et depuis... procrastination. Quelle est donc cette lumière au bout du tunnel qui semble guider tes pas ?? Es-tu la version "Duracel +" de l'autiste ? Ou c'est par nécessité de survie ?

[@Arctuurus79]

@@maybreathingstone Merci pour ton témoignage. Je t'avoue que je me posais justement cette question avant de lire ton message. Nous sommes en 2025, ça fait une dizaine d'année que je m'interroge sur un possible TSA ou TDAH, mais comme les symptômes se font à bas bruit ils ne sont pas pris au sérieux. Car qui dit silencieux ni signifie pas non douloureux. Je perds très souvent la foi je le reconnais. A certains moments j'envoie tout valser et j'avance cahin caha dans cette vie. Le monde extérieur n'est pas réjouissant. Les personnes dites "atypiques" comme nous souffrent davantage de leur environnement (quand il n'est pas adapté, et il ne l'est pas souvent). Donc le questionnement revient par intermittences et cela génère des obsessions, des recherches et questionnements qui restent sans réponse. L'urgence est cependant d'arriver à sortir la tête de l'eau et à avoir envie de se lever le matin malgré tout (merci les médicaments et les quelques illusions qu'offre ce monde). C'est d'ailleurs le crédo des soignants : "Aller mieux" mais comprendre qui on est et comment on fonctionne, ça non, ce serait se mettre une étiquette. Mais moi l'étiquette elle ne me dérangerait pas si elle me permettait d'arrêter de me flageller.

[@Arctuurus79]

@@lealegros4419 oui j'y pense souvent. Je suis suivi dans un CMP donc je me dis aussi que je ne devrais pas cracher dans la soupe, mais je n'avance pas. Donc je vis avec cette ambiguité.

[@maybreathingstone]

En ce qui me concerne, je suis dans une phase de doute par rapport à tout ça. Je viens de me prendre un mur au moment de la validation médicale de mon pré-diagnostic (qui n'est du coup toujours pas confirmé de ce côté là), si bien que je remets en question le bien fondé de ma démarche car, si ça compte beaucoup pour moi qu'une spécialiste de l'autisme, en l'occurrence ma psychologue, ait répondu à mon besoin d'une validation extérieure, en revanche la médicalisation de l'affaire ne va pas de soi. Ce dernier épisode réveille la petite voix dans ma tête qui a vécu des expériences traumatisantes avec le milieu psychiatrique et qui dit : de toute façon je ne suis pas malade alors j'ai pas besoin de votre avis et vous pouvez tous aller vous faire... voir. Dans le fond j'aimerais juste être acceptée pour ce que je suis sans avoir besoin de passer par tout ça. Gros doute aussi, de fait, sur la démarche MDPH car, sachant le stress que ça représente pour moi de devoir "prouver mon incapacité" je me demande si le jeu en vaut réellement la chandelle. Le fondement même de ce processus manque de pertinence car, concrètement, je ne suis PAS incapable. Je suis très capable, différemment. Pour couronner le tout, je pense aux conséquences potentiellement discriminatoires de l'officialisation : j'ai entendu dire que dans certains pays le droit d'immigration est refusé aux autistes, que des réfugiés autistes issus de pays en guerre ont été refoulés aux frontières, mais aussi que par endroits, les personnes en attente d'un don d'organe et reconnues comme handicapées sont défavorisées par rapport aux personnes valides. Tout ça tourne dans ma tête, et mon GPS intérieur ne cesse de calculer et recalculer le meilleur parcours de vie possible en modifiant tel ou tel paramètre. Que faire ? Me montrer au grand jour pour demander de l'aide ? Rester cachée pour éviter d'être discriminée ? Il y a certainement un chemin de traverse... Voilà le contenu de ma caboche et j'espère sincèrement qu'il parlera à quelqu'un.

[@sarah3604]

Coucou Joana et merci pour ta vidéo super intéressante ! Comme déjà dit, diag depuis début octobre, je commence enfin à mieux le digérer et à accepter. Le dire à la famille et au travail c'est encore trop difficile pour moi, peut-être avec du temps...

[@jocevic612]

Tout d'abord, très bonne année à toi Johana 😊🩷! Surtout beaucoup de plaisir dans tout ce que tu fais et vit, que les gens soient et/ou reste bienveillants avec toi ! Merci beaucoup pour cette vidéo, car comme je te l'ai écrit dans plusieurs commentaires, je suis en cours de diagnostic ! Prends soin de toi et des tiens ❤

[@evelynemotton6669]

Très bien posé. Merci et belle année à toi et à tes proches !

[@meeyungcabot4541]

Coucou Je te remercie de cette nouvelle vidéo. J'en profite pour te souhaiter une excellente année 2025. Pour ma part, 1 an et demi que je suis inscrite sur la liste du CRA de Loire Atlantique pour avoir mon diag. Dépression, (dont des burn out niveau relations sociales car tous les postes que j'ai eu était en open space), TAG, TDA amplifiés en open space : je me sens vraiment à bout ...

[@mounalgue]

Merci beaucoup Joana pour ta sincérité et ta générosité !

[@rachidaaureo5539]

Salut, Meilleurs voeux avant tout. Ce que tu expliques dans cette vidéo, c'est ce que j'ai exactement vécu avec mon diag de TDAH. Ça fait plus d'un an que je songe me lancer dans le diag de l'autisme mais je n'ai pas encore franchi le pas. .. A bientôt

[@tori1908]

Coucou Joana ♥️Excellente nouvelle année à toi 🎉 Tous mes vœux de bonheur et de santé pour toi et tes proches♥️ Super vidéo 👍 Cette année, on prend soin de nous 👍🌺 Mon diagnostic est utile pour moi-même, savoir pourquoi j’ai galéré pendant 46 ans et trouver les bonnes ressources pour m’aider, mais aussi parce que j’ai parfois l’impression, au travail entre autres, qu’une personne a tendance à oublier mes difficultés et m’y expose… ça c’est dérangeant… ce n’est pas parce que je gère une situation que je n’en paie pas le prix après… surtout lorsque c’est une tâche qui ne m’appartient pas dans le cadre de mon travail 🙄

[@maybreathingstone]

Est-ce que la personne dont tu parles te fait faire son travail à sa place ? Attention, parfois, dans notre naïveté, on peut subir une forme d'abus et ne même pas s'en rendre compte... Si on te confie une tâche qui ne t'appartient pas, tu es en droit de la refuser. Surtout si ça te met en difficulté. Parfois ça sauve de savoir dire non. Bonne année au fait 🙂 Oui, cette année on prend soin de nous du mieux qu'on peut 👍

[@tori1908]

@ J’ai bien souvent du mal à dire non, mais j’y travaille 👍

[@juedici]

❤🎉 Merci à toi. Quelle intelligence émotionnelle se dégage de tes mots!❤ J'ai reçu mon compte rendu officiel de diag la semaine précédent Noël et cela avait démarré en 22, je pensais être ok... ahaha! Que d'endurance à déployer. J'attends avec impatience tes suggestions d'aménagement pour le quotidien. Merci 10000x1000 Joana. Je te souhaite de belles découvertes et réalisations en 2025 🎉

[@delphined4010]

Je te rejoins, la culpabilité fait place à l envie profonde de prendre soin de soi, enfin, et de se respecter.

[@morinvalerie1078]

Bonjour Joana, Merci beaucoup pour cette vidéo qui répond à mon interrogation du moment. Ma fille de 14 ans vient d'être diagnostiquée suite a un bilan neuropsy et ce pose la question du diagnostic officiel. J'y vois maintenant l'intérêt. Merci beaucoup

[@pascamessages]

Merci beaucoup Joana.

[@cetaitunelamedvav6022]

Salut à tous et à Joanna. Merci pour cette vidéo. Contre les crises d’angoisses, je prends du millepertuis trouvés chez Naturalia. C’est le bonheur maintenant. Enfin presque. En tout cas, je ne sens plus mon cœur serré.

[@olivhood]

recevoir le diagnostic c'est un peu comme recevoir une baffe. On l'a demandée, on l'a vue arriver, on s'est préparé... mais on se prend quand même une baffe ^^ (et y a pas toujours quelqu'un pour vous faire un petit bisou sur la joue après). en tous cas c'est mon expérience personnelle ^^ mais ça vaut le coup

[@CKupMaedre]

J'adore l'image.

[@zebulontournicoton1915]

Bonjour, Joana, Merci pour la vidéo :) J'essaierais bien un diagnostic, mais c'est extrêmement compliqué. Je déteste tout ce qui est administratif et en Belgique, c'est encore plus long qu'en France (on parle de 3 ans minimum). Comme je m'en sors pas trop mal dans la vie, je vais faire comme beaucoup et faire avec 😅 En plus, il y a probablement des personnes plus en difficulté que moi qui ont vraiment besoin d'aide.. Sinon, ton son ne "crache" plus comme il y a quelques mois :)

[@thierrylebras152]

Joana tu as aussi le samsa, ma femme en beneficie depuis août 2023, éducatrice spécialisée à domicile avec grosses aides dans les démarches et soins. Sur Évreux, on commence à avoir des écoutes plus sérieuses, j'ai une référente du CRAHN spécialisé dans les aidants...

[@SuperLynda18]

Idem merci copine ! ❤❤❤

[@philrougemusique6637]

Sa change tout d'avoir le diagnostique, par contre l'entourage ne s'adapte toujours pas, ces toujours a moi de m'adapter et ces epuisant

[@MariaBoreve]

Parfois je n'en peux plus. Surtout lors des moments de grande lucidité où l'on constate les dégâts. C'est épuisant à la fin, et toutes ces personnes qui profitent de notre extra gentillesse et droiture... et j'en passe... Prendre son de soi, de son intégrité, ça dépend des jours. Quant à se blinder pour ne plus souffrir, perso je ne sais pas faire malgré mon âge un peu avancé. Pas le moral ce soir

[@dominiquedousset1126]

Je confirme c'est très important d avoir un diagnostic pour mettre en place plein de choses, pour mieux comprendre son enfant. L étiquette dans le dos 😂 je vais m en servir. Merci ❤

[@christinem-3082]

Le nombre de coiffeuses que j'ai eu envie d'étrangler quand elles demandaient "ça va la chaleur de l'eau ?". En physique la chaleur et la température ce n'est pas la même chose. Ça m'horripile toujours, mais je me console en me disant qu'il ne doit pas y avoir bcp de cours de physique en CAP coiffure. Je prends sur moi. Je comprends aussi que vu depuis l'extérieur, dans ce contexte, c'est chipoter pour pas grand chose

[@toutousetgrosminets9006]

Merci Joana ❤

[@lililaparesse]

Concernant l'entourage, me concernant le bilan est mitigé mais quand même positif : mes amis comprennent bien (j'en ai pas beaucoup mais ce sont de vrais). Concernant ma famille, la neuro a proposé de faire le rdv de compte-rendu de bilans avec les personnes de mon choix, donc du haut de mes 37 ans j'ai invité mes parents qui ont fait 1H30 de route pour ce RDV. ça a suffit à les convaincre. Ma fratrie ou famille proche est plus circonspecte, j'en sais rien, mais le sujet semble un peu tabou quand je souhaite l'aborder et je n'arrive pas à en parler avec eux pour savoir ce qu'ils en pensent du coup. Le cercle plus élargi est encore plus tranché, entre ceux qui m'écrivent alors qu'on ne s'écrit jamais, pour me faire part de leur sollicitude (ça part d'une intention) et ceux qui n'y croient pas du tout. C'est bizarre, car pour eux j'ai toujours été chelou, trop chelou même, mais visiblement le jour où j'ai une explication à mes bizarreries, là je ne suis plus assez chelou à leur goût!

[@maybreathingstone]

Dans ce dernier cas de figure, il me semble que c'est plutôt leur problème à eux... 😉

[@michelenocq2647]

Diagnostiquée suite à plusieurs dépressions, angoissée très facilement... Je n avais jamais "imaginee" ce diagnostic puisque pour moi Autiste ce n était pas ça (j'ai qq enfants autistes autour de moi )... Je doute encore parfois de ce diagnostic alors que je me reconnais dans beaucoup de critères... Mais comme même mon médecin généraliste n y croit pas ... Heureusement, j'ai "rencontré " ma super psychiatre. Bref, merci pour vos vidéos très explicites. Pour moi, impossible maintenant de travailler car comme figée par l'angoisse, quelques antidépresseurs et aussi l aah (depuis la deconjugaison du salaire du conjoint qui ne gagnait pourtant pas beaucoup)et j'ai la chance d'avoir 1 époux très compréhensif et des grands enfants très compréhensifs.

[@CKupMaedre]

Pas sûre que ton médecin s'y connaisse vraiment en autisme ^^ Remarque, comme le mien

[@valeriecorriette3320]

Bonjour. Quelle est cette super psychiatre ? Je n'ai pas le courage de m'étendre avec un psy qui n'y connait rien...

[@lilipictures1975]

Diagnostiquée à 49 ans, il y a 3 mois, avec aussi des TDAH. 30 ans de galère : isolement, désocialisation, incompréhensions de ma part, de celle de ma famille, des professionnels, de mes employeurs ( éducatrice auprès d'enfants handicapés, comme par hasard!) depressions, hospitalisations, TS multiples. Une famille dans le milieu enseignant, avec un niveau intellectuel relativement élevé, très au courant des problème s mentaux, pas de rejet de la psychiatrie. Résultat: Ma mère et mon frère (mes 2 derniers membres vivants de ma famille) m'ont dit: Pfff, n'importe quoi, tu te fais des films parce que c'est la mode en ce moment! Tu es sûre que cette psychiatre est compétente? Tu ne l'aurais pas un peu manipulé pour avoir ces diagnostiques en un temps record?! Tu sais utiliser ton energie que quand ça te concerne. Ça t'arranges bien, pour te déculpabiliser de tes comportements innapropiés... Après l'annonce de ces diagnostiques, du fait que je viens de comprendre que j' ai vécu des agressions s.. Ils ne veulent plus être en contact avec moi depuis. J'ai toujours ce questionnement sur la légitimité de mes diagnostiques.

[@myriam5464]

Je me retrouve totalement dans votre parcours. J'ai 53 ans mais pas encore diagnostiquée, par manque d'énergie .Le CRA est à Lyon 1h30 de chez moi.

[@cemylia9818]

Merci pour cette vidéo 🙏🏻 je travaille en garderie, des idées d'aménagements ? J'avoue que je sèche...

[@maybreathingstone]

Ben là... Casque anti-bruit ou bouchons d'oreilles indispensables, non ? Et la possibilité de laisser un ou une collègue prendre le relais pendant quelques minutes plusieurs fois dans la journée pour aller souffler dans un endroit tranquille avant d'y retourner ?

[@MariaBoreve]

Continuons de nous battre, Joana

[@arferf2869]

Lol, onnfait comment quand on fait de l'hyper accousie et qu'on supporte pas non plus quoi que ce soit sur les oreilles 😭

[@maybreathingstone]

On va habiter dans une grotte en haut d'une montagne. Pars devant, je te suis. 😉

[@aerofrench]

Je me demande si c'est bon ou pas de se déclarer autiste lors d'un entretien d'embauche. Au RSA je n'ai pas pu aller vers le diag, ni avec un psy (prend sur le long terme à 200e la séance sans promesse de diag). Bref ma conseillère RSA m"a prévenu que je vais devoir faire comme tout le monde. Déja je suis incapable d'écrire correctement un CV avec du moins mon écriture moche et de là à me vendre pour histoire de percevoir mes aides. ça va être pénible. Je me souviens il y a dix ans lorsque je travaillais dans une équipe en voirie, j'étais perçu comme "baba cool" alors que je faisais de mon mieux - puis une crise incontournable lorsque c'était trop physique. Personne n'a pris cela au sérieux. Alors bon les aménagements dépendront de la tâche, c'est rassurant qu'une lettre du médecin suffirait (reste à voir si elle a du poids). Bonne année à vous Joana.

[@CKupMaedre]

Merci !

[@epsilon8597]

Attention avec le fait de corriger quelqu'un "par besoin de vérité". Ca ne se fait pas n'importe comment. Il y a des personnes hyper agressives qui coupent la parole ou deviennent très désagréables, qui créent des dramas dans des situations conviviales, juste parce que quelqu'un emploie un mot plutôt qu'un autre ou une tournure pas parfaitement académique. Il y a peut-être ce besoin de corriger que certains ressentent, et il y a aussi ce besoin de faire taire les gens par tous les moyens. Comme votre interlocuteur ne sait pas de quelle équipe vous êtes, il peut penser que vous cherchez à l'empêcher de s'exprimer.

[@Actudugrenier]

Bonjour, je regarde pas mal de vidéos sur les neurologies atypiques, n’étant pas diagnostiqué. Ma principale équation à résoudre aujourd’hui est la suivante : peu importe que je sois TSA , TDAH ou HPI , comment avoir aujourd’hui plus vite un aménagement dans mon travail pour ne plus souffrir de mon fonctionnement neurologique ? Est-ce possible sans diagnostic ou bien juste par un suivi chez le psychologue qui pourra recommander à la RH de tels aménagements ?

[@florencecousin5577]

Non, il faut obligatoirement l'avis du médecin du travail (en France en tout cas). Le mieux c'est d'en parler à votre généraliste (s'il vous suit et s'il est au courant de vos problèmes, c'est mieux). Ou à un psychiatre. Et de demander un rendez-vous au médecin du travail. Le mieux c'est d'y aller justement avec un mot d'un autre médecin (ce n'est pas obligatoire). Certains accepteront le mot d'un psychologue (mais pas tous, certains sont obtus et ne croient que les médecins...). Bon courage.

[@valeriecorriette3320]

Bonjour Joana. Toute ton histoire me parle mais je ne sais pas où trouver un psychiatre qui connaisse suffisamment l'autisme pour diagnostiquer une femme qui compense beaucoup. Peux-tu m'y aider ?

[@mari6s]

Oh j'adore cette blague sur les étiquettes, je vais l'emprunter ! Par ailleurs je me reconnais dans beaucoup de choses exprimées, mais j'en suis encore à hésiter pour la démarche de diagnostic. Peur de l'errance, de l'incompréhension, des discriminations potentielles... Affaire à suivre.

[@maybreathingstone]

Mon expérience récente me laisse penser que tu as raison d'avoir les chocottes, car du côté des professionnels de santé (y compris de santé mentale), le niveau de connaissance de l'autisme est bof bof. Surtout si on est invisibilisé par notre capacité à masquer, qu'on ne s'est pas fait remarquer dans l'enfance et qu'on ne coche pas toutes leurs p***** de cases du DSM. Par contre je te recommanderais vivement de trouver un ou une VRAI.E spécialiste de l'autisme sous toutes ses formes, qu'il ou elle soit médecin ou non. Pour moi c'est ma psychologue. Elle est mon ange gardien et je peux témoigner du bien immense que ça fait d'être vu et compris dans ce que l'on est. Voilà, ce n'est que mon humble expérience personnelle mais j'espère que ça contribuera à te faire avancer dans tes réflexions. Bonne route à toi !

[@snoopyne7849]

Merci 🙂 Dans tes co-occurrences, j'ai bien noté dépression, TAG, CNEP, addictions... et le TDAH : il est confirmé ou bien en cours d'évaluation ?

[@joana.en.pyjautiste]

c'est bien confirmé....mais j'ai oublié de le citer ! ^^

[@MD530F]

Bonjour Joana. Vous avez omis un élément important, à propos de l'issue du diagnostic : "que cela change-t-il ?" ! Vous dites que cela sous entend (quelque part) qu'on est "tous un peu autiste !"... Perso, je n'y vois aucun lien !... Demandez-vous plutôt ce que cela change réellement ?! Finalement rien !... Hormis, un peu de compassion (et encore !...) de la part de celles et ceux vous appréciant ou vous aimant, mais pour le reste : zéro !! Si vous avez pu obtenir des aménagements de travail, tant mieux pour vous !... Mais dans plus de 99,9% des cas, il n'y a rien !!... Si vous êtes en CDD, c'est top pour votre employeur, car ce dernier trouvera un prétexte de plus pour vous dégager de votre poste, vite fait, en invoquant n'importe quoi (je vous laisse imaginer la liste...) ! La réalité des faits, c'est ça, aujourd'hui !!... En dehors d'être pris pour des boulets "évoluant" (sans évoluer !) dans un système "élitiste", il n'y a tout simplement aucune place pour les personnes souffrant psychiquement (quel que soit le trouble ou la maladie) !... Je sais que c'est décourageant, mais qui veut de nous, aujourd'hui ?! -------------------------------------------- Joana, en toute honnêteté, croyez-vous sincèrement en ce que vous dites, ou cherchez-vous à vous en convaincre ?... ...Me concernant, ça ne va pas ! Désolé pour mon discours agressif ! Il faut que je décompresse ! P.S. : concernant le mot de la fin ; lorsque vous dites "j'espère que vous allez bien, et prenez soins de vous"... Pour moi, ça va "PARFAITEMENT BIEN !", surtout lorsque je sors des urgences pour idées suicidaires et dois être à nouveau hospitalisé, d'ici la semaine prochaine... Courage à vous... ❤

[@joana.en.pyjautiste]

oh, je suis désolée de lire ça ! Tenez bon ! Comment se passe l'hospitalisation ? Ils prennent soin de vous ? Tout mon courage et mon soutien Hervé 💙

[@MD530F]

@@joana.en.pyjautiste Bonjour Joana. Le 11/12, suite à un problème familial (avec ma mère), j'ai fait une grosse crise d'angoisse, ayant fait remonté un tas de choses (en moi), et faisant place à des idées noires, se transformant en idées suicidaires !... J'ai appelé les pompiers ce soir-là : ces derniers sont venus à mon domicile pour m'hospitaliser en urgence !... J'ai attendu toute la nuit, allongé sur un brancard (dans une chambre), pour être vu par un psychiatre le lendemain, en milieu de matinée... Diagnostic : dépression moyenne et traitement médical (initié par mon médecin traitant) revu à dosage plus élevé, concernant mes antidépresseur et anxiolityque. Libéré en fin de matinée des urgences, où initialement j'avais demandé une ambulance pour me ramener à domicile, celle-ci n'est jamais arrivée, car ma demande n'a pas été suivie... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds, avec un de trajet de 6km. Dans la rue, j'avais l'impression d'être saoul ! Ma démarche était incertaine... Durant mon trajet, j'ai traversé un pont surplombant une voie ferrée, où je me suis arrêté durant cinq minutes, en me demandant si oui ou non j'allais sauter... Suite à cela, je suis reparti tout doucement jusqu'à mon domicile... Arrivé chez moi, je me suis senti complètement vidé de toute énergie, sans pouvoir dormir !... Le soir même, une autre grosse crise d'angoisse fit son apparition : je rappelais une fois de plus les pompiers, me ramenant aux urgences du même hôpital. Une fois de plus allongé sur un brancard (cette fois dans un couloir) durant toute la nuit ! J'ai demandé au poste de soins un antalgique, car je souffrais du dos et des articulations ! J'ai réitéré ma demande trois fois ! A la quatrième, j'ai tapé un gros scandale, où j'ai insulté les infirmièr(e)s, pour leur totale incompétence ! Résultat : on m'a claqué au nez la porte du poste de soins ! Après n'avoir pu dormir que deux ou trois heures, j'ai eu mon antalgique que le lendemain (à 9h30) ! Puis, petit déjeuner, où j'ai mangé comme quatre, sachant que je n'avais plus rien dans le corps depuis pratiquement quarante heures ! J'ai vu un autre psychiatre (sur place), où là discussion fut un peu plus longue... Résultat du diagnostic : dépression mélancoliforme, ce qui est beaucoup plus sévère que le premier diagnostic ! Après discussion avec le psy, j'ai accepté une hospitalisation ne s'étant pas encore faite, sachant qu'il y a environ une semaine de délai... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds (à ma demande), mais en meilleur état que la veille. Maintenant, je dois régulariser des papiers administratifs pour ma mère et moi, puis trouver des moments de repos, au calme, en attendant que l'hôpital me rappelle... Ma prochaine hospitalisation se fera courant semaine prochaine (à plus de 50km de chez moi), pour une durée allant d'une semaine à un mois, suivant mon état... Voilà pour les nouvelles... Ce n'est pas bien réjouissant, mais dois faire avec...

[@MD530F]

@joana.en.pyjautiste @joana.en.pyjautiste Bonjour Joana. Le 11/12, suite à un problème familial (avec ma mère), j'ai fait une grosse crise d'angoisse, ayant fait remonté un tas de choses (en moi), et faisant place à des idées noires, se transformant en idées suicidaires !... J'ai appelé les pompiers ce soir-là : ces derniers sont venus à mon domicile pour m'hospitaliser en urgence !... J'ai attendu toute la nuit, allongé sur un brancard (dans une chambre), pour être vu par un psychiatre le lendemain, en milieu de matinée... Diagnostic : dépression moyenne et traitement médical (initié par mon médecin traitant) revu à dosage plus élevé, concernant mes antidépresseur et anxiolityque. Libéré en fin de matinée des urgences, où initialement j'avais demandé une ambulance pour me ramener à domicile, celle-ci n'est jamais arrivée, car ma demande n'a pas été suivie... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds, avec un de trajet de 6km. Dans la rue, j'avais l'impression d'être saoul ! Ma démarche était incertaine... Durant mon trajet, j'ai traversé un pont surplombant une voie ferrée, où je me suis arrêté durant cinq minutes, en me demandant si oui ou non j'allais sauter... Suite à cela, je suis reparti tout doucement jusqu'à mon domicile... Arrivé chez moi, je me suis senti complètement vidé de toute énergie, sans pouvoir dormir !... Le soir même, une autre grosse crise d'angoisse fit son apparition : je rappelais une fois de plus les pompiers, me ramenant aux urgences du même hôpital. Une fois de plus allongé sur un brancard (cette fois dans un couloir) durant toute la nuit ! J'ai demandé au poste de soins un antalgique, car je souffrais du dos et des articulations ! J'ai réitéré ma demande trois fois ! A la quatrième, j'ai tapé un gros scandale, où j'ai insulté les infirmièr(e)s, pour leur totale incompétence ! Résultat : on m'a claqué au nez la porte du poste de soins ! Après n'avoir pu dormir que deux ou trois heures, j'ai eu mon antalgique que le lendemain (à 9h30) ! Puis, petit déjeuner, où j'ai mangé comme quatre, sachant que je n'avais plus rien dans le corps depuis pratiquement quarante heures ! J'ai vu un autre psychiatre (sur place), où là discussion fut un peu plus longue... Résultat du diagnostic : dépression mélancoliforme, ce qui est beaucoup plus sévère que le premier diagnostic ! Après discussion avec le psy, j'ai accepté une hospitalisation ne s'étant pas encore faite, sachant qu'il y a environ une semaine de délai... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds (à ma demande), mais en meilleur état que la veille. Maintenant, je dois régulariser des papiers administratifs pour ma mère et moi, puis trouver des moments de repos, au calme, en attendant que l'hôpital me rappelle... Ma prochaine hospitalisation se fera courant semaine prochaine (à plus de 50km de chez moi), pour une durée allant d'une semaine à un mois, suivant mon état... Voilà pour les nouvelles... Ce n'est pas bien réjouissant, mais dois faire avec...

[@MD530F]

@joana.en.pyjautiste Bonjour Joana. Le 11/12, suite à un problème familial (avec ma mère), j'ai fait une grosse crise d'angoisse, ayant fait remonté un tas de choses (en moi), et faisant place à des idées noires, se transformant en idées suicidaires !... J'ai appelé les pompiers ce soir-là : ces derniers sont venus à mon domicile pour m'hospitaliser en urgence !... J'ai attendu toute la nuit, allongé sur un brancard (dans une chambre), pour être vu par un psychiatre le lendemain, en milieu de matinée... Diagnostic : dépression moyenne et traitement médical (initié par mon médecin traitant) revu à dosage plus élevé, concernant mes antidépresseur et anxiolityque. Libéré en fin de matinée des urgences, où initialement j'avais demandé une ambulance pour me ramener à domicile, celle-ci n'est jamais arrivée, car ma demande n'a pas été suivie... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds, avec un trajet de 6km. Dans la rue, j'avais l'impression d'être saoul ! Ma démarche était incertaine... Durant mon trajet, j'ai traversé un pont surplombant une voie ferrée, où je me suis arrêté durant cinq minutes, en me demandant si oui ou non j'allais sauter... Suite à cela, je suis reparti tout doucement jusqu'à mon domicile... Arrivé chez moi, je me suis senti complètement vidé de toute énergie, sans pouvoir dormir !... Le soir même, une autre grosse crise d'angoisse fit son apparition : je rappelais une fois de plus les pompiers, me ramenant aux urgences du même hôpital. Une fois de plus allongé sur un brancard (cette fois dans un couloir) durant toute la nuit ! J'ai demandé au poste de soins un antalgique, car je souffrais du dos et des articulations ! J'ai réitéré ma demande trois fois ! A la quatrième, j'ai tapé un gros scandale, où j'ai insulté les infirmièr(e)s, pour leur totale incompétence ! Résultat : on m'a claqué au nez la porte du poste de soins ! Après n'avoir pu dormir que deux ou trois heures, j'ai eu mon antalgique que le lendemain (à 9h30) ! Puis, petit déjeuner, où j'ai mangé comme quatre, sachant que je n'avais plus rien dans le corps depuis pratiquement quarante heures ! J'ai vu un autre psychiatre (sur place), où là discussion fut un peu plus longue... Résultat du diagnostic : dépression mélancoliforme, ce qui est beaucoup plus sévère que le premier diagnostic ! Après discussion avec le psy, j'ai accepté une hospitalisation ne s'étant pas encore faite, sachant qu'il y a environ une semaine de délai... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds (à ma demande), mais en meilleur état que la veille. Maintenant, je dois régulariser des papiers administratifs pour ma mère et moi, puis trouver des moments de repos, au calme, en attendant que l'hôpital me rappelle... Ma prochaine hospitalisation se fera courant semaine prochaine (à plus de 50km de chez moi), pour une durée allant d'une semaine à un mois, suivant mon état... Voilà pour les nouvelles... Ce n'est pas bien réjouissant, mais dois faire avec...

[@MD530F]

@joana.en.pyjautiste Bonjour Joana. Le 11/12, suite à un problème familial (avec ma mère), j'ai fait une grosse crise d'angoisse, ayant fait remonté un tas de choses (en moi), et faisant place à des idées noires, se transformant en idées s... ! (je ne peux pas écrire le mot complet, sachant que KZbin m'empêche visiblement de publier ma réponse). J'ai appelé les pompiers ce soir-là : ces derniers sont venus à mon domicile pour m'hospitaliser en urgence !... J'ai attendu toute la nuit, allongé sur un brancard (dans une chambre), pour être vu par un psychiatre le lendemain, en milieu de matinée... Diagnostic : dépression moyenne et traitement médical (initié par mon médecin traitant) revu à dosage plus élevé, concernant mes antidépresseur et anxiolityque. Libéré en fin de matinée des urgences, où initialement j'avais demandé une ambulance pour me ramener à domicile, celle-ci n'est jamais arrivée, car ma demande n'a pas été suivie... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds, avec un de trajet de 6km. Dans la rue, j'avais l'impression d'être saoul ! Ma démarche était incertaine... Durant mon trajet, j'ai traversé un pont surplombant une voie ferrée, où je me suis arrêté durant cinq minutes, en me demandant si oui ou non j'allais sauter... Suite à cela, je suis reparti tout doucement jusqu'à mon domicile... Arrivé chez moi, je me suis senti complètement vidé de toute énergie, sans pouvoir dormir !... Le soir même, une autre grosse crise d'angoisse fit son apparition : je rappelais une fois de plus les pompiers, me ramenant aux urgences du même hôpital. Une fois de plus allongé sur un brancard (cette fois dans un couloir) durant toute la nuit ! J'ai demandé au poste de soins un antalgique, car je souffrais du dos et des articulations ! J'ai réitéré ma demande trois fois ! A la quatrième, j'ai tapé un gros scandale, où j'ai insulté les infirmièr(e)s, pour leur totale incompétence ! Résultat : on m'a claqué au nez la porte du poste de soins ! Après n'avoir pu dormir que deux ou trois heures, j'ai eu mon antalgique que le lendemain (à 9h30) ! Puis, petit déjeuner, où j'ai mangé comme quatre, sachant que je n'avais plus rien dans le corps depuis pratiquement quarante heures ! J'ai vu un autre psychiatre (sur place), où là discussion fut un peu plus longue... Résultat du diagnostic : dépression mélancoliforme, ce qui est beaucoup plus sévère que le premier diagnostic ! Après discussion avec le psy, j'ai accepté une hospitalisation ne s'étant pas encore faite, sachant qu'il y a environ une semaine de délai... Résultat : je suis rentré chez moi à pieds (à ma demande), mais en meilleur état que la veille. Maintenant, je dois régulariser des papiers administratifs pour ma mère et moi, puis trouver des moments de repos, au calme, en attendant que l'hôpital me rappelle... Ma prochaine hospitalisation se fera courant semaine prochaine (à plus de 50km de chez moi), pour une durée allant d'une semaine à un mois, suivant mon état... Voilà pour les nouvelles... Ce n'est pas bien réjouissant, mais dois faire avec...

[@chrichris4887]

Moi sans le diagnostique, la médecine du travail m’a dit qu’elle pouvait rien faire même par rapport au TDA, donc début d’année, je vais avoir un document pour le TSA Enfin j’espère qu’il va enfin me fournir pour que je puisse le mettre dans mon dossier MDPH, j’ai juste une peur de me faire licencier une fois que je mon dossier RQ T.H.😢

[@myriam5464]

Il n'ont pas le droit de vous licencier pour une reconnaissance rqth. La.raison du statut RQTH et aménagement possible d'horaires oraire est médicale donc cela reste entre vous et la médecine du travail.

[@chrichris4887]

@@myriam5464 oui je sais.mais là où je travaille, c’est très bruyant pour moi, donc je pense que l’emménagement c’est foutu et si il me trouve pas d’autres postes c’est ce qui arrivera.

[@papillotteberger6501]

Bonjour Je rebondis sur les propos de Johanna concernant l'effet libérateur du diagnostic tarif même a un âge avancé J' ai une question pour la communauté : ma tante de 70 a sûrement un TSA compte tenu de son comportement et de son chemin de vie étant donné que mon TSA est très probablement génétique Mais je n osé pas lui en parler (je lui ai même pas dit pour moi) çar le rejeter qu'elle a subi tout ça vie lon poussé vers le complotisme com logi-fication de son vécu Je suis a se jour là rare personne de sa famille qui lui adresse encore la parole Avez vous des idées sur comment je pourrais l'aider?

[@joana.en.pyjautiste]

est-ce que tu lui a déjà parlé de ton propre autisme et de ses répercussions ?

[@AliceJarod]

Salut Papillotte, J'ai 40 ans, et ma maman (au moment où nous avons eu ces discussions, décédée depuis) 70 ans. Elle a été traitée toute sa vie pour bipolarité, selon moi par erreur (en bon autiste, j'ai fait une hyperfixation sur la bipolarité pour en apprendre le plus possible - la psychologie est mon intérêt spé). Je ne suis pas diagnostiquée TSA / TDAH mais gros soupçons (et je passe les tests bientôt après avoir validé tout un tas de tests dont le RAADS avec ma psy). Voilà pour le contexte. Je lui ai d'abord parlé de moi, de tous ces points communs que nous avons. Un peu en mode nostalgie, partage mère-fille complices sur le tard. On a commencé à échanger nos petites bizarreries qu'on ne dit généralement jamais aux autres. La première fois où j'ai tiqué pour elle, c'est quand elle m'a dit qu'elle ne pouvait vraiment pas du tout aller faire pipi sans d'abord se brosser les cheveux. Ouai hein, dans le genre rituel bizarre, ça nous a rapproché. J'ai traversé une période difficile (burn out autistique) de quasiment 2 ans où en désespoir de cause pour trouver une issue favorable à mon état, je me suis relancée dans mes recherches de psycho. Et je lui ai partagé mes recherches. En diluant petit à petit les informations sur l'autisme et le TDAH dans nos discussions, elle en a appris autant que moi. Je lui parlais de moi, mais c'était aussi pour elle. L'autisme, pour nos vieux, c'est ces petits garçons non-verbaux qui font des crises dans les supermarchés. Petit à petit, elle a appris ce qu'est l'autisme réellement. Une fois cela fait, et elle, accepté l'idée de l'autisme sans déficience intellectuelle, j'ai pu lui suggérer les points communs qui étaient pour moi de l'autisme chez moi, que j'avais avec elle. Elle a compris par elle-même et a totalement adhéré au fait que je pensais que son diag de bipolarité était une erreur. Elle s'est identifié au TSA et cela lui a fait beaucoup de bien, elle y a trouvé du soulagement, dans cette fin de vie où elle pensait majoritairement à ces années passées. Cela en valait la peine, elle est partie quelques mois après et je suis heureuse d'avoir fait cela. Ce n'est que mon exemple et ce n'est pas une voix qui conviendra à tous. Dans tous les cas, vu son isolement, tu peux surement déjà beaucoup l'aider par ta simple présence et de l'écoute compréhensive.

[@papillotteberger6501]

@@joana.en.pyjautiste non j' ai pas osé car elle part en mode "les allergies c'est une croyance" tout ça .. elle rejete tout ce qui est différent de ses croyances qu'elle considère comme l'unique vérité elle est tombée dans le complotisme a fond limite "la terre est plate"

[@micper5507]

Non mais attends, si le gars n'est pas certain d'être autiste, ça change quoi à sa vie, et surtout à quoi ça sert qu'il se pose la question ? Qu'il continue à vivre sa vie.

[@fleurdenuit5271]

J'ai tellement à dire j'arrive même pas à m'exprimer je dirais donc simplement merci et j'ai le seum

[@maybreathingstone]

Hahaha j'adore ton résumé 😊 Mais si, vas-y... Raconte. Si tu veux.

[@alinemachu7468]

❤

[@angeduclermortier5066]

Coucou. J’avoue que c’est compliqué pour l’aménagement au travail. J’ai un métier prenant et c’est dans le privé. J’ai juste un stress intense et beaucoup d’anxiété de performance. Je fais un temps plein et je passe mon temps à compter le nombre de jours qu’il me reste avant mon jour de repos. Mon patron m’accordera jamais un temps partiel. 😢 déjà qu’il a choisi ses vacances d’été sans me concerter alors que mon conjoint a des dates bloquées. Donc j’ai tenu tête en lui disant que je prenais une semaine identique à lui (mes enfants avant tout) mais il ne veut pas payer Qqun d’autres pour nous remplacer. J’ai le diagnostic et il est au courant. J’en peux plus. PS : j’ai commencé à faire un BUJO pour m’aider à m’organiser mais impossible de trouver du temps à soi et aux enfants.

[@joana.en.pyjautiste]

je ne peux que compatir avec ta situation et j'espère que tu trouveras un équilibre, avec cet employeur ou un autre...La médecine du travail ne peut pas te proposer un arrêt avec une reprise en mi temps thérapeutique ? Je sais que ça paraît toujours impossible quand on est dans la tempête, mais je lis tellement d'abonnés qui ont craqué sous toutes les coutures que je sais ce qu'il en coûte de se sur adapter en permanence. Prends soin de toi, toi et ta famille avant tout.

[@arferf2869]

Les patrons n'ont pas une once d'humanité et dans une société inhumaine qui écrase et détruit, c quais impossible de se faire accorder quoi que ce soit par ces prédateurs sans humanité Ces types la on sait de quel bords ils sont Ils savent qu'on souffre et s'en foutent éperdument

[@arferf2869]

Pour les gens avec une situation sociale ok Vous pouvez le faire..vous êtes privilégié Nous les plus pauvres on a pas tjrs intérêt ni surtout la possibilité de le faire. La vie nous a bien détruit avant et les services sociaux sont surtout des SÉVICES SOCIAUX A NOTRE ENCONTRE A un moment on peut expliquer ce qu'on veut comme dire comment on s'est cassé le dos, mais ça ramène pas les jambes Pareil pour nos tête détruites par cette société qui n'a aucune once d'humanité J'ai peur de devoir me retrouver classee chez les malade psy car le fascisme aussi avance donc encourager se faire diag c encourager a fssz faire ficher.quabd ibnesr trans, non blanche, SDF, voir sans papier, c circonstance aggravatz et une occasion de plus de nous instrumentaliser

[@arferf2869]

C pas moi au départ que ça dérange mais on sait très bien ce qu'on été capable de faire les idoles du petit moustachu y'a 80 ans

[@arferf2869]

Enfin Je sais depuis un moment que je suis giga autiste lol Ça a rien changé a l'extérieur Parce que a l'extérieur ils S'EN FOUTENT TOTALE Ça change rien .g déjà vu la vitesse vertigineuse a la queelle tes proches finissent très vite par nier n'importe quel diag psy au bout d'un moment très court d'ailleurs : Le temps d'une grippe car pour eux c une simple gripette, vous savez comme celle que l'autre escroc Raoult parlait ... Même mepris en fait

[@Sherkhan1962]

@@arferf2869 Programme Aktion T4. De quoi effectivement se méfier comme de la peste du zèle des fonctionnaires des services sociaux à appliquer les consignes émanant de leur hiérarchie et, au-dessus, de l'État, et donc du parti politique ayant accédé au Pouvoir.

[@didierredford8816]

Quand vous dites "on est des êtres sociaux" parlez-vous des humains en général ou bien voulez-dire que les autistes on besoin d'interaction sociale même si ce besoin est moindre ou bien voulez-vous dire que tous les humains qu'ils le veuillent ou non doivent interagir un minimum pour vivre ? Moi même j'ai très peu besoin d'interaction sociale directe, à vue de nez je dirais une interaction sociale de 5 minutes par mois c'est déjà largement suffisant pour moi en général je suis à moins que ça et je me sens très bien. Si je devais interagir tous les jours je serais probablement en surcharge. Avez-vous déjà vécue sans interaction quelques semaines ou quelques mois et est-ce que c'e nétait pas mieux ?

[@lealegros4419]

Tout les êtres humains autiste ou non ont besoin d'interactions sociales, même si ce n'est 5 minutes par mois, Comme je le dis souvent : j'aime les gens, mais en petite quantité, l'isolement imposé est toujours néfastes pour l'être humain 😊

[@maybreathingstone]

De mon côté je n'aime pas parler, sauf à des personnes proches dans un cadre intime et sur un sujet qui m'intéresse. Le reste du temps c'est une corvée. Par contre je sens le besoin d'être entourée, de faire partie d'une communauté, de bénéficier de la présence et de la chaleur humaine de personnes connues et aimées. Si je n'ai pas ça, je me sens en grande insécurité, et à terme je tombe en dépression ou deviens paralysée par l'anxiété. J'aime aussi échanger par écrit, comme maintenant. En soi c'est également une interaction sociale.