Les Marianistes : une très belle histoire, qui m'inspire pour se préparer aux temps futurs, merci ! Hélène
@luciennesokpawo73243 жыл бұрын
Merci pour les témoignages
@vonMohl3 жыл бұрын
Je suis marial jusqu'au bout des os.
@Alexis_Abraham063 жыл бұрын
Il faut pas adorer marie c’est pas ce quel veut mais de l’aimer
@Stopmanip Жыл бұрын
Tu es donc idolâtre...
@pierrek.519911 ай бұрын
Le culte à une reine du ciel date de très longtemps. Déjà à l’époque de Nimrod (3000 ans av. J.C) le culte dédié à Sémiramis a pris des dimensions significatives à travers les siècles. Elle conserve ce rôle jusque sous le règne d’Hammourabi (environ 1700 avant J.C). Admise au panthéon des divinités babyloniennes à l’époque de Nébucadnetsar (au 7ème et 6ème avant J.C), cette reine toujours vierge est cependant représentée tenant dans ses bras Thammuz, un fils qui n’a pas de père. A cette époque, on célébrait annuellement la résurrection de Thammuz, miracle suprême que l’on attribuait à Sémiramis, la reine du ciel, qui aurait joué le rôle de médiatrice auprès des dieux. C’est donc à elle que les monarques chaldéens vouaient leur culte et prétendaient devoir leurs succès politiques et militaires. Le culte de la Mère et de l’Enfant est toujours directement ou indirectement associé à l’exercice du pouvoir temporel. La plupart des mythologies de l’antiquité en font état, par le biais d’une légende qui ne varie jamais, et exalte une vierge divinisée qui donne le jour à un fils destiné à régner sur le monde. Seuls varient les noms attribués à la Mère et à l’Enfant : -en Égypte, Isis et son fils Osiris; -en Inde, Isi et son fils Iswara; -en Asie Mineur, Cybèle et son fils Plutus; -à Rome, la Fortune et son fils Jupiter Puer (Jupiter enfant) Plus tard, et pour ne pas heurter les populations idolâtres qu’elle désirait christianiser, la Rome catholique emprunta certains éléments de son culte aux mythologies de la Rome païenne des premiers siècles. L’on comprend mieux pourquoi elle fit de Marie la médiatrice et la reine du ciel. Le magistère de l’Église reprenait à son compte une très ancienne tradition païenne, à seule fin de se rendre populaire auprès des peuples qu’il désirait dominer. Mais, ce faisant, il s’éloignait du texte biblique qui aurait dû servir de critère, et édifiait un système religieux que plusieurs on qualifié de babylonien. Comment s’étonner alors, si les exégètes biblique on souvent identifié Babylone à l’Église romaine. Texte tiré du livre l’Apocalypse de John H.Alexander.