Les meilleures formations pour exercer à haut niveau en droit des affaires

par Élise Paez, ancienne avocate au Barreau de Paris
responsable de la préparation des candidatures en LL.M chez Admissions Parallèles
La prépa n° 1 sur les admissions directes en Grande École et dans les Universités étrangères.
www.admissionsparalleles.com/ - 01 46 33 49 33

[@fadelkabbaj]

Je pense qu'il y a une erreur a 4:35. Vous citez King's College London mais vous mettez le logo de Queen's College. Ce qui peut prêter à confusion.

[@aguineaninthemiddleeast5598]

Thanks for your advice about jurist

[@azizaelkadiri7272]

Merci à vous. ☺

[@Arinieem]

bonjour, j'aimerais savoir où on pourrait vous contacter personnellement ?

[@jonathanbehi8154]

bonjour , j'aimerais faire une spécialisation en droit en France etant titulaire d'un master 2 je me dirige plus vers des masteres spécialisé dans cette optique j'ai ciblé head , pensez vous que c'est une ecole vraiment reconnu avec , avec de reels posibilité d'emplois ?

[@cs4344]

Vous pensez que c'est possible d'intégrer l'une de ces école en France après avoir redoublé sa L1 et sa L2 et de faire une super L3 (mention bien) ?

[@jaijoro]

Je me permets de rajouter les formations de type "Magistère" qu'il est possible d'intégrer après un bac +2, il en existe notamment à Assas et à la Sorbonne qui sont très cotées. Ces formations permettent d'éviter de passer par une école de commerce, d'autant plus qu'elles permettent d'intégrer bien souvent des Masters 2 en partenariat (pas de double diplôme cependant) avec de grandes écoles (HEC/ESCP/Sciences PO).

[@SOUNDSTHEORY]

Magistère ou non il y a un manque de connaissances économiques. Dans aucun de ces deux magistères on trouve de la valorisation, analyse fi, mécanismes de M&A, management, stratégie financière... Ces matières fondamentales pour exercer à haut niveau en droit des affaires.

[@robinhassid4327]

Faux. Je suis actuellement au Magistère de la Sorbonne. Tant à la Assas qu'à la Sorbonne nous avons de la compta, de l'analyse financière et de l'économie.

[@SOUNDSTHEORY]

Tous les étudiants en droit quasiment ont de la compta, de l'analyse fi et de l'économie. Savoir ce qu'est un BFR ne fera pas de toi un excellent avocat.

[@antoinebouvier4502]

Je vous conseille de consulter les programmes et les cours (et dans le détail) de ces formations. Cela vous évitera cette double erreur de porter un jugement sur quelque chose que vous ne connaissez pas et d'aggraver dans le même temps cette idée reçue que les formations en droit ne préparent pas à la vie des affaires.

[@laurent1985ful]

SOUNDSTHEORY Tu sais ce que c’est un DJCE ? Le contenu intellectuel est très complet, et ne nécessite pas de dépenser 15/18K€ chez un marchand de diplômes...

[@pacomezoumale5394]

bonsoir je suis Pacome ZOUMALE,étudiant en master1 en droit des affaires dans mon pays la Centrafrique,je désire retrouver un bon juriste afin de m'aider dans mes recherches.s'il vous plait

[@cretindofinoi]

Aucun intérêt de faire un llm en France. Au dela de ces écoles, travaillez sérieusement vos années de licence, votre master 1 et visez un master 2 dans une fac parisienne ou réputée en province.

[@cindymarinkovic3722]

J’ai regarder l’école HEAD, plus de 14k pour me pas 1 ans, c’est vraiment cher, mais elle a raison sur plusieurs points, beaucoup d’étudiants en droit sorte de l’université avec le même diplôme et le même objectif, les recruteurs ont le choix, comme elle dit ils doivent faire un tri, pour pouvoir exercer dans un prestigieux cabinet d’avocats, il faut se démarquer.

[@pofila1]

ah ouai ! on est quand même sur du très haut niveau que ce soit universitairement mais aussi financièrement ! c'est pas donné à tous quoi !

[@laurent1985ful]

pofila1 Déjà un bon master en droit des af/fiscalité type DJCE, ce n’est pas mal. Pas besoin d’acheter un diplôme bidon 18K€ ou un LLM 30K$ pour travailler dans la plupart des cabinets d’affaires. Il n’y a pas que l’entre soi parisien dans la vie, on peut faire de belles carrières en province...

[@kabeyz]

LM 85 en province où ça? !Je suis de la province et y a rien !

[@laurent1985ful]

kabeyz Partout. Renseigne-toi, la vie en France ne se résume pas uniquement à la capitale...

[@user-ym9sx6jt8m]

Un LLM en France, bah voyons. Quelle blague. Sinon pour les LLM aux USA vos choix sont irrationnels. A moins d’avoir une full ride, personne n’a intérêt à s’endetter 60k par an sans compter les dépenses sur place...

[@laurent1985ful]

Lew Romet Je crois que la vidéo est destinée avant tout à un petit entre soi bien parisien. Il existe de très bonnes formations en province (DJCE, Master droit et fiscalité de l’entreprise à Aix, Droit des affaires et fiscalité à Orléans, Droit fiscal des affaires à Rennes...) qui se veulent intellectuellement très complètes. Je ne connais aucun avocat d’affaires qui a dépensé 15/20 K€ chez ces marchands de diplômes que sont les écoles de commerce. Mais il s’agit de la province...

[@Bond-mz2ti]

Il est un bon prix 15000 par annee Arreter de pleurer.

[@arth13008]

et si on fait un master public on devient quoi ?

[@laurent1985ful]

zer 14 Juriste en droit public par exemple...

[@naked4400]

Encore cette culture de la compétition, 1,30 min de video j'en ai déjà marre.

[@nicolasrostov2478]

A bac + 3 ou +4, si on souhaite encore s'orienter en pleine âme et conscience dans des études aussi pourries c'est qu'on est vraiment un cas social - sans vouloir décourager les plus bourgeois d'entre vous.

[@mauvaisegraine3998]

Encore une chaîne bien parisianiste, complètement à côté de la plaque. Quand on voit à quoi correspondent, dans les faits, les formations d'école de commerce, c'est vraiment du foutage de gueule. Elles fonctionnent uniquement grâce à la culture de l'entre-soi. Il ne suffit pas d'inscrire trois initiales sur sa porte, de facturer 15K l'année et d'utiliser des anglicismes à tout va pour offrir une formation de qualité. Il ne faut pas confondre le fait d'acheter un carnet d'adresse, et le fait d'acquérir une réelle plus-value en terme de compétence (qui est accessible grace à de nombreuses formations moins pompeuses en finance, comptabilité ou économie).

[@rose0834]

MauvaiseGraine bien dit! En plus elle nous vend ces écoles qui coûtent 15 000 euros par an... Comme si c'était naturel

[@rose0834]

MauvaiseGraine honnêtement tu as raison, les écoles de commerce c'est uniquement du pipo

[@Bond-mz2ti]

Vive l'anglais!

[@cretindofinoi]

A votre avis, comment devient on associé ? En commençant par être collaborateur avec un bon carnet d'adresses (des clients qui sont d'anciens potes d'école devenus entrepreneurs) Le carnet d'adresses, c'est la source des revenus du cabinet.

[@silverswift31]

belle démonstration,bravo

[@vitocollet4087]

J'ai du mal a comprendre le but de cette vidéo. Je comprends bien le fait de donner des pistes pour être plus compétitif mais je doute que certains ne connaissent pas HEC ou Harvard s'ils ont le niveau; et puis nous dire que pour réussir c'est l'entre soit parisien ou mettre 60,000 euros sur la table, quand c'est pas les deux, je pense que personne ne l'apprend. Je pense qu'il aurait été préférable de donner des pistes pour les très bons élèves qui n'ont pas forcement les finances pour ces établissements et qui n'ont pas connaissance des formations prestigieuses auxquelles ils pourraient prétendre. Il faudrait préciser dans le titre que ces formations d'adressent aux enfants de très riches notables, parisiens si possible, avec de très gros carnets d'adresses en France ainsi qu'à l'étranger. Mais dans ce cas je doute que cette vidéo leur soit utile.

[@loinvoyant506]

Le diplôme n’a aucune valeur, il faut juste avoir du réseau et surtout la capacité de se vendre. Si vous venez d’une cité, que vous avez un nom un peu bizarre, et que vous estes basanés, ne perdez pas votre temps à postuler car vous n’avez pas les codes de ce monde. Allez dans un autre pays il y a rien pour vous ici.

[@kabeyz]

Loinvoyant tu es français blanc?

[@laurent1985ful]

Je connais un Souleymane Kondo, qui a grandi à Aubervilliers, qui est avocat chez Allen & Overy, un cabinet anglais qui compte parmi les plus prestigieux au monde. Il n’avait ni pognon ni réseau, juste une tête bien faite et une capacité de travail hors normes...

[@kabeyz]

@@laurent1985ful sur un souleymane kondo y en a 50 autres mis sur le carreau. Arrêter de prendre un exemple pour justifier que tout va pour le mieux dans la société et que il suffit d'être travailleur et pugnace pour que vous arriviez à obtenir la place correspondant à votre niveau. Moi je me suis toujours battu et je continue toujours mais ça n'a jamais été aussi simple et tout tracé. Non il y a des facteurs externes qui empêchent d'accéder à certains niveaux. et ne pas me parler de victimisation, je ne me plains pas je constate c'est tout.

[@laurent1985ful]

kabeyz Ce n’est absolument pas ce que je prétends. La discrimination est une réalité. L’égalité des chances est une utopie, pour ne pas dire une vaste fumisterie. Toutefois, des Hicham, des Norredine, des Aboubakar ou des Fatoumata, il n’y en a pas que dans des clips de rap. Il y’en a aussi chez Mazars, chez Ernst & Young ou chez Francis Lefebvre. Il est évident qu’ils ont dû se battre 10 fois plus que les autres. Par ailleurs, malgré tout leur mérite et tous les efforts qu’ils ont consentis, ils seront toujours regardés de travers ou avec condescendance par certains fils ou filles à papa, car « ils ne sont pas de leur monde », il ne font pas partie du sérail, du petit entre soi de privilégiés. C’est une réalité affligeante, mais nous devons composer avec. Or, ces jeunes talents, qui se distinguent par leur courage et leur force de travail, on ne les met jamais en valeur. On préfère admirer des rappeurs décérébrés qui se prennent pour des gangsters et laissent croire avec leurs complaintes victimaires que la seul perspective qui s’offre aux gamins du 93 se résume à vendre du shit dans une cage d’escalier ou à braquer un franprix. Ce fatalisme victimaire est insupportable. C’est un poison qui fait que nombre de gamins pas plus bêtes que les autres finissent par se complaire dans leur galère. Du reste, je considère que l’enfant du fin fond du Cantal, fils d’ouvrier que je suis n’est pas plus favorisé qu’un gamin de Sevran ou de Montfermeil. Quand on a grandi au sein d’un foyer modeste dans un bled loin de tout où il n’y a ni bibliothèque municipale, ni cinéma ni quelque infrastructure culturelle que ce soit, des services publics toujours plus rares et des écoles qui ferment les unes après les autres, on ne peut pas vraiment dire qu’on est favorisé. Je ne maîtrisais pas plus les codes bien éculés du petit monde bourgeois que mes potes Hicham ou Aboubakar. Il était évident que pour accéder à certains cursus puis à certains postes, il faudrait aller au charbon. Je n’ai pas fait une grande école, je suis un pur produit de l’université française. J’étais le seul boursier dans ma promo de master, et certains camarades me regardaient comme si j’étais un vulgaire « kassos’ ». Mes parents n’avaient ni argent ni relations. Quand mes potes allaient à la BU pour les plus sérieux ou boire une mousse en terrasse après les cours, j’allais bosser chez Quick... Aujourd’hui, je suis juriste d’affaires, et malgré quelques belles expériences à mon actif, il n’est pas rare qu’on me prenne encore de haut et qu’on me renvoie à mes origines modestes. Je ne suis pas du sérail et n’en ferais jamais partie, et honnêtement, je m’en secoue la nouille ! Le plus important, c’est que je m’épanouisse. Qu’ont fait de plus que moi ces braves gens à part se donner la peine de naître pour me juger ? Heureusement que j’ai aussi rencontré des gens brillants qui m’ont donné ma chance. Tout ça pour dire que malgré un contexte particulièrement difficile, un petit monde parfois hostile et souvent cruel, un gamin venu de nulle part peut espérer une belle réussite. Il est évident qu’il va en chier et qu’il n’aura pas les mêmes chances ni les mêmes armes que d’autres. Mais ce n’est pas en lui martelant en permanence qu’il est condamné à l’échec et à la misère social que l’on va l’encourager. Ce discours peut a contrario galvaniser certains qui auront une soif de revanche, mais la plupart du temps, cette sempiternelle complainte réduit à néant toute volonté et ruine toute combativité. Il me semble que ces jeunes sont parfaitement conscients des difficultés inhérentes à leurs origines sociales et parfois ethniques, ils n’ont pas besoin qu’on leurs les balancent en permanence dans la gueule.

[@laurent1985ful]

kabeyz Je ne fais pas de parallèle entre origine sociale et origine ethnique. Je dis seulement qu’il existe de vrais exemples (trop rares selon moi, souvent pour les raisons que tu exposes) de réussite de jeunes à la fois originaire d’un milieu social modeste et issus de l’immigration. Du reste, j’ai également côtoyé des étudiants guinéens, camerounais, béninois, égyptiens... qui étaient enfants de diplomates ou même de ministres de leur pays d’origine. Là où mon propos et le tien divergent, c’est que selon moi, non seulement une grande partie de notre société (marché de l’emploi, du logement, études supérieures...) se focalise sur l’origine ethnique des gens et les renvoie insidieusement à ça (ce que j’appelle un racisme ordinaire), mais aussi sur le milieu social d’origine, quand bien même tu es un petit blondinet qui s’appelle Thomas Martin ou Benoit Durand. Tu ne fais pas partie d’un certain milieu, tu n’en a pas les codes, et on te le fais payer. Il ne faut pas se bercer d’illusions, un fils d’ouvrier cantalou, quelles que soient ses qualités, n’aura jamais les mêmes armes qu’un fils de notaire ou de cadre sup parisien, même médiocre, et l’accès à certains postes s’en trouvera pour lui évidemment plus compliqué. Il lui sera également plus difficile de se voir considéré à sa juste valeur, comme s’il n’était pas à sa place et qu’il devait incessamment se justifier. Je suis parfaitement conscient que la discrimination raciale existe, elle s’exprime même parfois de manière décomplexée, mais certains jeunes (trop peu nombreux, c’est certain) parviennent malgré cela à accéder à de belles choses. L’exemple de Rama Yade est criant de vérité et est même assez caricatural. Elle n’a jamais que décoré la vitrine de Sarkozy, lui servant à justifier une démarche d’ouverture à la « diversité ». Même si nous ne serons probablement jamais d’accord sur tout (et heureusement...), je te souhaite le meilleur, professionnellement comme personnellement et de parvenir à t’épanouir en dépit des nombreuses difficultés qui peuvent se présenter sur ton chemin.