j'adore marine comme lénie vacher l'ivresse son piano qui sommeille c'est le printemps qui s'éveille le cristal est limpide comme ce baiser qui pour les femmes est un réveil car les bonheurs perdus se sauve dans l'oubli où les regards et l'oreille s'y repose a tissé les réseaux premier frisson premier baiser pleine peines des silences des temps dans chaque pays des ombres lourdes d'heure en heure mayotte aussi une fenetre en deuil à l'ombre comdamnée puis les portes se fermèrent à jamais se fermèrent sur le vide