Vraiment, l'apport de Sébastien est un plus musical, comme Joël Favreau en son temps avec Brassens. Mais ici, avec ce style manouche, c'est puissance dix. Sébastien, dans tous les morceaux, en plus de son talent, a en plus l'intelligence de placer ses chorus entre les phrases chantées, ce qui habille les morceaux, sans faire doublon avec la voix. De plus, une voix féminine pour chanter du Brassens, il fallait oser, et c'est vraiment un pari réussi. Votre association à tous les quatre est un beau challenge musical. Cela fait beaucoup de bien de vous voir, et de vous entendre. Bravo pour votre travail, votre talent, et merci de continuer de faire sur scène vivre les chansons de Georges.
@philippelambert4079 Жыл бұрын
Une vestale avec des guitares qui nous font vibrer.
@claudejulien69099 ай бұрын
Jean Richepin vit encore grâce à Brassens et aux Pornographes valaisans ! Une mention spéciale à Sébastien G. bien sûr, génial comme d'hab.
@guitarockadonf Жыл бұрын
Des frissons... Genre vrqiment partout... Et à Sète en plus, rarement a-t-on vu un sans faute aussi hypnotisant! Un si gros merci!
@philouyap4271 Жыл бұрын
formidable °L° les trois musiciens, super ! et la chanteuse j'ai craqué complètement, c'est malin . Cette chanson est tres dure , bien plus qu'elle n'y parait et elle augmente bien certaines strophes (3,7 et 9) comme tres peu le font lors des qq reprises en ligne . Je l'ai aussi modestement chantée, j'en connais la difficulté (à mon niveau !)
@warrenwalker81703 ай бұрын
yea from what's left of the good part of america - but I apologize for the most of us - play on -- such skill
@CHIROLANNICK6 ай бұрын
Sublime ❤ on ne s'en lasse pas
@yapadek30989 күн бұрын
Du Brassens, à Sète, avec une guitare manouche, c'est grand !
@anaelmayeur9855 Жыл бұрын
Waho! Magnifique reprise. Magnifique voix et des zikos au top! 🎉
@gilsarnaud11 ай бұрын
merci ; quel pieds ;;
@alexremy2235 Жыл бұрын
Superbe... Quel bonheur de vous écouter!
@sylvainlintz7278 Жыл бұрын
BONJOUR GWEN, BARBATRUCK ET BARBICHETTES, VOUS ME FAITES L'EFFET D'ÊTRE UN TANTINET BIEN ORCHESTRÉ SUR LE RÉPERTOIRE DE CE MAQUISARDS DE GEORGE ET DE FAMILY LE TITRE, VOUS LE VALET BIEN, N'OUBLIEZ PAS LA PIÈCE, POUR LES BONNES OEUVRES DE 2024.😁☝️💖
@chatnoir92422 ай бұрын
sublime
@mariemusik6845 Жыл бұрын
Magnifique 🎉 Merci 👏🏼👏🏼👏🏼
@yohanng18582 жыл бұрын
Je vous adore ! Passez dans le sud ! Vous êtes trop loin !
@epuresimove66143 жыл бұрын
Magnifique!
@jean-francoishennebel80083 жыл бұрын
Superbe ! Pour tout dire, à mes yeux, "Les Pornographes" constituent le meilleur hommage rendu à Brassens depuis longtemps. Ce sont leurs reprisent qu'on aurait aimé entendre dans les "hommages officiels" Où peut-on trouver le cd, ou la version mp3 du concert ? Bravo à vous !
@guntproductions3 жыл бұрын
Merci Jean-François... Ce concert existe en CD et sur les plateformes de streaming. Infos, contact et commande de CD : gunt.ch/les%20pornographes.html
@jfleroidec2672 Жыл бұрын
Amusant, j'ai crû que c'était moi qui avait écrit ce commentaire : Jean-françois est un de mes pseudo, il y a el dans mon nom, je suis du 88... que de similitudes ! Surtout que j'ai détesté l'hommage télé des 100 ans de Brassens, les chansons étaient trop lentes. Et j'adore les pornographes (ou la bise à madame), eux, au contraire, interprètent de façon admirable les chansons du maître :)
@mentorismentoris8458 Жыл бұрын
❤
@pirolf Жыл бұрын
ils ont apprécié les bourgeois ?
@TheJahness3 жыл бұрын
Jean Richepin, exubérant vivant au si beau talent, est l'auteur de ce poème; le voici dans la version complète;; C'est une cour carrée et qui n'a rien d'étrange : Sur les flancs, l'écurie et l'étable au toit bas ; Ici près, la maison ; là-bas, au fond, la grange Sous son chapeau de chaume et sa jupe en plâtras. Le bac, où les chevaux au retour viendront boire, Dans sa berge de bois est immobile et dort. Tout plaqué de soleil, le purin à l'eau noire Luit le long du fumier gras et pailleté d'or. Loin de l'endroit humide où gît la couche grasse, Au milieu de la cour, où le crottin plus sec Riche de grains d'avoine en poussière s'entasse, La poule l'éparpille à coups d'ongle et de bec. Plus haut, entre les deux brancards d'une charrette, Un gros coq satisfait, gavé d'aise, assoupi, Hérissé, l'œil mi-clos recouvert par la crête, Ainsi qu'une couveuse en boule est accroupi. Des canards hébétés voguent, l'oeil en extase. On dirait des rêveurs, quand, soudain s'arrêtant, Pour chercher leur pâture au plus vert de la vase Ils crèvent d'un plongeon les moires de l'étang. Sur le faîte du toit, dont les grises ardoises Montrent dans le soleil leurs écailles d'argent, Des pigeons violets aux reflets de turquoises De roucoulements sourds gonflent leur col changeant. Leur ventre bien lustré, dont la plume est plus sombre, Fait tantôt de l'ébène et tantôt de l'émail, Et leurs pattes, qui sont rouges parmi cette ombre, Semblent sur du velours des branches de corail. Au bout du clos, bien loin, on voit paître les oies, Et vaguer les dindons noirs comme des huissiers. Oh ! qui pourra chanter vos bonheurs et vos joies, Rentiers, faiseurs de lards, philistins, épiciers ? Oh ! vie heureuse des bourgeois ! Qu'avril bourgeonne Ou que décembre gèle, ils sont fiers et contents. Ce pigeon est aimé trois jours par sa pigeonne ; Ca lui suffit, il sait que l'amour n'a qu'un temps. Ce dindon a toujours béni sa destinée. Et quand vient le moment de mourir il faut voir Cette jeune oie en pleurs : " C'est là que je suis née ; Je meurs près de ma mère et j'ai fait mon devoir. " Elle a fait son devoir ! C'est à dire que oncque Elle n'eut de souhait impossible, elle n'eut Aucun rêve de lune, aucun désir de jonque L'emportant sans rameurs sur un fleuve inconnu. Elle ne sentit pas lui courir sous la plume De ces grands souffles fous qu'on a dans le sommeil, pour aller voir la nuit comment le ciel s'allume Et mourir au matin sur le coeur du soleil. Et tous sont ainsi faits ! Vivre la même vie Toujours pour ces gens-là cela n'est point hideux Ce canard n'a qu'un bec, et n'eut jamais envie Ou de n'en plus avoir ou bien d'en avoir deux. Aussi, comme leur vie est douce, bonne et grasse ! Qu'ils sont patriarcaux, béats, vermillonnés, Cinq pour cent ! Quel bonheur de dormir dans sa crasse, De ne pas voir plus loin que le bout de son nez ! N'avoir aucun besoin de baiser sur les lèvres, Et, loin des songes vains, loin des soucis cuisants, Posséder pour tout cœur un viscère sans fièvres, Un coucou régulier et garanti dix ans ! Oh ! les gens bienheureux !... Tout à coup, dans l'espace, Si haut qu'il semble aller lentement, un grand vol En forme de triangle arrive, plane et passe. Où vont-ils ? Qui sont-ils ? Comme ils sont loin du sol ! Les pigeons, le bec droit, poussent un cri de flûte Qui brise les soupirs de leur col redressé, Et sautent dans le vide avec une culbute. Les dindons d'une voix tremblotante ont gloussé. Les poules picorant ont relevé la tête. Le coq, droit sur l'ergot, les deux ailes pendant, Clignant de l'œil en l'air et secouant la crête, Vers les hauts pèlerins pousse un appel strident. Qu'est-ce que vous avez, bourgeois ? soyez donc calmes. Pourquoi les appeler, sot ? Ils n'entendront pas. Et d'ailleurs, eux qui vont vers le pays des palmes, Crois-tu que ton fumier ait pour eux des appas ? Regardez-les passer ! Eux, ce sont les sauvages. Ils vont où leur désir le veut, par-dessus monts, Et bois, et mers, et vents, et loin des esclavages. L'air qu'ils boivent ferait éclater vos poumons. Regardez-les ! Avant d'atteindre sa chimère, Plus d'un, l'aile rompue et du sang plein les yeux, Mourra. Ces pauvres gens ont aussi femme et mère, Et savent les aimer aussi bien que vous, mieux. Pour choyer cette femme et nourrir cette mère, Ils pouvaient devenir volaille comme vous. Mais ils sont avant tout les fils de la chimère, Des assoiffés d'azur, des poètes, des fous. Ils sont maigres, meurtris, las, harassés. Qu'importe ! Là-haut chante pour eux un mystère profond. A l'haleine du vent inconnu qui les porte Ils ont ouvert sans peur leurs deux ailes. Ils vont. La bise contre leur poitrail siffle avec rage. L'averse les inonde et pèse sur leur dos. Eux, dévorent l'abîme et chevauchent l'orage. Ils vont, loin de la terre, au dessus des badauds. Ils vont, par l'étendue ample, rois de l'espace. Là-bas, ils trouveront de l'amour, du nouveau. Là-bas, un bon soleil chauffera leur carcasse Et fera se gonfler leur cœur et leur cerveau. Là-bas, c'est le pays de l'étrange et du rêve, C'est l'horizon perdu par delà les sommets, C'est le bleu paradis, c'est la lointaine grève Où votre espoir banal n'abordera jamais. Regardez-les, vieux coq, jeune oie édifiante ! Rien de vous ne pourra monter aussi haut qu'eux. Et le peu qui viendra d'eux à vous, c'est leur fiente. Les bourgeois sont troublés de voir passer les gueux. ( petit bonus; kzbin.info/www/bejne/ZmjNY6Khl76dhtU )
@youki25 Жыл бұрын
si la chanteuse pouvait enlever sa pince a linge qu'elle a sur le nez!!!! .....les zikos au Top, notamment Sébastien et le bassiste....dsl j'ai du mal avec la miss au chant; platonique , manque de groovve....Merci Seb et vive le jazz manouche.