Didier Eribon - Vie, vieillesse et mort d'une femme du peuple

Didier Eribon vous présente son ouvrage "Vie, vieillesse et mort d'une femme du peuple" aux éditions Flammarion. Entretien avec Sylvie Hazebroucq.
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[@dominique7929]

L'étendue des connaissances, la grande rigueur et l'honnêteté intellectuelle, l'humilité, l'immense humanité de Didier Eribon me bouleverse toujours depuis la lecture de "Retour à Reims", immense livre...

[@francoisesoubeyran7889]

Comment nos sociétés traitent les personnes agées et les enfants aussi en effet. Les professionels du "care" sont en sous effecttif dans les institutions de façon structurelle et chronique et de façon structurelle dans toutes nos institutions. Il est très bien que les écrivains témoignent clairement et courageusement de la "condition humaine" dans nos sociétés hyper sophistiquées!

[@annasauvagnac1551]

Reconnaissance ☺

[@rosine2]

Qu'il s'agisse des Ehpad, des crèches, des écoles seuls les établissements publics devraient percevoir des subventions leur permettant de fonctionner normalement, s'occuper des résidents (ou des bébés ou des élèves) de manière humaine. Les personnels de ces établissements pauvres qui ne disposent d'aucuns moyens financiers et humains souffrent aussi de ne pas pouvoir faire leur travail correctement et consacrer d'avantage de temps aux résidents individuellement. Beaucoup finissent par démissionner ou tomber malades. Les scandales financiers concernant les établissements privés (qu'il s'agisse des Ehpad, de Lycée, ou de crèches se sont multipliés ces dernières années (très récemment encore). C'est un problème de choix politique.

[@francoisehainaux723]

C'est avant tout le pillage des maisons de retraite et des crèches par des personnages aides de fric et pour lesquelles l'humain n'a aucune valeur. Le fric, l'argent le pognon... quelle calamité lorsqu'il fait autant de dégâts.

[@Ticoustmamet]

C'est bien le petit garçon où la petite fille qui prennent leur papa où leur maman par la main pour les abandonner dans une maison de retraite. Sauf les cas médicaux graves, nous pourrions toujours assumer et garder nos anciens dans nos foyers. Croyez -en mon expérience. La société c'est nous même qui la construisons