Laetitia Ternisien responsable de la prépa dalloz vous explique comment lire et comprendre un arrêt de la Cour de cassation
Пікірлер: 44
@MahadoMoud-wr6bq4 ай бұрын
Une excellente explication faite avec une élocution remarquable Je souhaite vous remercier pour votre aide précieuse et de surcroît enrichissante 🎉🎉🎉
@learenaud59132 жыл бұрын
Merci pour cette vidéo, elle m'a beaucoup éclairé et elle est très bien expliqué ! Mes félicitations 😄
@seifbs_sambo Жыл бұрын
2:05 > 6:07 = Arrêt de Cassation 6:08 > 13:34 = Arrêt de Rejet 13:35 > Fin = Moyen Annexé kado
@sauciflardetlaraclette60152 жыл бұрын
merci beaucoup pour votre explication claire nette et précise Madame.
@aleisep53202 жыл бұрын
Merci beaucoup pour cette vidéo synthétique et claire ! 🤗
@Rapidos602 жыл бұрын
Merci Madame pour ce guide extrêmement utile et pédagogique!
@victoriamand70723 жыл бұрын
Très compréhensible. Merci beaucoup !
@kristeldm75312 жыл бұрын
Je viens de terminer votre vidéo, et je vous remercie car elle me sera d'une grande aide pour la suite je pense
@nouraali681811 ай бұрын
vous expliquez à la perfection Madame!!!! . vraiment merci😊
@FilezDroit2 жыл бұрын
Super vidéo ! C'est toujours utile de revoir les bases 👀
@GenevieveTemsala-sq8ul8 ай бұрын
Des explications claires et nettes.merci beaucoup🙏
@francoislaraquesouffrant9795 Жыл бұрын
Merci beaucoup professeure pour la vidéo. Vous êtes très explicite.
@krnage94052 жыл бұрын
dans le première arrêt c'est la société Editions Y qui est condamné à payer à M. Z 8 000 francs de dommages-intérêts
@samDmrts2 жыл бұрын
exactement elle a prononcé une petite erreur
@laurentoutang8350 Жыл бұрын
Des explications ébouriffantes qui servent la pratique du juriste que je suis !
@davidpereira59353 жыл бұрын
merci beaucoup pour ces explications
@lounalouna68802 жыл бұрын
super explication, merci !
@AlexisBA-xz3ukАй бұрын
Merci Madm votre explication est très limpide!
@gerhardcalderon76133 жыл бұрын
Merci beaucoup !
@mariettekayungu61113 жыл бұрын
Magnifiquement expliqué 👍🏾👍🏾👍🏾👍🏾👍🏾👍🏾👍🏾 L’explication très très claire,merci à vous 🙏🏽🙏🏽🙏🏽
@dominicthiago29282 жыл бұрын
I guess im asking the wrong place but does anybody know of a method to log back into an Instagram account..? I was dumb forgot my login password. I would appreciate any tips you can offer me!
@Mthelion Жыл бұрын
@@dominicthiago2928 u need to pay
@mariettekayungu61113 жыл бұрын
Je m’abonne sans hésiter
@cosmonala1881 Жыл бұрын
Cétait limpide comme explication, MERCI.
@baldemamadou19892 жыл бұрын
C'est clair Madame. Merci
@emmatrbstn77783 жыл бұрын
Si seulement j'avais vu cette vidéo avant. J'aurai tout compris directement haha
@agadiragadir7179 Жыл бұрын
Merci infiniment.
@christinebazemane7047 Жыл бұрын
Excellente vidéo
@marnouj3 жыл бұрын
Bonjour Maître, la Cour d'appel condamne pas M. Z mais l'éditeur Y, à 8000€ de DI au profit de M. Z. Il me semble. "04:05"
@stephaniejimenez8358 Жыл бұрын
Gracias!
@user-dq3zx8lp4e6 ай бұрын
Merci prof
@christianmakary9677 Жыл бұрын
Merci !
@kristeldm75312 жыл бұрын
Bonjour, j'ai une petite question mais dans l'explication du 1er arrêt , vous dites que la Cour d'Appel a condamné Monsieur Z a payé 8 kf de dommages et intérêts , il me semble lire le contraire. Je vous remercie de votre réponse
@sambabiteye8554 Жыл бұрын
Il ne peut s'agir que d'un lapsus puisque la Cour d'appel, au vu de l'arrêt attaqué, a condamné la société Éditions Y qui édite l'hebdomadaire X à payer à M.Z la somme de ....à titre de dommages-intérêts.
@ainazkarimi837510 ай бұрын
MERCI MA REINE!!!
@maiaeidel3971 Жыл бұрын
mais justement je comprends pas les voisins des crapauds au final on leur a donné raison ou pas?
@cleamerolapassetti1198 Жыл бұрын
bonjour, pouvez faire de meme pour un arret du Tribunal des conflits s'il vous plait.
@XfbbrerThcdry2 ай бұрын
Comment trouver un commentaire de jurisprudence, donné par un professeur, en ligne?
@teodordobrinescu34892 жыл бұрын
@1:48 "... certains mots-clés qui nous donnent des indications sur ce qu'a pu vouloir dire la CdC". Si on est là, c'est qu'il y a un problème de clarté des décisions de la Cour.
@user-dm1qz1zy6u8 ай бұрын
Bonjour qui est le demandeur au pourvoi dans le premier arrêt svp c’est monsieur Z ? Et monsieur Z est condamner ? monsieur Z est celui qui a donc divulguer des information, il a être condamner, et donc ce demande au pourvoi pour avoir la decision de la cours de Cass, et la cours de cass dit que la cours d’appel a mal fait son jugement en violent une loi ?merci pour votre réponse
@amelsafta61682 жыл бұрын
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@prepadalloz34423 жыл бұрын
lien vers le premier arrêt : www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000007026650/ et lien vers le deuxième arrêt www.legifrance.gouv.fr/juri/id/JURITEXT000036219627/
@julesvlc2 ай бұрын
elle a dit les termes ou quoi ( petit jeu de mot lol )
@MmeParisAnka Жыл бұрын
Bonjour pouvez m'aider comprendre cette arrêt comment je dois commentere Document 1 Cour de cassation chambre civile 1 Audience publique du mercredi 30 novembre 2016 N° de pourvoi : 15-25249 Attendu, selon l’arrêt attaqué (Aix-en-Provence, 4 juin 2015), que Mme X, soutenant avoir été blessée lors d’un saut à l’élastique organisé par la société Latitude Challenge (la société Latitude), a assigné celle-ci en réparation de ses préjudices ; Attendu que la société Latitude fait grief à l’arrêt d’accueillir les demandes, alors, selon le moyen : 1°/ que l’obligation de sécurité pesant sur l’organisateur de saut à l’élastique est une obligation de moyens car le client joue un rôle actif en prenant seul l’initiative de sauter et en ayant une liberté de mouvement (qu’il doit exercer conformément aux instructions reçues) lors du saut ; qu’au cas présent, la cour d’appel a relevé que le client effectuant le saut à l’élastique prenait une initiative dans la décision de sauter ou non et dans la force de l’impulsion donnée, ce dont il résultait qu’il intervenait activement à l’occasion du saut ; qu’en considérant, néanmoins, que le participant n’aurait aucun rôle actif à jouer durant le saut, qu’il ne disposerait d’aucun moyen de se prémunir lui-même du danger couru en sautant et s’en remettrait totalement à l’organisateur pour assurer sa sécurité, pour juger que l’obligation de sécurité de la société Latitude était une obligation de résultat, la cour d’appel n’a pas déduit les conséquences légales de ses constatations et a violé l’article 1231-1 du Code civil ; 2°/ que l’obligation de sécurité pesant sur l’organisateur de saut à l’élastique est une obligation de moyens car le client joue un rôle actif en prenant seul l’initiative de sauter et en ayant une liberté de mouvement (qu’il doit exercer conformément aux instructions reçues) lors du saut ; qu’au cas présent, pour qualifier l’obligation de sécurité pesant sur la société Latitude d’obligation de résultat, la cour d’appel a relevé, d’une part, que cette société avait la maîtrise du lieu du saut et du matériel utilisé et que, d’autre part, il n’était pas démontré que l’initiative du client avait une incidence sur la sécurité ; qu’en se déterminant ainsi, cependant que le fait pour l’organisateur d’avoir la maîtrise du lieu du saut et du matériel utilisé ne supprimait en rien le rôle actif du participant à l’occasion du saut, lequel suffit à lui seul à caractériser l’obligation de moyens sans avoir à rechercher s’il a ou non une incidence sur la sécurité, la cour d’appel a statué par des motifs inopérants, privant sa décision de base légale au regard de l’article 1231-1 du Code civil ; 3°/ que la dénaturation par omission entraîne la censure de la décision qui en est entachée ; qu’au cas présent, la cour d’appel a retenu que la société Latitude n’avait pas indiqué que des consignes avaient été données au client avant le saut pour assurer sa propre sécurité au cours du saut, de sorte que le client ne disposait d’aucun moyen de se prémunir lui-même du danger couru en sautant, celui-ci s’en remettant totalement à l’organisateur pour assurer sa sécurité ; qu’en statuant ainsi, cependant que la société Latitude avait régulièrement produit devant la cour d’appel une note d’information signée par Mme X avant son saut qui précisait les consignes de sécurité suivantes : « ne pas s’élancer avant d’en avoir reçu l’accord par le responsable de saut, s’élancer franchement sans se retenir, mettre sa tête bien en arrière pendant toute la durée du saut, ne pas saisir la sangle ventrale de sécurité avant la complète stabilisation », dont le respect contribuait directement à la sécurité du participant, la cour d’appel a dénaturé par omission ce document, en méconnaissance de l’article 4 du Code de procédure civile ; 4°/ que l’obligation de sécurité pesant sur l’organisateur de saut à l’élastique est une obligation de moyens car le client joue un rôle actif à l’occasion du saut qu’il effectue seul ; que la qualification d’obligation de moyens n’est pas remise en cause par le caractère dangereux de l’activité qui n’a pour effet que de renforcer cette obligation ; qu’au cas présent, la cour d’appel a relevé, par des motifs propres, que le saut à l’élastique constitue une activité qui expose ses pratiquants à des risques objectifs de dommages corporels potentiellement mortels et, par des motifs adoptés du jugement entrepris, que cette activité était dangereuse ; qu’en déduisant de la dangerosité de l’activité que la société Latitude était soumise à une obligation de sécurité de résultat, cependant que le caractère dangereux du saut à l’élastique n’a pour effet que de renforcer l’obligation de moyens et ne constitue en rien un critère de qualification de l’obligation de résultat, la cour d’appel a violé l’article 1231-1 du Code civil ; Mais attendu qu’après avoir énoncé que le participant à une activité de saut à l’élastique ne contribue pas à sa sécurité par son comportement, la seule initiative qu’il peut avoir résidant dans la décision de sauter ou non et dans la force de l’impulsion donnée, qu’il ne dispose d’aucun moyen de se prémunir lui-même du danger qu’il court en sautant et s’en remet donc totalement à l’organisateur pour assurer sa sécurité, de sorte qu’aucun élément ne permet de considérer qu’il joue un rôle actif au cours du saut, la cour d’appel en a exactement déduit, sans être tenue de s’expliquer sur les éléments de preuve qu’elle décidait d’écarter, que l’obligation contractuelle de sécurité de l’organisateur d’une telle activité est une obligation de résultat, abstraction faite des motifs surabondants critiqués par les deuxième et quatrième branches ; que le moyen n’est fondé en aucune de ses branches ; PAR CES MOTIFS : REJETTE le pourvoi. Résumez les faits de cette affaire. 1 point Quel est le problème de droit posé par cette affaire ? 1 point Quelle solution rend la Cour de cassation ? 2 points