Média des Idées | Épisode 3 : Stéphanie Roza, philosophe, chargée de recherche au CNRS

Lundi 10 juillet à 19h00, suivez en direct le deuxième épisode du #MédiaDesIdées avec notre invitée Stéphanie Roza, philosophe, chargée de recherche au CNRS. Elle débattra avec Pierre-Yves Bocquet, directeur adjoint de la Fondation pour la mémoire de l'esclavage. Nous traiterons ensemble de la gauche et des Lumières.
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[@Rac-Saf]

Il est vrai que Cazeneuve et Valls sont des êtres animés par l’esprit des lumières….!

[@daniellegrand4566]

Ca pour être animés, ils s'agitent dans tous les sens pour les éteindre les lumières...

[@Rac-Saf]

Le Printemps républicain était inspiré des Lumières ????

[@Rac-Saf]

Serait-ce la rechute du PS?

[@klassnormal]

Okfacho

[@jefbenech2437]

Au hasard de mes errances sur youtube, je tombe sur cet entretien et j'entends du LFI bashing au bout de 3mn chrono. Écoeurant.... Et affirmer en plus que LFI a été ''antivax'', franchement les bras m'en tombent... L'avenir de la gauche est définitivement dans les mains de la jeunesse transpartisanne qui soutient activement, avec raison et intelligence la NUPES !

[@Charlicharloo]

On a pas le droit de critiquer LFI ? LFI n'est pas rationnelle sur la vaccination. Pour la réintégration des soignants non vaccinés comme le RN et avec le recul on voit les conséquences que cela aurait eu de choisir le vaccin russe Spoutnick comme le préconisait Mr Mélanchon.

[@blacksheepantechrist3728]

’’ La majorité de la droite est republicaine ’’ ? C’est vrai que Macron c’est un parangon de démocratie et de valeurs républicaines ... C’est vrai qu’il respecte drôlement les libertés fondamentales et les droits de l’Homme ... Mais où vous l’avez trouvée celle là ?

[@frederickvanbanhoc9609]

Dans une Pochette Surprise !

[@casimirperrier9021]

Macron vient du PS.

[@michelhairy3025]

@@casimirperrier9021macron n'a jamais été Au PS. Il a juste abusé de la naïveté de Flamby !!!!

[@casimirperrier9021]

@@michelhairy3025 Wiki indique qu'il était au PS de 2006 à 2009.

[@klassnormal]

Ok facho

[@marielem982]

Eh non pour se libérer on demande ce que l’on veut , on n’a pas besoin de copier en demandant l’égalité, chaque peuple a en lui même se qu’il veut demander et comment.Arrêter de croire que vous êtes le nombril du monde , vous avez votre histoire accepter l’histoire des autres.

[@Rac-Saf]

😢😢😢

[@xxxmm-wr3jx]

Le formalisme, en politique, c'est l'identité (ce qui est identique) des Idées. Se faisant, un tel fétichisme d'idées, formulées par une certaine bourgeoisie, dans un certain rapport de force propre au XVIIème siècle, amène nécessairement à un certain "identitarisme idéel". Tout est produit des rapports de force, Madame Roza : c'est parce qu'elles avaient à faire face aux bourgeoisies occidentales que les luttes d'émancipations coloniales se sont appuyées sur leur logiciel, pour "porter la contradiction", mais aussi parce que les termes les plus large, comme celui de "Justice" ou de "Liberté" y sont employés. Si les mots ont un sens, il est intéressant de voir dans les vôtres la façon dont le logiciel des Lumières passe d'un moteur de progrès (car oui, vous en faites un moteur franchement idéaliste à 8:50 ) à un outil d'analyse employés par les forces de progrès, puis finalement à quelques principes "fondamentaux", à utiliser comme bouclier contre l'obscurantisme, trop souvent populaire. C'est intéressant puisque c'est exactement le même parcours que fera le statut de ce logiciel dans l'histoire, se débarrassant de ses oripeaux face aux contradictions, jusqu'à devenir une morale de possédant - le libéralisme. Morale de possédant, sinon de ressource, du moins d'un capital, la "connaissance", sur laquelle elle s'accroche et qui doit rester un phare contre ce qui s'oppose à elle, l'obscurantisme : et c'est là qu'on tombe dans le formalisme. Ce n'est pas parce qu'une idée a été incorporée ailleurs qu'elle a survécu : et face aux oppositions décoloniales et socialistes (pas celle du PS : se référer à la "Question" de Marx de 1844), vous semblez aujourd'hui considérer que les forces "de gauches" constituent une menace - bien davantage que les forces de droite (qui ont "incorporés la laïcité et la république" dites-vous, mais pour les vider de leur sens progressiste, assurément). Peut-être parce que les premières ont été tout à fait en mesure de les dépasser. Une piste qui pourrait vous intéresser et celle de la praxis : Les penseurs des Lumières savaient que leurs idées ne valaient rien sans l'exigence de Justice, moteur des révolutions. Elles valent donc tout en terme de contestation, rien en terme de conservation. Reste à savoir si c'est sur ce formalisme, donc, que vous vous êtes fait une situation ("d'où parles-tu ?") ce qui n'est pas le moindre méfait des intellectuels. Si c'est le cas, ouyouoyouye c'est effectivement problématique.

[@adrienpitrou3873]

On veut une liste commune aux européennes

[@regisgras2731]

Les Lumières sont éteintes, vous n'êtes pas au courant ?

[@klassnormal]

Ok facho

[@pierredelacrau6465]

Je passe sur le progressisme qui repose évidemment sur la croyance en l’existence d’un progrès, notion qui, en dehors de la technique et de la science où il peut y avoir effectivement une accumulation, fait surtout place au constat d’un éternel recommencement à partir de zéro au niveau individuel ou générationnel, POUR CE QUI EST DE LA MORALE. Par contre que veut dire l’expression «les lumières»? La liberté d’expression ? La liberté de pensée? La liberté de croyance? Le déisme? L’athéisme? La liberté de culte? Pour ce qui est des droits de l’homme (comiquement traduit par «droits humains» parfois; car s’il y a des droits de l’animal, il n’est point de droits animaux) je corrige en complétant ET DU CITOYEN. Le grand tort de la Révolution ayant été de ne pas clairement distinguer les deux: les droits de l’Homme et à l’intérieur de cet ensemble le sous-ensemble «les droits du citoyen». Et puisqu’il est question de la Révolution rappelons que la distinction « gauche-droite » remonte à la période de la Révolution française. OUI-DA! (oui- da et non oui- ja) A HISTOIRE Dans le système politique du royaume de France, les états généraux du royaume (ou états généraux) étaient une assemblée réunissant les trois ordres (les états) de la société : la noblesse, le clergé et le tiers état. Ils étaient convoqués, sur ordre du roi, dans des circonstances exceptionnelles (crise politique ou financière, guerre ou question diplomatique majeure). Cette assemblée était, entre autres, seule habilitée à réformer la fiscalité générale ou, dans une moindre mesure, à statuer sur des problèmes dynastiques, en vue de traiter la crise rencontrée. L'institution est créée en 1302 par le roi Philippe le Bel pour donner une apparente légitimité à ses décisions, en réaction à la bulle Ausculta fili du pape Boniface VIII. À l'origine, ils réunissaient le clergé, la noblesse et la bourgeoisie des bonnes villes (que l'on nommera rétrospectivement, à partir de la Révolution, troisième état puis tiers état). Cette sorte d'assemblée « nationale » avant l'heure est fondée sur les lois fondamentales du royaume de France selon lesquelles : les peuples de France ne sont pas tributaires mais libres ; aucune contribution ne peut être exigée d'eux sans leur consentement ; le gouvernement du roi se fait toujours par conseils (les états généraux étant le conseil le plus large qu'un souverain puisse réunir autour de lui). Cette assemblée n'avait en revanche aucun rôle réglementaire ou juridictionnel : ces compétences relevaient des parlements avec lesquels elle ne doit pas être confondue, et qui n'avaient pas non plus de pouvoir législatif, lequel appartenait au roi. Les députés des états généraux, quel que soit leur ordre respectif, étaient investis d'un mandat impératif et non représentatif : ils étaient porteurs des doléances des habitants de leur circonscriptions (bailliages et sénéchaussées) et ne pouvaient nullement s'arroger le droit de parler en leur nom. B LES PREMISSES. Le 8 août 1788, le marasme financier et la dégradation de la situation dans tout le pays amènent Louis XVI à convoquer les états généraux du royaume pour le 1er mai 1789. Dès la fin de l'année 1788, « la liberté de la presse est établie de fait » : mémoires, libelles et périodiques sur la convocation prochaine se multiplient. Villes et villages français s'informent ainsi des débats sur la composition prochaine des États du royaume. Le 21 septembre, le Parlement de Paris annonce qu'ils sont dorénavant appelés à être convoqués fréquemment et selon les formes de 1614, à savoir par ordre. Cet avis fait s'évanouir l'image d'un parlement protecteur du Tiers face au « despotisme » des privilégiés. Le 27 décembre 1788, le Conseil d'État décide que le bailliage serait l'unité électorale de base, qu'il y aurait au moins 1 000 députés en fonction de la population et du montant des contributions de chaque bailliage, et surtout qu'il y aurait doublement de la représentation du tiers état. La convocation des États généraux dure un mois et 21 jours. L'élection des représentants a lieu de janvier à mai 1789 et suscite une participation très variable. Les représentants du tiers état sont désignés de façon indirecte. Seuls les habitants de plus de 25 ans, hommes et femmes, inscrits sur le rôle des impositions (il s'agissait d'être inscrit au rôle et pas nécessairement de payer des impôts) ont le droit de voter. C CONTEXTE. Le 17 juin 1789, les États Généraux échappent à Louis XVI. Les députés du tiers États, quelques députés du clergé et de la Noblesse prennent le nom d’Assemblée Nationale. Autrement dit l’Assemblée de la Nation face au Roi. Louis XVI tente de les empêcher de se réunir en fermant la salle des menus plaisirs qui a cet usage le 20 juin, mais les députés s’installent juste à côté, dans la salle du jeu de paume. C’est là que le député Bailly prononce ces mots « Faisons le serment ici et maintenant de ne jamais nous séparer et de nous rassembler partout où les circonstances l’exigent jusqu’à ce que nous ayons donné à la France une constitution ». C’est véritablement l’acte de naissance de notre Assemblée Nationale. D APPARITION DE LA DROITE ET DE LA GAUCHE. le 28 août 1789, l’assemblée constituante, créée à la suite des États généraux, organise un débat sur la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Les discussions tournent notamment autour du droit de veto royal (le roi a le pouvoir de bloquer des décisions de l’assemblée). Pour faciliter le décompte des voix, le président de séance demande aux députés favorables au maintien du droit de veto royal absolu de se placer à sa droite, et aux opposants favorables à un droit de veto limité de se tenir à sa gauche. Ce jour-là, c’est la « gauche » (tiers état) qui gagna avec 673 voix contre 325 voix de la « droite » composée de représentants issus de la noblesse et du clergé. E. CONCLUSION. Au départ droite = donc pouvoir central fort Gauche = pouvoir central limité. Et c’est tout! Le reste a été rajouté et a varié suivant les époques. Exemple Jules Ferry homme de gauche et athée (28 juillet 1885) « Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu’en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures. Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures. Ces devoirs ont souvent été méconnus dans l’histoire des siècles précédents, et certainement quand les soldats et les explorateurs espagnols introduisaient l’esclavage dans l’Amérique centrale, ils n’accomplissaient pas leur devoir d’hommes de race supérieure. Mais de nos jours, je soutiens que les nations européennes s’acquittent avec largeur, grandeur et honnêteté de ce devoir supérieur de la civilisation. » Les autres définitions de la distinction entre gauche et droite en politique sont des tautologies. Du genre: on pose que tout ce qui est gentil et intelligent est de gauche; et donc il en résulte que la gauche c’est....tout ce qui est gentil et intelligent. Par définition.Évidemment!

[@user-fr2zm4zt5m]

Stéphanie Roza, j'aime beaucoup ce que vous dites. Une seule chose me chiffonne, c'est votre discours sur l'école. Je ne comprends pas votre hostilité au " pédagogisme " et au " mythe de l'autonomie de l'enfant ". Que ce soit Philippe Meirieux, les écoles pratiquant les pédagogies Freinet, le collège de la Clisthène ou l'auto école de Marie Danielle Pierrelée, aucun de ces mouvements ou établissements n'abandonnent la transmission avec exigeance de connaissances aux enfants. Il s'agit de partir des centres d'intérêt de l'enfant pour l'amener à apprendre de nouvelles choses, ça n'implique aucune démagogie ou laxisme. Par ailleurs l'autonomie de l'enfant n'est pas un mythe: il s'agit de favoriser l'autonomie de l'enfant, quand c'est possible, en fonction de son âge, il n'est pas question de le laisser livré à lui même. Répondez quand vous aurez le temps. Mister Phil'

[@Lavocatlibre]

Il y a pas mal de temps que la gauche n'a plus de lumière à tous les étages.

[@patuclos]

Comment peut-on encore être parti socialiste ? notre président de la communauté de communes, jf débat pour ne pas le citer, gagne 20 00 euros par mois. Quelle crédibilité pour des salauds de cette espèce ? Le socialisme des riches est mort grâce à Hollande, merci à lui, car c'est le seul point de sa vie remarquable.

[@marielem982]

A mon avis vous avez deux points qui sont essentiels pour pouvoir faire corps ,mélanger les gens faire exploser ces ghettos. et écrire l’histoire sans cacher la vérité cela vous grandira .

[@marielem982]

Moi , je suis entrain de voir les enfants de l’OAS revenu en France face aux enfants des anciennes colonies.Comment faire Pour rassembler.Quand à l’égalité quand on écoute Macron , on a un grand doute.

[@g-a-b-r-i-e-l]

Amis gauchistes écervelés, voici une citation d'un représentant de la gôche de lumnières : "Je répète qu'il y a pour les races supérieures un droit, parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures." Jules Ferry

[@laurentboireau1248]

Merci madame!

[@AndreCaronCaron]

Si cela peut aider aux lumières. La gauche est en sorte une sous division d’une cellule mère de 24 chromosomes complète, qui s’est détachée pour vivre sa propre éthique de conviction laissant ainsi, on ne sait ni où, ni confirmer la date, encore moins par quel processus elle a largué sans état d’âme son éthique de responsabilité qui est en fait le bien de tous quand tout est réuni, comme la défense de l’État et de sa population, la maintenance du régalien pour garantir la sécurité, la promotion de sa langue, sa culture, le refus d’une instruction sans compromis, un service de santé engagé et efficace, une protection des arts et des lettres et de l’industrie et de tous son patrimoine culture et d’assurer une bonne réputation mondiale. La partie qui s’est détachée, dites de ‘’ gauche ‘’ incomplète par nature et qui est de celle qui ne vise que l’éthique, ce qui la définition de la gauche, les causes de cette gauche peuvent être importantes mais accessoires au final, sa bataille c’est l’écologie, les minorités qui dérange, le désordre, l’intransigeance, ne écologie mai sans la faune et la flore, seulement des tours avec des pales qui prennent feu, et surtout ces gens doivent se reconnaitre même de loin, sans badge, par leur regard inquisiteur, leur manifestation de rue, leur agressivité, leur haines et sont reconnues par une identité de type primitif ce qui lui permet de de se donner bonne conscience, leur fonction est accessoire et appelé à s’éteindre dans le marécage de l’indifférence, pour eux c’est pire que la mort, pour y remédier ils doivent créer une crise, l’éthique est un doux papier léger facile à briser, entre les mains de molochs.