MASCULINITÉ TOXIQUE EN DIRECT DE ST-ASILE-LE-GRAND (LIGNE OUVERTE) 3

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[@tabou7513]

On voit bien que André était un fan de Roger Drolet !!😃

[@ondinelachainedufrisson2586]

coucou je sais pas si je suis la bienvenue vue que je suis de france mais j aime ton èmissions c est agrèable et je reviendrais souvent la voir je t en remercie beaucoup ami du canada prend soin de toi

[@martinlabrecque1164]

Tu es la bienvenue certainement 😊

[@dadio02]

Est-ce que tu étais en mode TEST

[@LERECEPTIONNISTE]

Bonjour! Juste pour dire: la masculinité toxique existe bel et bien. Il suffit de rester honnête et réaliste pour le voir. Ce n’est pas pour rien que les allocations, à l’époque, ont été distribuées aux femmes. Beaucoup d’hommes disparaissaient dans le bois ou ailleurs, prétextant gagner la pitance; alors qu’ils buvaient tout, ne ramenant rien à la maisonnée…à part leur sperme pour ajouter des nouveaux-nés. J’aimerais bien participer à ta ligne. Or, je vis hors réseau et visionne tout, en téléchargement. La règle française est au féminin pour vidéo. Moi aussi je suis têtue à l’usage de certains mots. Exemple: j’aime écrire s’elle; comme dans s’il.

[@LERECEPTIONNISTE]

Plusieurs hommes croient encore que la femme doit s’écraser devant l’homme, serait-il violent, alcoolique et fainéant. Ce sont les pires. Il vaudrait peut-être mieux de traiter la question à l’inverse: comment les hommes peuvent-ils éviter la toxicité ? C’est aussi faux: rares les femmes avant nous, qui n’ont pas été maltraitées par le mari. Pauvreté, violence, viols, même l’obligation d’enfanter chaque année, tel que demandé par le clergé! J’ai un groupe de plus de 1000 femmes et même quelques hommes, maltraités par des hommes. Je n’ai moi-même jamais utilisé ce terme de toxicité. Ceux qui prônent la domination de l’homme sur les femmes et enfants sont souvent les pires. Mon avis, il vaut mieux prôner l’équilibre et le respect. En passant, je ne suis aucunement féministe! Les femmes doivent quand-même développer leur personnalité, leur santé, leur force, leur féminité autant que leur autonomie. Ensuite, elles peuvent faire des choix de vie éclairés.

[@tabou7513]

Tout comme la féminité toxique.

[@TVLuxMedia]

la séparation et le divorce était un concept nouveau. La femme demande le divorce dans genre 80% des cas. Elle est brainwashée par les médias et elle croit qu'elle sera libre hors de son mariage. Quand une femme veut divorcer, elle plonge directement dans l'asile et sa vie sera inévitablement à chier.

[@LERECEPTIONNISTE]

@@TVLuxMedia Allô André ! Dn passant, merci pour ton travail que tu tentes le plus rigoureusement possible. C’est appréciable. Aussi , j’aime bien Ken. Bon. J’ai vécu dans les années ‘70. J’ai vu les changements. Vers 1976, l’option du divorce prenait de plus en plus forme. Vers 1980, l’attente a baissé à environ 6 mois. Non, la femme n’a pas été «brainwashée » en ce sens. Elle ÉTAIT « brainwashée» à se marier. Souvent, incitée par les «événements». Oui, avec Lise Payette au Québec, qui aimaient les hommes, s’est façonné un tournant irréversible. La femme de l’époque était encore et très souvent enfermée dans un cercle vicieux avec des hommes que l’église endoctrinait sévèrement. Un homme devait contrôler, serait-ce même malicieusement, sa femme et ses enfants. Souvent, une femme en peine, ne pouvait parler sans la présence du mari contrôlant. Il avait fallu créer des refuges pour ces femmes et enfants afin qu’elles puissent fuir en sécurité. Je ne parle pas au travers mon bonnet ! J’en ai vu pas mal. Un homme qui n’avait pas la main ferme et même violente sur sa maison était un pauvre lâche. Encore, en ces années, au Nouveau-Brunswick et au Québec, un homme pouvait frapper sa femme à mort, sans poursuite. Sans que personne n’ose intervenir. Ni vu ni connu, semblait-il. Alors, non. À cette époque, ce n’était pas de l’endoctrinement positif! La femme devait être soumise et obéissante. Tu ignores (volontairement?) tellement de choses! Lesquelles choses méritent d’être encore décriées. Oui, on a mis les femmes au travail sous prétexte d’aider le mari à subvenir aux besoins. J’étais dubitative lorsqu’une femme des années début “80 , avec enfants, partait sur le marché. Ce n’était pas considéré normal. Le but: que les femmes maltraitées aient la chance de sortir de ces enfers. Rien à voir avec le concept de liberté ! Une femme sans le sou, avec enfants, n’osait souvent pas se séparer malgré les abus de toutes sortes qu’elles et leurs enfants subissaient. La société, le clergé, les condamnaient systématiquement. Le principal but de faciliter le divorce,but ignoré de la majorité, était l’engeance contre la famille. Malheureusement, jamais pour sauver ces femmes et enfants. Ne crois surtout pas tout savoir alors que tu n’étais pas là. Les HOMMES ont été endoctrinés et séduits afin qu’ils veuillent ou incitent leurs femmes à aller sur le marché.

[@LERECEPTIONNISTE]

@@TVLuxMedia ce n’était pas nouveau du tout. Il fallait aussi être séparés plusieurs années avant d’avoir le droit de demander le divorce . Mais la possibilité de bien survivre séparées était très mince. De plus le clergé défendait sévèrement à ces pauvres croyantes, la séparation.