Mon avis sur VICE VERSA 2 🟡 - No spoilers

[@tornapart]

Tourner ses videos à 22h45 est un grand mood! Sincèrement respect! J ai du le faire juste 2-3 fois en 3 ans et faut TELLEMENT d’énergie pour se motiver et avoir la bonne humeur xDD

[@emmanuellabeille4085]

Merci pour ton avis de qualité, comme d'habitude. J'ai hâte d'aller le voir. J'avais adoré le premier et je sens que je ne serai pas déçu. 😊❤

[@virginieaulibert8444]

Merci pour cette vidéo qui donne très envie d'aller le voir 😊 j'avais bien aimé le 1er aussi 😊

[@bastiensmith6685]

Excellente vidéo et moi aussi j'ai été déçu des derniers Pixar mais celui là je l'ai adoré et fan aussi du perso de Banane à outil . Sinon mon top Pixar : Là Haut , Monstres & Cie , Coco , Wall E , Toy Story 3 , Ratatouille et Nemo P.S : te prend pas la tête pour le changement de tee shirt c'est pas très grave

[@ordalieduvoyageur]

Miniature particulièrement réussi!

[@Tata_Chat2000]

J'ai vu le film il y a quelques heures, et je l'ai vraiment adoré. Tout comme le 1, que j'ai vu je ne sais combien de fois ♡ Ayant un tempérament anxieux, vraiment Anxieté m'a fait taper des énormes barres ^^ et j'ai beaucoup aimé le fait que les 5/4 émotions toutes ensembles partent en exploration pour retourner au QG. L'aspect aventure et épopée est plus grand, j'adore ^^ Par contre je te rejoins totalement sur tes propos concernant Envie/Jalousie et Ennui/Fénéantise. Ton idée pour le réveil était excellente, et vraiment ces 2 émotions auraient du coup fait plus sens 🥲 ça laisse une potite frustration quoi ^^

[@remyblondel4192]

Vu hier et c'est un excellent Pixar. Ce qui est drôle, c'est que le personnage de Banane à outils m'a fait beaucoup penser à Tourniquet, personnage récurrent de la série d'animation pour enfants "la maison de Mickey". C'est un personnage qui donne des objets pour résoudre des énigmes et qui est appelé de la même manière ("O Tourniquet !").

[@yohanyota9629]

Il faut savoir que normalement Envie devait avoir une jumelle appelée Jalousie, mais au moment du développement ils ont trouvé que ca ferait trop d'émotions en plus. Ils ont donc caractérisés Envie aussi avec de la jalousie, au final l'un va avec l'autre... L'envie comme la joie ou la tristesse sont des mots parapluies qui regorgent de diversité ! Et pour Ennui je pense que ce n'est pas dans le sens "se faire iech", mais être "ennuyé de" / "ennuyé par" (je trouve que le mot annoyed en anglais est assez représentatif de cet état d'esprit) mais du oui ca rejoint une forme de paresse, de nonchalance, etc. Quant à Embarras, personnellement je l'aurai compris dans Anxiété par exemple ! Mais bon son personnage était un bon rajout quand-même :)

[@NeeraLola07]

Merci pour ton avis que je partage totalement 😉 vu ce matin et que du bonheur 🤩 mardi je vais voir the bikeriders et jeudi le comte de monte cristo 😊 beau dimanche à tous et bon début ce semaine 😀

[@Drac2867]

Zootopie, c'est du 100% Disney

[@kongueesso]

18:44 Ce que vous reprocher a Joie est fait exprès. Le principe du personnage dans le premier film c'est qu'elle veut que tout et tous le monde choix positif mais qu'au fil de son aventure elle va comprendre que la joie ne suffit pas et ne fais pas tous. Le fait qu'elle soit supportable dans le second film n'est pas un exploit mais cohérent avec son évolution.

[@samzeyel8220]

lol petite lily, ta vignette me fait penser que tu ferai un adorable personnage pixar xD faudra que je pense a en ecrire le scenario a part ca LOL

[@kakashi62480]

La notif qui fait plaisir au moment de faire la vaisselle 😁

[@jeffreyhoungbadji]

Merci beaucoup pour ton avis !

[@LeChapelierLitt]

j'ai vraiment hâte de le voir avec ma petite sœur et je dirais mon Pixar préféré élémentaire

Le personnage secret, si c'est celui auquel je pense, ils ont révélé son secret dans la scène post générique, non ? Ou alors je suis totalement à côté de la plaque et je ne parle pas du bon personnage. Bon pour ma part j'ai adoré cette suite dans laquelle j'ai retrouvé beaucoup de choses que j'avais aimé dans le film original. Oh et puis pour Envie, je pense qu'il y a eu un problème en traduisant en français son nom original puisque « envy » en anglais peut aussi bien dire « envie » que « jalousie » en français, selon son utilisation. Quand à Ennui, j'avoue avoir adoré le personnage (que j'appelerais plutôt Apathie que Fainéantise) grâce à l'interprétation d'Adèle Exarchopoulos, chacune de ses interventions est très drôle (je l'ai vu en VO, c'est peut-être différent en VF).

[@olivier2938]

Salut 😅 Excellente ta vidéo 😂 Merci pour ta critique 🧡 À bientôt. 👋🇫🇷👩🥤🐈‍⬛❤📽🌐🎞😘

[@olivier2938]

Salut merci beaucoup pour ta vidéo, je suis très content que tu es faite cette critique 😊 La profondeur du scénario... C'est ce que je craignais 😏 ( Paraît-il encore à cause de disney ☹️) Changer de t-shirt à chaque émotion? 🤔 Je pense que ce jour-là tu étais trop fatigué pour te rajouter ça en plus 😅 J'aime toujours autant tes scènes post-générique, ça rajoute beaucoup d'humour 😂 Mon pixar préféré c'est vice-versa le 1er 💛💚💙💜❤ À bientôt. 👋🇫🇷👩🥤🐈‍⬛❤📽🌐🎞😘

[@zah9074]

Hâte de le voir!...g vu le film et j'avoue il y a des emotions qui m'ont semblé inutile et d'autres mal nommée et c en ça que g été un peu déçue pcq forcément j'avais hate de voir cmt ça allait s'intégrer ds l'histoire et dans les actes. Après Tristesse qui est ma favorite il y a mtnt Embarras😊

[@SoSkuld]

Je partage complètement ton avis, c'est une excellente suite et le sujet de l'angoisse m'a beaucoup touché, j'ai (encore) pleuré à la fin...ces films font du bien.

[@nmcartscolorworld]

J’ai passé un moment super devant e deuxième opus de vice versa , et aussi devant ta vidéo. (J’aurais aimé te voir déguisée en l’une des nouvelles émotions mais bon.. ) tu as résumé mon avis globalement excellent film

[@koalanwar]

10/10 pour la miniature !

[@samzeyel8220]

À part ça tu n'es pas sans savoir que Pixar a dit bye bye au contenu Disney+ et préfère désormais largement revenir à ce qui a fait tout son succès d'antan, le long métrage d'animation. et LA JE DIS OUI ! enfin une sage décision

[@Linda_L88]

Merci pour ton avis, moi aussi j'ai beaucoup aimé cette suite 💙 de mon côté, j'aurai plutôt appelé "ennui" "blasé" qui correspond assez au mood des adolescents 😅. Ça me rassure quand tu dis que tu as eu des enfants qui couraient lors de ta projection, parce que ma séance dans mon ciné de quartier a été une purge, j'ai jamais autant de gens si impolis et irrespectueux de leurs voisins 😱😱

[@Iirreell]

Super, merci, j avais peur aussi. C est mon Pixar prefere ❤❤❤

[@JadSeif]

Super critique. J'ai adoré ce film. Pour moi, Envie n'est pas la jalousie. C'est un personnage qui veut des choses. Son design est parfait. Elle me fait penser à l'expression "Avoir les yeux plus gros que le ventre". Je te rejoins un peu plus pour Ennui. À mon avis, c'est vraiment le fait d'avoir la flemme. Pour le scénario, je n'ai pas été dérangé. Pour Riley, le hockey c'est tout. Elle veut être sélectionnée. Cette situation est intéressante.

[@MultiLimen]

Merci beaucoup pour l'avis/la vidéo

[@devoid5637]

Trop bien l'invitation à Nouvelle Vague !! 🤗 MDR ! Tu penses déjà à la retraite ! T'es bien une prof ! 😅 ... À condition qu'elle ne soit pas à 68 ans d'ici-là ... Sinon Vice-Versa 2, et Pixar en général... j'irai le voir, mais j'épargnerai la section commentaires de mon dédain général de vieux grincheux quant aux films Disney, et d'animations américains en général... 👺 Cela dit, j'ignore la fluidité des équipes entre les studios, mais j'ai le souvenir que Pixar ne sont pas crédités sur Zootopia. 🤔

[@DavidMichot]

Super vignette 👌👍

[@clintwestwood9198]

Ça sent le lancement d’une série de plusieurs suites : après Andy qui grandit avec ses jouets, voici Riley qui grandit avec ses émotions. Le premier Toy Story, vu en salle à l’époque, reste mon Pixar favori. Je n’ai jamais vraiment accroché à Là-haut. J’aime beaucoup le début, mais je trouve que le film baisse nettement en qualité à partir du moment où le petit vieux part à l’aventure avec le scout. L’antagoniste est également inintéressant au possible. (Zootopie n’est pas un film Pixar)

[@flo6176]

... Suite : Et pour cette suite là, le modèle évident sera « Toy Story 2 » : un quasi remake du premier, avec plus de personnages inédits, les acolytes qui auront un rôle plus actif (les acteurs sont presque tous revenu), des angoisses futures encore plus explicitées… Manque juste des moments d’action qui soient encore plus spectaculaires, ainsi qu’une exploration du territoire mental de Riley qui aurait révélé plus de nouvelles zones (à part le coffre-fort, où on ne reste pas longtemps)… et c’est aussi là que réside une incompréhension continue envers le Pixar actuel. Peut-être est-ce parce que les animateurs ont moins de talent formel, ou moins de temps de production. Ou bien parce que les réalisateurs (ici, le débutant Kelsey Mann) n’en ont pas envie, et préfèrent se concentrer sur le cœur des films. Ça se fait au profit du suspense, de la réflexion, du drama, qui sont alors poussés à des extrémités incroyables pour un film américain Tout Public. Rendez-vous compte que, comme dans « Cars », on débute plein pot sur une situation de compétition sportive (toujours le Hockey sur glace, mélange de grâce et de brutalité). Laquelle ne va pas quitter le film une seule fois, ça sera le contexte principal, loin des parents, loin de tout confort… Et en parallèle, ça sera une bataille à distance entre deux générations d’Émotions, pour le « contrôle » de Riley. Adolescence oblige, les nouvelles venues s’installent de façon impulsive, mettent les autres dehors et s’approprient les manettes très vite, sans qu’il y ait ni la création de tensions progressives, ni même un schisme dans l’équipe initiale (Peur semblait pourtant séduit par cette nouvelle direction, et il aurait pu faire un traître idéal…). On peut y observer quelques ambivalences chez Colère, Embarras, Ennui, et pas grand chose pour tous les autres - Tristesse n’a plus un aussi grand rôle, et même une scène de traque avec elle se conclue de manière plate, sans qu’elle puisse faire preuve de sagacité. De toute façon, on connaît tous la formule, on sait quelles sont les deux Émotions qui vont principalement se défier, alors pas de temps à perdre ! Avec à la tête des arrivants, Anxiété. Personnage aussi flippant que flippé, et qui se révèle progressivement comme un commentaire sur les leaders populistes, qui jouent les Cassandre et détournent des institutions pour mieux avoir le contrôle (toute une scène à la « 1984 », faisant aussi penser à une célèbre pub télé). À elle seule, Anxiété cristallise toute une époque qui voit le danger partout et craint la souffrance… mais sans jamais qu’on la juge pour ses actes, accomplis de bonne foi et dans la douleur. Tandis que Joie (dont le visage se superpose régulièrement avec celui de Riley, via le montage) devient le symbole d’un monde heureux qui perd progressivement de sa force. En partie à cause du même syndrome du contrôle à tout prix, qui se retourne ainsi contre elle - on le sent dès le début, à sa manière nouvelle de trier les souvenirs. On peut aussi évidemment interpréter ses nouvelles Émotions comme étant le reflet de la dernière génération de films Pixar, qui opposeraient leur côté sophistiqué, angoissé et bordélique au caractère plus conventionnel et « primaire » des anciens. Jusqu’à, bien entendu, finir par trouver un accord, on connaît etc - toujours pas de méchant à pulvériser. Ce studio ne cesse de se poser des questions sur son identité, et intègre même la notion de Croyance dans ce nouveau volet, amenant l’histoire vers des contrées de plus en plus jungiennes, ou rousseauistes, voir même théologiques (le symbole de l’arbre). Même si toutes les nouvelles idées philosophiques de Pixar empiètent un peu sur le rythme des films (tout ce qui concerne l’instinct), c’est le signe qu’il y a toujours des humains aux commandes. Et sans bégayer avec le récent (et très burlesque) « Alerte rouge », cette suite arrive à traiter de l’adolescence féminine conflictuelle, en retrouvant précisément les mêmes sensations que le premier « Vice-versa » : La contamination par le Désespoir, petit à petit. Puis, une fois qu’on a réussi à tout résoudre en parlant honnêtement avec ses proches, on a l’émergence d’un sentiment de Plénitude absolue. Ici, c’est juste fait d’une autre manière, avec une crise de panique dont la mise en scène est bouleversante… Et lorsque c’est fini, on peut alors se rappeler les propos de Woody, déclarant qu’il a hâte de voir les moments où Andy va devenir un adulte. C’est bien ce qu’on commence à voir là avec Riley, dans toute sa splendeur. Donc oui, ce film génère encore de l’émotion, n’écoutez pas ceux qui vous diront le contraire… Ils n’étaient pas prêts à ce type de secousses, dévastatrices et en même temps tellement ordinaires. C’est toujours Pixar quoi… mais différent. Ce qui n’est pas du tout une mauvaise chose, et ne l’a jamais été. Oh versez-m’en encore !

[@Anthony-ql3ps]

Class l'incruste !

[@emmanuellabeille4085]

Oui, ça aurait été une super idée de changer de t-shirt pour faire monter les émotions. 😭💯

[@erymano467]

CRITQUE PERSO SPOILER : (ma critique est un peu longue donc la suite de celle-ci est une réponse à mon propre commentaire merci) Personnellement je n'ai vraiment pas apprécié ce second film. J'avais adoré le premier que je trouve très émotionnel et surtout conceptuellement très dévellopé et très recherché. Le second film perd vraiment en amour, en ame et en humanité. C'est un requel du premier, beaucoup trop rapide, qui use des memes "formes" que son prédécesseur sans véritablement les compendre ou les utiliser pour raconter quelque. En fait, tous le premier film racontait - eux ceux avec une vision et un point de vue - très humaniste et donc très touchant (étant donner qu'on vie les événements d'une fille à travers les yeux d'une petite fille ET dans sa tete) la complication que pouvait apporter divers changements dans nos vies, qu'ils soient physique ou moraux. Le déménagement de Riley méthaphorisait tous types de changements drastique de vie et intervenait durant la pré-adolescence du personnage afin de représenter : les complications que peuvent apporter le fait de grandir - et d'etre plus triste. Riley vivait une sorte de mental breakdown - peut-etre meme un début de dépression (car elle idéalisait son passé et n'est tous simplement plsu heureuse dans sa vie actuelle) et je trouvais donc les thématique aborder hyper intérressante et très mature. Je ne voyais donc pas l'interet de faire un second film sur l'adolescence et les déboirs que cette période peut apporter - car le 1er film en parlait d'ores et déja pour moi (Riley à du mal à se faire des amies, elle est seule, elle est triste d'avoir déménager, elle ressens moins de joies, elle s'écarte de ces parents, elle ne se sens plus écouter et est perdue dans sa vie). Mais j'avoue que quand les trailers sont sorties, l'appartion d'Anxiété au casting m'avait plutot rassuré. Je voyais venir la reddit du premier film - mais justement - explicité davantage le fameux mal du siècle qu'est la dépression (notament chez les 18-25 ans - donc le public cible du premier film - depuis l'arrivé du covid) était pour moi une idée qu'allait forcément évoqué ce second film. SPOILERS : Mais en fait pas du tout. Ce film n'exploite tout simplement rien de tout ! Déja le scénario intra-Riley est beaucoup mais alors beaucoup trop similaire au premier film. Plusieurs émotions sont envoyés dans les fins fonds du cerveau de Riley et doivent rejoindre le cortexte cérébral pour "sauver" Riley en ramenant un macguffin hyper important. Remplacez le duo Joie/tristesse qui doivent sauver Riley avec des souvenirs joyeux (boules jaunes) des griffes de Colère/Dégout et peur (contre leur gré) par toutes les émotions originales qui doivent sauver Riley - avec l'arbuste de la confiance en soi (qui ressemble aussi une boule) des griffes -des griffes d'Anxiété (et ces acolytes). Le scénario (comme le 1er film) alterne entre deux univers/histoires (qui influencent l'une sur l'autre c'est le concept du film) - la première suit la vie de Riley dans son quotidien d'humaine (histoire extra-Riley) - et la seconde suit les émotions de Riley dans l'univers fantastique de son cerveau (histoire extra-Riley). Dans le second film, la moitié du film est totalement similaire au premier. L'aventure promise est très mal monté et très mal foutue - les scènes s'enchainent sans queue nie tete - on passe d'un "biome" à l'autre sans réelle logique (sa fait un peu tour de manège pas ouf) - surtout que les minis nouveaux concepts sont très inintérréssant par rapport à ce qui à été dévelloper dans le premier film (donc en bref rien de neuf pour ce qui est du décors ou du cortex et donc des situations). MAIS PIRE ENCORE, c'est que la partie du film extra-Riley est totalement inintérréssante et n'aide en rien à exploité les nouvelles émotions de la soit disant adolescence par laquelle elle passe. En fait, le film n'exploite en rien le concept qu'il vend, c'est quasiment de la publicité mensongère à ce niveau là. La situation du stage sur 3 jours, ne sert en rien à exprimer les changements que Riley éprouve lors de son adolescence. Cette situation démontre juste son aspect sportif et sa s'arrette là. Point barre. Franchement quand je pense : Vice-versa 2 + Adolescence, je pense : Premier flirt, premier drague, découverte de son orientation sexuelle, découverte de son corps, accepter sa personne, dépression, forte émotions, émancipations avec ces parents, manque de confiance en soit, etre perdue ect... Là, rien de tout ça ! Vous allez me dire, oui mais Anxiété alors... Franchement, je ne sais pas si c'est moi qui ai un problème mais, l'anxiété dans le film est complétements paradoxale. Le film par du principe qu'etre anxieux, nous pousse à faire un maximum de chose afin de devenir parfait. (littéralment, Anxiété passe son temps à pousser à Riley à sortir de sa zone de confort : ce faire de nouvelles amies, faire plus de sport, se surpasser, aller à une fete, s'intégrer ect...) - mais je suis désolé, pour moi, ce n'est pas de l'anxiété ça, c'est de la putain de MOTIVATION. Pour l'Anxiété - c'est l'évolution de la peur (d'ailleurs peur dit littéralement : "on va etre ami tous les deux" - et c'est logique) car lorsqu'on est anxieux - on NE FAIT RIEN. On a effectivement tellement peur de ne pas etre parfait - qu'on FINI PAR NE MEME PAS COMMENCER - par ce figer ! Exemple : Un garçon qui n'a jamais parlé à une fille est anxieux. Il arrive à une soirée. Il voit une jolie fille. Il est encore plus anxieux. Vous croyez qu'il va y aller chaud pattate ! Beh non ! Il va rester dans son coin et va regretter ces nons agissements. Pour moi c'est ça l'anxiété - avoir peur de tout tous le temps (ce qui est uniquement et légérement évoqué par l'imagination négative de Riley - mais franchement ce n'est pas assez exploité et les scènes imaginer ne sont justement pas assez anxieuse et perturbante).

[@erymano467]

SUITE BIS L'adolescence du personnage est évoqué SEULEMENT dans UNE SEULE scène (présente dans le trailer d'ailleur) - c'est lorsque Riley se réveille - et c'est utilisé avec tellement de ressort comique que le peu de ce qu'on voulait voir dans ce film est totalement désamorcé. (et puis c'est d'ailleur trop grostesque et sans conséquence pcq la mère ou le père se foutent que leur filles leur crient dessus et soient irrespectueuse). Donc bon, meme la fin du film, est une reditte du premier mais en tellement moins intérréssant pcq là ou Riley à la fin du premier film fait un mental breakdown à cause du fait qu'elle soit émotionnellement brisé - dans le second film - Riley fait une crise de panique (qui n'est que finalement du qu'a un maux physique - alors oui c'est dut au stress mais d'un pdv cinématographique et visuel - on la voie juste respirer fortement). Je trouve ça plus touchant, voir une jeune brisé mentallement au point de pleurer devant ces parents que voir une ado essouflé sur banc au sport. Je n'ai pas du tout aimé le trio d'amies de Riley qui font simplement pensé à une version wish de celle qu'on avait dans Red Alert (que je trouvais vraiment très bien - Red Alert qui traitait d'ailleur beaucoup mieux l'adolescence que Vice-Versa 2 malheuresement - pcq entre méthaphoriser avec brio la puberté avec un panda rouge - et ne pas l'exploité du tout avec un concept qui te permet de littéralement entrer dans la tete de ton personnage en dépeignant 4 nouvelles émotions soit disant 'adolescentes" - faut le faire quand meme). Donc concernant les nouvelles émotions, Anxiété est complétement raté dans sa logique - mais par contre son chara-design est juste PARFAIT (et puis Maya Hawke c'est la goat !). Envy est effectivement très mimi - mais ne sert à rien de plus qu'etre le bras droit d'Anxiété - donc encore fois conceptuellement parlant - elle n'envie rien du tout est devient autant motivé qu'Anxiété. (J'adore son charadesign - mais je trouve ça logique qu'elle soit une petite fille quasi bébé - car généralement - les enfants et surtout les filles - veulent toujours devenir quelqu'un d'autre - en tout cas - on à tous un modèle qu'on souhaite impérativement reproduire par envie - c'est par pour rien que les bébés adorent jouer à la poupée - pour mimer leur parents - ou que les petites filles sont fans de Taylor Swift ou Olivia Rodrigo et s'habillent comme elle...) Contrairement à toi je n'ai pas du tout aimé embarras (qui pour le coup est conceptuellement logique et illogique - car oui il rend Riley embarrasser - mais n'est absoulement pas du tout géner d'ailer Tristesse dans le dos de son groupe - et si vraiment quelqu'un doit etre géné de le faire - c'est bien lui quoi ! Donc c vrm illogique donc sa m'a saoulé). Et puis je trouve son design vraiment trop grotesque est trop peu recherché. Et par contre j'ai adoré Ennui ! J'adore sa gestuelle de limasse - d'ado dépressive - de fille complétement ailleur - de sa couleur violette qui fait penser ducoup à Tristesse mais en plus malade - et de son manque d'interaction et donc de temps d'écran (alors totalement logique avec son personnage). Elle est tellement biscornu qu'on dirait qu'elle sort d'un tableau de picasso. Elle possède la shape la plus intérressante avec Anxiété ! J'adore aussi que ces cheveux tombant forment la shape d'un téléphone à la verticale - c'est une idée brillante ! Et pour le coup je trouve qu'elle représente bien l'ennui. L'ennui représente deux états - le fait de s'ennuyer et de rien faire - d'etre innactif - et donc d'etre endormire -affaller (comme le personnage) et le fait de s'ennuyer mais mentallement dans une conversation (et effectivement sa devient de la non-chalence) - ce que fait aussi le personnage lorsqu'elle parle. C'est l'une des émotions qui représente le plus ce que j'aurais voulu voir exploité dans le film - car Ennui ne sert - dans les parties extra-Riley - qu'a etre ironique et sarcastique (et donc ce n'est que la deuxième définition de l'ennui qui est utilisé - ce qui est mieux que rien - malgré que non suffisant - ça reste l'émotion la plus fidèle à l'adolesence du film). Bref, j'ai trouvé le film très mal dévellopé, inintérrésant au possible dans les phases avec Riley (avec le stage et ces amis aux mèches rouges - avec qui on ne dévellope en rien une potentielle relation amoureuse - déja que le premier film ne parlait pas d'amour de jeunesse - je pensais vraiment que le second allait le faire - surtout pour l'adolescence - car les amourettes permettent de dévelloper logiquement et en douceur les relations changeantes qu'on entretien avec notre propre cors - donc c vraiment très très dommage que ce ne fut pas dévélloper ici). J'ai juste l'impression d'avoir regardé un long court métrag additonnel sur Vice-Versa sur Disney + (donc un truc pas quali). Je ne comprend pas pourquoi ils ont attendus 9 ans pour sortir une histoire aussi inintérrésantes et vide ! Quel dommage ! Meme su Vice-Versa essayra de se rattraper, il sera trop tard pour moi. Ils ont loupé de coche. Le départ de Pete Docter à la réalisation n'a pas aidé non plus... Merci d'avoir lu et bonne soirée !

[@MultiLimen]

Oui, le changement de t-shirt aurait été amusant

[@sangraal2]

Un peu déçu de ta scène post générique, on espérait te voir en cosplay d'Anxiété. Ca aurait été épique de te voir avec une perruque rousse montée en palmier. 🤣🤣 Très belle vidéo, comme à chaque fois. Merci pour ce partage, ma chère Lily. Bon week end et bon amusement au festival. Hâte de voir ton vlog sur le sujet. P.S. Nous avons un point commun. Wall-E est également mon Pixar préféré. On passe tous les Noël ensemble, lui et moi.

[@kongueesso]

Pourquoi pas un cosplay d'Ennui car sa chaîne s'appelle Lily s'ennuie

[@Thedarksly87]

J'en sors j ai beaucoup apprécié, particulièrement la représentation de la crise d'angoisse.

[@mickaelpagnier39]

Mes pixar préféré (ex aequo), c'est "monstres et compagnie" et "coco" !

[@marroniraphael9356]

Yes, vu Mercredi 😊 J’ai passé un bon moment malgré tous les enfants qui font que parler 😂 Perso j’ai grandi avec Monstres et Cie 😬😁

[@renaud02]

Bonjour j'ai adoré vice-versa2 en plus pour un pixar on s'attend toujours au pire mes là .

[@as6528]

Dommage pour le changement de tee shirt. Faudra pas oublier pour la sortie du 3. Sinon, pour "envie" , c'est le côté groupie qui lui donne probablement cet aspect et pour ennuie c'est le coté blasé de la vie voir presque self contrôle vu comment elle fait interragir riley. Pour le passage avec la banane, ça m'a un peu sorti du film dans le sens où je me demandais si c'était un personnage 100% fictif ou si c'était une référence à un personnage existant ou un mix des deux (dora l'exploratrice?). Oo

[@joelsoler8567]

Coucou, je suis passé par là.

[@jockyderdoki4231]

[@Stelios1713]

On en a pas marre des suites, juste des mauvaises :p

[@M75-v1u]

Pas encore vu mais apparemment il cartonne mais pas aussi appliqué que le 1 er du nom et que Disney et Pixar pour moi c'est tiré une balle dans le pied depuis longtemps avec Disney + et de leur Wokisme a tout va,bref il reviennent au fondamentaux et essaye de revenir dans le rang. Je verrais mais seulement après avoir revus le 1 er 😊

[@stellavella2101]

vice versa 2 est géniale et excellent suite disney pixar et c'était drôle la vallée du sarcasme et c'était drôle joie en colère et c'était drôle joie jalouse de anxiété et j'adore joie et j'adore anxiété et j'adore riley l'adolescente dans vice versa 2 et joie est amie avec tristesse dans vice versa 2 et c'est incroyable de ouf vice versa 2

[@cyrillefebvre59]

Assez déçu par celui là de mon côté. L'impression de voir le premier se répéter mais en moins bien (moins impactant émotionnellement en plus). Mais je suis complètement d'accord pour dire qu'envie devrait s'appeler jalousie et ennui, paresse. Mais ça jette un peu une incohérence car je ne pense pas avoir besoin d'attendre la puberté pour ressentir ces émotions (et les autres nouvelles).

[@kongueesso]

Moi j'ai bien aimé Vice versa 2 mais j'ai plusieurs problème. Les nouvelles émotions sort de nul part car dans le premier film qu'en on voyait les émotions des personnages adultes il y a pas d'autre émotion juste les 5 principaux et c'est encore pire dans le deuxième film car qu'en on voit les émotions des amis et parents de Reiley il y a que les 5 principaux il sont où les nouveaux a par Anxiété ? Il y a aussi un autre redcon la plante qui représente les convictions de Reiley ça sort aussi de nul par un élément pareil aurais été dit dans le premier film. Les souvenirs qu'oublie Reiley et qui sont a l'autre bout de sa tête dans le premier c'était en dessous du quartier général. L'envie et l'ennui c'est des émotions qu'on peut ressentir dès l'enfance pourquoi spécifiquement ils apparaissent a l'adolescence ? C'est encore plus flagrant avec Envie qui a l'apparence d'une petite fille ! Malgré les incohérences ça reste une bonne suite. ( Au faite j'aime pas Anxiété même si ce que lui reproche est fait exprès )

[@kongueesso]

Alors Lily j'ai pas de Pixar préféré. Et aussi l'idée de changer de T-shirts pour chaque émotion, j'ai encore mieux une mise en scène où on est dans votre cerveau et où on voit vos émotions

[@sinsokohoro]

des bisous

[@monsieurfielding5212]

Lily supporte pas Joie ben bravo 🤣🤣🤣

[@yannickedmond8032]

coucou

[@Snowdan33210]

Je ne suis pas trop d'accord avec toi sur le design d'envie... Enfin... Je trouve qu'elle fait plus envie que jalousie parce que la jalousie c'est forcément quelque chose de malsain alors que l'envie pas systématiquement....

[@Snowdan33210]

Et au cas où tu n'aurais pas eu l'info entre temps, il va y avoir une série Vice Versa

[@kongueesso]

​@@Snowdan33210sérieux?

[@Snowdan33210]

@@kongueesso sérieux quoi!?😅

[@kongueesso]

@@Snowdan33210 je voulais écrire C'est sérieux cette histoire de série Vice versa c'est pas un fake ? Puis après ce commentaire j'ai vais des recherches et effectivement il y a une série Vice versa en préparation.

[@durandalmichel6598]

Tatiana Ventose est la seule vidéaste capable de philosopher et de psychologiser un dessin animé pour enfants et adolescents. Pour complexifier les choses à ce point-là, je la soupçonne d'être une fonctionnaire...

[@lily_sennuie]

Tu confonds grandement de personne

[@JadSeif]

Mec, tes commentaires sont sans cesse déplacés.

[@JadSeif]

Tous les vidéastes cinéma savent que les Pixar sont plus que des "dessins animés pour enfants et adolescents". Mais bon, tu as décidé de t'en prendre à Lily.

[@durandalmichel6598]

@@JadSeif S'ils sont plus que ça, que sont-ils donc ?

[@JadSeif]

@@durandalmichel6598 C'est du cinéma, avec un propos, une esthétique, etc. Et toi, tu es quoi ? Tu crois que tu es crédible ?

je suis fier de voir lily en robe de soirée comme une star sur un tapis rouge de festoche ciné ;) pour vice et versaa 2 j'irai le voir pixar m'avait déçu ces temps ci mais le premier j avais adoré ^^

[@flo6176]

Vis ta vie à revers… Ça fait maintenant quelques années que les mauvaises langues font leurs choux gras du manque de popularité des derniers Pixar… sans vraiment l’analyser, le comprendre ni même se rendre compte que Tout était déjà présent en germe, dès leurs premiers films dans les années 90/2000. Ceux portés aux nues de façon bien trop automatiques maintenant, passaient aussi pour des chefs d’œuvres grâce à leur Classicisme, en fin de compte. Des innovations techniques certes, et beaucoup d’idées scénaristiques osant traiter de sujets bien mélancoliques - le Lâcher-Prise notamment, présent dans l’intégralité de leurs films. Néo classiques ces films… mais c’est un fait, ils étaient encore bien plus simples, primaires, obligatoirement nanti d’un méchant menaçant (qui a ses raisons, mais n’est pas très creusé). À leur époque, Tristesse aurait été un adversaire à maîtriser, rien de plus. Facile de les concevoir comme des films poétiques, et très rocambolesques (les sempiternelles scènes de course-poursuite sont de purs instants cinématographiques), car c’était encore très enfantin à l’époque, très Rétro, très intemporel… Il y avait alors plus de place pour la mise en scène. Bref, vous ne l’aviez pas compris, mais ce n’était que le début. Celui où on vit l’instant Présent, et où on anticipe un Futur moins joyeux, plus complexe… sans jamais le montrer. Jusqu’à ce qu’on arrive un jour à ces fameux instants futurs. Ça s’appelle Grandir, Mûrir. Et voilà que Pixar a atteint pleinement ce statut Adulte, rechignant de plus en plus à revenir complètement à la petite enfance « toute immaculée ». Andy est majeur et Molly ne peut empêcher la mise à la retraite de Woody. Les ados et adulescents pullulent dans Pixar, on n’hésite pas à leur faire dégainer des téléphones portables (« horreur, de la technologie moderne ! »)… et même quand on a des héros enfants, ils sont confrontés aux pires expériences de Vie - la honte, l’angoisse, la peur, la Mort (la vraie). C’est comme ça, il faut l’accepter (lâcher prise donc) : Pixar Ne Peut Pas Revenir en Arrière. Et Ne le Doit Pas. Sinon ça ne serait pas cohérent avec ce qu’ils racontent depuis presque 30 ans. Laissons d’autres nouveaux challengers essayer de faire leurs propres films pour enfants, poético-aventureux-cartoonesques-intemporels - en action réelle par exemple, comme on l’a vu avec « Blue et cie ». Pour Pixar, ce n’est plus si pertinent, même si le chevronné Pete Docter partait et laissait la suite à des émules respectueux. Est-ce devenu un studio « de vieux » ? Ou de sages ? Il n’y a plus d’innovations techniques (presque tout a déjà été fait), plus beaucoup de scènes virtuoses et épiques (c’était déjà le cas à partir de « Là Haut »), d’avantage de scènes de comédie, qui font d’autant plus ressortir les moments dramatiques très durs (l’incinérateur dans « Toy Story 3 » avait déjà scandalisé quelques-uns), moins de Nostalgie cinéphile flirtant avec le Réac, quasiment plus d’antagonistes. Dans le premier « Vice-versa », il y avait quand-même tout pour faire croire qu’on était revenu au « bon vieux temps de Pixar »… suffit d’ouvrir avec un mignon bébé, qui deviendra une petite fille adorable et bien brave, avec un énième monde métaphorique bardé de couleurs et de mélange d’animations diverses, des acteurs très cools pour faire les voix, une musique charmante de Michael Giacchino, et cette continuelle dynamique entre les personnages, qui est la même depuis 1995 : le chefaillon de mauvaise foi et qui doit se remettre en question, son opposé qu’il doit accepter, la bande de copains qui sont surtout des comiques de service, tout ce beau monde travaillant pour le bien-être d’un enfant… Et pourtant, ce film était bien plus vertigineux qu’on ne le croit, voire même tordu. Ces Émotions anthropomorphes, ne sont-elles pas des fragments de la personnalité de Riley ? « Vice-versa », un film sur la schizophrénie et la dépression ? Posant surtout la question de « qu’est-ce qui compose un être pensant ? » Malgré tout, le succès publique et critique fait de ce film un prodige, sans toutefois empêcher la production de suites… qui ne peuvent que décevoir, puisque quitter la prometteuse Riley enfant, ça oblige forcément à montrer les difficultés que rencontrera une Riley de plus en plus mature, ainsi que ses mauvais choix, pas toujours sympathiques - sinon, il n’y aurait aucune histoire à raconter… Et ça, beaucoup n’en ont pas envie (« gâcher la fin du précédent, l’horreur ! laissez tranquille cette fille ! »)… c’est comme si c’étaient nous qui étions les parents de Riley, et voudrions la surprotéger. Qu’importe, la rançon du succès oblige Pixar à livrer régulièrement des suites « réconfortantes » à leurs films cultes, entre deux projets plus expérimentaux (ce que « Vice-versa » était déjà). ...