Mouloudji Jean Misère

Extrait de l'album "La Commune en chantant"

[@louisemichel9999]

Bonjour la Commune de Paris toute une grande époque. Amitiés Camarades ❤

[@joycecattan8910]

Toutes les poésies avec toi Moulou❤

[@francoissimon3672]

un grand monsieur,tout est beau chez mouloudji

[@cilenmer]

en 1971 j'ai vu ce spectacle magnifique et je connais encore presque toutes les chansons par coeur.

[@moleshaman3040]

Chanson très émouvante qui décrit bien ce que de nombreux Communards ont du ressentir. Vive la Commune ! Près de 150 ans après...🔴

[@firmanl3085]

L'une des raisons qui ont fait que Marcel Mouloudji est boycotté, même post-mortem !! La dernière fois que quelqu'un en a parlé à la télé française, c'était Charles Aznavour et l'animateur ne l'a même pas laisser dire. Il couvrait sa voix avec la sienne. C'était flagrant. C'est honteux !

[@louisaadjouati714]

Merci pour cette anecdote révélatrice de la non-démocratie qui p eut régner sur les plateaux de tèlevision et de l'esprit de solidarité avec Mouloudji manifesté par Charles Aznavour.

[@wina2009]

Marcel Mouloudji est le fils d'un Kabyle (region d'Algérie), Saïd Mouloudji né en 1896 dans le village de Leflaye (tribu d'At Waghlis, daïra de Sidi-Aïch), et d'Eugénie Roux, une Bretonne, née en 19011.

[@williammarie2479]

Et on lui doit d'avoir servi la culture français et populaire.

[@loursbourbonnais4053]

@@williammarie2479 👍❌1000🎯🇫🇷✋🐻

[@LucPatry]

jamais nous oublirons

[@jeandanieljolivald6256]

le pouvoir au bout du fusil...ça ne finira donc jamais?

[@BBTITUDEBRIGITTE]

[Décharné, de haillons vêtu Fou de fièvre, au coin d'une impasse, Jean Misère s'est abattu Douleur, dit-il, n'es-tu pas lasse ?] {Refrain:} Ah mais ! Ah mais ! Ça ne finira donc jamais ? Ah mais ! Ah mais ! Ça ne finira donc jamais ? Pas un astre et pas un ami ! La place est déserte et perdue. S'il faisait sec, j'aurais dormi, Il pleut de la neige fondue. {au Refrain} Est-ce la fin, mon vieux pavé ? Tu vois : ni gîte, ni pitance. Ah, la poche au fiel a crevé. Je voudrais vomir l'existence. {au Refrain} Je fus bon ouvrier tailleur, Vieux, que suis-je ? Une loque immonde. C'est l'histoire du travailleur, Depuis que notre monde est monde. {au Refrain} Maigre salaire et nul repos, Il faut qu'on s'y fasse ou qu'on crève. Bonnets carrés et chassepots Ne se mettent jamais en grève. {au Refrain} Malheur ! Ils nous font la leçon, Ils prêchent l'ordre et la famille : La guerre a tué mon garçon, Le luxe a débauché ma fille ! {au Refrain} De ces détrousseurs inhumains, L'Eglise bénit les sacoches Et leur bon Dieu nous tient les mains Pendant qu'on fouille dans nos poches. {au Refrain} Un jour, le ciel s'est éclairé, Le soleil a lui dans mon bouge. J'ai pris l'arme d'un fédéré, Et j'ai suivi le drapeau rouge. {au Refrain} Mais, par mille, on nous coucha bas : C'était sinistre au clair de lune. Quand on m'a retiré du tas, J'ai crié "Vive la Commune !" {au Refrain} Adieu, martyrs de Satory ! Adieu, nos châteaux en Espagne ! Ah ! Mourons... Ce monde est pourri. On en sort comme on sort d'un bagne. {au Refrain} [A la morgue on coucha son corps. Et tous les jours, dalles de pierre, Vous étalez de nouveaux morts, Les otages de la misère ! {au Refrain}]

[@aycoco3]

Superbe, merci pour cette découverte

[@nielad299]

Tellement d’actualité. Non...éternel

[@nikkythanh]

un esprit fort et engagé !!!

[@filouchaton3943]

❤️❤️