Les ratures sur mes pages, sont comme des pavés dans leurs vitres Mature bien avant l’âge, bien sûr qu’on a poussé trop vite On est/naît comme des lions en cage, l’humanité manque de sagesse C’est dans le fond d’un marécage : ils voudraient tous nous voir HS Un pouce en l’air pour mes semblables, on avance dans ce brasier On n’est guère redevable, du monde qu’on nous a laissé Mon troisième doigt au monde adulte, à l’humain qui m’écœure tant Rien n’arrêtera la lutte, j’ai le syndrome de Peter Pan On franchira leurs barrières, avec ou sans contraintes J’laisserai personne derrière, j’m'en sortirai à cent contre un Même si la route est sinueuse, j’me dit que tout à une fin Toujours un œil sur la trotteuse, conscient que le temps est assassin Pour les générations passées, aucune estime, aucun mérite Tant de frictions à effacés, ce sont de vos guerres que l’on hérite Certains ont peurs, d’autres s’indignent, on fait face à nos vies ternes Quand mes frères et sœur s’inclinent, je me bats contre ce système On a toujours la rage au ventre, mais la patience a ses vertus L’amour se réinvente, parmi les enfants perdues Il pleut des morts, le diable danse, et dans une ambiance austère On s’aime seulement dans l’urgence, de Paris à Manchester Alors dis-moi qui sont les morts, ceux qui partent ou ceux qui restent Dire qu’on votera encore, le collera ou la peste C’est toujours les mêmes discours, alors on choisit le moins pire Dans leurs paradis fiscaux, ils nous mentent comme ils respirent Des bâtons dans les courroies, des coups bas et des sévices Vue que les cons s’prennent pour des rois, je reprends du service Que mon aura protège les miens, là j'atteint ma forme ultime Alors dis leurs que je reviens, prêt à prendre les coups pour mille Les rappeurs n’ont plus de couilles, j’ai les trois quart dans mon viseur Ils’ont plus un mic' mais un lisseur, les auditeurs se prennent une douille C’est pour les enfants perdus, pas pour les nazillons On a grandi sans pavions, on reprendra ce qui nous ai dû Mon cœur de pierre est monologue, j’écris toujours à jeun Tu rappes pour toucher les vagins, t’aurais du faire gynécologue Rien à cirer si je radote, j’voudrais les voir trembler Et j’ai l’espoir de rassembler, pas de briller sous les spots J’irai péter leurs cloisons, laisserai une trace de mon époque L’enfer ma cinquième saison, quand ces putes étaient mes potes L’inspi’, mes frères, mon ex, en deux mois j’ai tous perdus En écrivant ce texte, une seul chose m’est revenue J’ai l’espoir anorexique, mais le cœur gonflé à bloque Entre mes peurs, mes soliloques, j’laisse mon histoire et mon lexique Crois pas que je maîtrise ma rage, que plus rien ne me trouble La traîtrise a deux visages, sur vos gueule je crache le double Le son tourne dans le secteur, on tient tête aux réfractaires Des parasites dans le vecteur, enfant du-per un peu sectaire Esprit libre et visionnaire, mon publique vient d’ailleurs Décisif sur un corner, on arrive à plusieurs.
@007gringos Жыл бұрын
Énervé ton texte !!!!!! Tu l'as posé ?
@Sylass42-GROS-delta9-aerosol Жыл бұрын
toi aussi tes chaud C'est Lourd C'est vrai qu' l'avenir fait dire au scour On fait le tour en êtant sourd on court en vain et à la fin s'precipite dans l'précipice ... Bien vu , bon texte
@Doukyy Жыл бұрын
wsh incroyable le texte
@KeroZenDarckFly2 ай бұрын
un plaisir a poser ton texte bv
@stanakayugi Жыл бұрын
vibe parfaite, instru parfaite, gg
@unepersonnesaine52935 ай бұрын
Maxi banger
@miguelbru8173 Жыл бұрын
les visuels sont incr
@nausaah Жыл бұрын
cimer bro
@Yo93100 Жыл бұрын
Magnifique tu régal mille merci ❤
@Kiinowav Жыл бұрын
C’est beau ça
@nabilmanai9024 Жыл бұрын
@@lanyslass777j’aime bien tes bon
@lanyslass777 Жыл бұрын
Merci
@Sylass42-GROS-delta9-aerosol Жыл бұрын
C'est beau ça ,psq c'est nausaah . Mon esprit est Rossé, jvai m'aroser ,j'prend du rosée, Faut posé le son, jusqu'à s'que j' ai siflé le fond , aujourd'hui le rose est gris, J'pose j'écris j'ai l'esprit égri J'men bas d'la cause et ri J'pose les rimes trop d'lexique faut qu'j mexprime quand je trim
@haxculture Жыл бұрын
Comme tout les soirs j'marrache un je t'aime de la bouche Mon cœur est gelé comme décembre J'téma une flaque de sang À l'effigie d'ma perte de sens J'sais pas vivre seul faut qu'j'revienne a la source La nuit venue j'regarde le même banc dans ma cour J'suis plus dans la course J'ai gardé les cheveux qu'elle a laissé sur mes draps Jsuis seul dans mon lit j'dors toujours a droite alors qu'j'ai toute la place Combler l'vide c'est plus dur que combler le silence j'misole j'vit a travers un truc qui s'expliquerait pas par la science J'ai l'compte a zéro comme le moral J'me voyais tracer une route plus qu'honorable vu c'qu'on aura comme moyens ça risque d'être chaud Pour être franc j'me voyais plus avoir la carrière d'Eusebio que celle de Franck Honorat c'est pas grave c'est pas un drame non Y'a le goût d'ses lèvres encore imprimé sur un verre a vin J'leur tend mon troisième doigt chaque fois qu'ils disent que c'est la fin Dit moi qui sont les morts entre ceux qui partent et ceux qui restent On sait que s'aimer dans l'urgence, tuer les coeurs c'est assassin plus d'gentillesse Qu'est ce que les gens qui laissent tout partir à volo inculquent aux gens qui naissent Si j'croyais en tout c'que j'disait j'te mentirait Qu'est ce que les gens qui laissent tout partir à volo inculquent aux gens qui naissent Si j'croyais en tout c'que j'disait j'te mentirait J'ai l'espoir anorexique, mais le coeur gonflé à bloc Entre mes peurs, mes soliloques, j'laisse mon histoire et mon lexique Crois pas que je maîtrise ma rage, que plus rien ne me trouble La traîtrise a deux visages, sur leurs gueules je crache le double Comme tout les soirs j'marrache un je t'aime de la bouche Mon cœur est gelé comme décembre J'téma une flaque de sang À l'effigie d'ma perte de sens J'sais pas vivre seul faut qu'j'retourne dans la boucle La nuit venue j'regarde le même banc dans ma cour J'suis plus dans la course
@maskow228i2 ай бұрын
Dans mon esprit y’a beaucoup trop de philosophie Bien trop gentil donc beaucoup trop d’fois gros j’offris Mon cœur à cette fille à qui je n’ai pas suffis J’voulais être celui qui serait capable d’être ton suffixe J’vois ma vie en trois point fixe comme une cœlioscopie Ces gens font tous des pics et entre eux ils se copient Je m’attends au pire au moment où je devrais m’assoupir J’adoucis la rue par mes lyrics comme la soupline J’fuck cette génération donc Baudelairien est le Spleen Assimile-tu la famine à c’que l’on voit en stream Ce n’est pas ton style sur ton feed toi tu t’affiche en string Ce n’est pas ton style sur ton feed toi tu t’affiche en string J’me demande comment ces gens peuvent croire à ces supercherie J’fuck les super che-ri j’les vois j’me dis super je ris J’maitrise l’allégorie ils voudraient tous me voir couler Comme si mon nom c’était celui du petit Gregory J’suis plus ebony mais j’kiff toutes les catégories J’te l’ai déjà dis j’ai la même patate que celle du gorille J’ai fumer vla les bails j’ai la même mémoire que Dory J’me repose sur mes Lauriers que quand j’vois le ciel doré Mi fa sol,j’ai jamais laisser ma miff au sol J’veux marquer des mémoires comme si j’étais un aérosol J’suis super corrosif et puis j’casse le décor aussi J’vois des corps au sol dans l’air ça sent le roussi J’ai la plume de Rousseau dans ma poche plus d’un trousseau