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Lomé, la capitale togolaise abrite du 26 au 28 juillet 2023 un atelier de validation technique des documents de la phase pilote de l’Observatoire des systèmes d’élevage mobiles en Afrique de l’Ouest et au Sahel. Il a été question au cours de ce rendez-vous qui a regroupé des participants venus de la CEDEAO, du CILSS, de l’UEMOA, des projets PREDIP / PEPISAO/PRAPS et des représentants des 15 pays de la CEDEAO plus la Mauritanie et le Tchad, de présenter et de valider le rapport technique sur l’état des lieux de l’édition 2022 des systèmes d’élevage mobile et la démarche technique et administrative pour l’opérationnalisation de l’Observatoire.
« Cette rencontre consiste à revisiter et asseoir de façon définitive, le rôle des différents acteurs impliqués dans le processus, le portage technique, l’animation et la gestion opérationnelle de l’OSEMAOS », a indiqué lors de la
rencontre Dr Maguette Kairé Coordonnateur du programme régional d’appui /Gestion des ressources naturelles venu représenter le secrétaire Exécutif du CILSS
Abordant dans le même sens, le Représentant de la CEDEAO le Dr Bio Goura Soulé a invité tous les participant à un travail fouillé afin de parvenir aux résultats escomptés, notamment le partage et la validation des approches de collecte et d’analyse des données ; la validation des spécificités techniques de l’Observatoire ; la validation d’un organe pérenne de pilotage des activités et d’animation de l’Observatoire.
Ouvrant les travaux, le Directeur de l’Elevage du Togo, représentant le Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de Développement Rural, a rappelé que dans l’espace CEDEAO, les Etats ont mis en place des politiques, des approches, des outils et des stratégies pour mieux appréhender les difficultés du sous-secteur de l’élevage et ces politiques…
« L’initiative du CILSS sous l’égide de la Ecowas - Cedeao et de l’ UEMOA, de la création et de l’opérationnalisation d’un Observatoire régional sur les Systèmes d’Élevage Mobile en Afrique de l’Ouest et au Sahel (#OSEAMOS) est à saluer en raison du fait qu'il s’agit d’un sujet d’intérêt commun pour nos Etats membres, au regard des enjeux économiques et socioculturelles des pratiques d’élevage », a déclaré le représentant du Ministre.