Peindre comme les Grands Maîtres du 19e siècle - Utilité de la Grisaille

[@LouisOLOA]

Merci pour votre transmission, et votre travail est excellent et habité, je suis fan! Faites-en plein d'autres, ne vous découragez pas les vues viendront avec le temps...toujours le temps...peignez ce que vous vous trouvez beau, en vous inspirant de ce qui s'est fait et de ce qui se vend...mais soyez vous-mêmes c'est ce qui rend un tableau sublime pour moi, je peins, je chante, j'espère écrire, sculpter, réaliser, jouer, etc. tout ce qui est art me passionne : pour rendre gloire à Dieu...merci en tout cas et bénédictions, paix, réussite, succès etc.

Merci beaucoup pour votre message d'encouragement qui, je dois l'avouer me touche énormément. Je suis ravie de pouvoir partager une émotion, une pensée ou mon Art que cela soit à 1 ou 1000 abonnés. L'essentiel est que mon message soit entendu par celui qui en a le plus besoin. Je suis moins régulière que ce que je souhaiterai car le temps me manque, mais j'ai toujours énormément de projets à partager 😉 Je vous souhaite de belles réussites dans vos entreprises !

[@opusd2986]

Merci pour cette demo.

[@brigitte8647]

Magnifique Merci beaucoup 🙂

[@cathyjoly671]

Magnifique 🤩 merci🙏Nadège

Merci Cathy ☺️

[@sofilufine]

Bonjour, si je peu me permettre, les grisaille sont toutes aussi importantes dans les paysage. Néanmoins j’ai remarqué que beaucoup ne savent pas les maîtriser. Quand ont parles de grisaille avancé style 19eme, c’est à base de plusieurs gris colorées, avec des terre et des ocres sans utiliser le noir d’ivoire évidemment. Une terre d’ombre brûlée avec un bleu en rajoutant des couleurs chaudes ou froides on obtient de meilleurs résultats. Une fois cette grisaille terminée, c’est seulement là qu’on peu passer au glacis transparents. Toutefois, il faut bien prendre en compte qu’une grisaille doit être aboutie, car beaucoup se contente d’un simple dessin avec des valeurs. En faite la grisaille, doit déjà se rapprocher le plus possible du tableau pratiquement terminé. Donc une grisaille, comprend énormément de gris colorées subtiles 😊 Même au 18ème c’était déjà le cas. Nous allons beaucoup trop vite aujourd’hui, trop d’empâtement dès le départ, trop de détails dès le départ aussi. Si vous analyser les paysages de Albert Bierstadt vous constaterez, plusieurs plans superposés, d’abord le ciel, ensuite les nuages, les montagnes et puis les lacs et seulement en dernier les arbustes et la végétation. Donc il commence par créer son ciel à base de gris colorées et quelques glacis, ensuite les montagnes à base de terre et de gris colorées, les détails et quels glacis très léger puis il revient pour fair ses nuages. Idem pour les lacs tout en superposition et pour finir les arbres avec des gris vert colorées et les micros glacis pour finir les feuilles. Reste ses glacis atmosphérique. Au final a par le ciel et les arbres il n’y pas beaucoup de couleurs saturées. Désolé pour la traduction en Français qui n’est pas ma langue natale 🙏

Un grand merci pour votre message Depuis, j'ai moi aussi changé d'avis après avoir expérimenté la grisaille pour la peinture de paysage. La méthode classique reste pour moi la meilleure . Comme vous l''expliquez si bien : la patience est la meilleure des qualités du peintre 😉

[@isabellefoubert785]

@ a quoi j'ajouterai une phrase du grand gustave Flaubert : le talent est une longue patience ...

[@isabellefoubert785]

@@zowiealbe2052 ce n est pas un conseil, c est une citation un peu trop subtile pour vous.

[@LouisOLOA]

@@isabellefoubert785 ben qu'est-ce qui s'est passé dans votre tête pour être méprisante? Vous considérez-vous parmi les plus subtiles? ;)