Philippe Jaenada est un bon homme. Comme la dame de Talloires qu'il évoque dans l'échange avec Sylvie Hazebroucq,j'ai été dérouté sur les premières 100 pages. Je me suis dit que j'alliais mois apprécier que Le Printemps des monstres, Sulak, La serpe, La petite femelle… Et puis, j'ai suivi sa "consigne du chauffeur de bus" et oublié les divagations sur l'historique des personnages. Au bout du compte, la c'est bien de la nostalgie de la jeunesse et de l'insouciance de la jeunesse dont il est question. Sans doute son livre le plus attachant, vraiment.