Portrait de Jean-Luc Pamart, "le Paysan des Poilus" de Confrécourt/Vingré

Paysan du Soissonnais, Jean-Luc Pamart cultive des terres qui rejettent chaque jour des vestiges de la Grande Guerre. L'homme vit chacune de ces «apparitions» comme un rappel, jusque dans sa chair, des atrocités vécues par quelques milliers d'hommes, sur les 500 hectares qu'il cultive. Il y a 10 ans, Jean-Luc Pamart a livré dans un ouvrage le témoignage de sa vie d'agriculteur sur l'ancienne ligne de front. Sa vie de « Paysan des poilus », ainsi qu'il se nomme lui-même. Nous l'avons rencontré, et découvert un homme révolté, en guerre contre l'oubli et les pilleurs de tombes. Un homme au travers duquel la Grande Guerre est encore présente. Un gardien de mémoire attachant, un passeur d'humanité indispensable. Cette vidéo est la première d'une série de capsules au travers desquelles Jean-Luc nous guide à Confrécourt et Vingré, sur les traces de la Grande Guerre.
Cette vidéo a été réalisée dans le cadre du développement du projet Paysages en Bataille avec le soutien de la Région Grand Est (Alsace-Lorraine-Champagne-Ardennes), du Centre du Cinéma et de l'Audiovisuel de Belgique, de la Fédération Wallonie Bruxelles, de Pictanovo & Wallimage et l'aide de l'État fédéral belge.
Paysages en Bataille est un projet transmédia coproduit par Thierry Zamparutti (Ambiances... asbl), Étienne Jaxel-Truer (EJT Labo) et la RTBF.
Paysages en Bataille est écrit et réalisé par Isabelle Masson-Loodts
Equipe de tournage des capsules : Frédéric Riche et Sébastien Derave (images), Eric Chabot (prise de son), Laura Maugeri (infographies), Sylvia Ferreira-Loureiro (montage), Côté Grange (mixage), Gilles Masson (musique).
Documents iconographiques: Association Soissonnais 14-18.
Musique: Ocean, John Butler.

[@eddyporez5405]

J'ai conscience de ce sacrifice de ces hommes à qui nous devons notre liberté si fragile aujourd'hui. Bel hommage monsieur merci de nous rappeler

[@thespoon41]

Quelle hommage pour tous ces hommes tombés des 2 côtés que cette terre de souffrance, maintenant, nourris les hommes ... la plus part étaient paysans ... cette Terre est "sacrée", on ne "triche" pas avec la Terre. Merci.

[@mathfrag6999]

juste magnifique !! merci .

[@catyvanden2520]

Vous êtes plein d humanité Monsieur Une terre de douleur de cris et tous ces hommes sacrifiés

[@christianoltra2366]

Un grand respect monsieur pour l histoire

[@lovebûcheron33]

merci pour votre reportage hallucinant; je viens d'écrire un livre sur mon grand_père Emile Médard en14/18 au 231e d'infanterie, il était du côté de Soisson avec Henri Barbusse.

[@claudius5979]

Souvent, les agriculteurs de ces régions tourmentées et blessées ont un profond respect pour leur terre. Ils entretiennent avec elle des liens à la fois mystiques et charnels. On peut toutefois s'interroger sur le niveau de pollution des sols, par les métaux et autres composants chimiques...et la transmission aux cultures et à la chaîne alimentaire.

[@stephenyehuda5655]

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[@atlascayden5863]

@Stephen Yehuda Instablaster =)

[@francisfabin6412]

L'explication c'est l'amour de la France

[@merovee9613]

Cool

[@dominiquegras5008]

Une terre qui a connu t’en de problème et qui revie grasse à des hommes de la terre

[@jeanguiraud7290]

Difficile effectivement d'oublier une telle boucherie à ciel ouvert ! Un héritage douloureux pour ce paysan , voir dangereux !!

[@gilberttournier1277]

Es que les hommes vont continuer à se battre ?

[@egtresor]

n vrai sujet connu de tous les paysans et élus des terres de bataille

[@dominiquesanfaute6604]

MOI AUSSI JE PENSE A EUX TOUS LES JOURS MON GRAND PERE MATERNEL A FAIT VERDUN LE CHEMIN DES DAMES

[@valentingregoire920]

Sacrifier pour l'interet des industriels! ---- 0n croit mourrir pour la patrie on meurt pour l'industrie- Anataole France-

[@pascalanne8573]

n en fait pas trop quand meme blabla

[@slin2257]

La mémoire de la terre pouvait être un sujet intéressant. Hélas on n'apprends pas grand chose avec ce montage façon "clip vidéo", beaucoup trop court pour atteindre un contenu. Si, je constate que ces labours sont trop profonds et pour palier au manque d'humus, cet agriculteur devra répandre des tonnes d'engrais par la suite.