Pour le marathon de Paris, voici comment les coureurs dépassent le fameux "mur"

Les participants à la 43ème édition du Schneider Electric #Marathon de Paris ont récupéré leurs dossards d’inscription pendant le Salon du #running. Ce dernier s’est déroulé à la porte de Versailles quelques jours avant le marathon. Certains d’entre eux ont confié au micro du HuffPost les pensées de motivation qui traversaient leurs esprits au moment fatidique du “mur”. Le “#mur” désigne le moment où le corps du coureur s’épuise de ses réserves de glycogène au bout de 30 kilomètres de course (sur 42 kilomètres au total). En d’autres termes, le corps s’épuise drastiquement et perd toute son énergie.
-----
Abonnez-vous à la chaîne KZbin du HuffPost dès maintenant : / lehuffpost
Pour plus de contenu du HuffPost:
Web: www.huffington...
Facebook: / lehuffpost
Twitter: / lehuffpost
Instagram: / lehuffpost
Pour recevoir gratuitement notre newsletter quotidienne:
www.huffington...

[@paulcoquet7431]

Le mur c'est surtout le moment ou le corps à consommé tous les sucres présent dans les muscles. Pour continué l’effort, le corps n'a pas d'autre choix que d'aller taper dans les graisses qui offre un rendement énergétique beaucoup plus faible. Le mur n'arrive pas au même kilométrage pour tout le monde. Certain organisme qui consomme plus vont exploser des le 25eme k. Solution : il faut absorber environ 60-80g de glucide par heure de manière à maintenir un rendement élevé, et ceux jusqu'au dernier kilomètre. Ceci permettra à l'organisme de ne pas subir une chute énergétique violente et maintenir l'allure désiré sur les 42k. Il n'y a pour moi aucun facteur psychologique comme solution au "mur". C'est juste une réaction naturelle du corps qui arrive à sec. Sans jus, n'importe quelle machine cale.

[@safiad5361]

Arrêtez avec "le mur des 30km". Le "mur" correspond à un état physiologique où l'organisme a épuisé toutes ses réserves énergétiques, ça n'arrive pas forcément à 30k.

[@athospaf9378]

Pas de sucre à l’entraînement=habituer son corps à utiliser la filière lipidique= pas de mur le jour J. J’en ai fais 9 comme ça. Le marketing et la sacralisation du mur me gonfle profondément.

[@deerounet]

pendant l'entrainement ?

[@athospaf9378]

@@deerounet oui courir ses footings à jeun, boissons composés d’électrolytes uniquement.

[@guanglier]

hello du coup course à jeun avec boissons electrolytes et tu entraine ton corps à utiliser la graisse ? mai du coup recharges qd meme après la course à jeun ?

[@aziont]

Est-ce pertinent de comparer une personne qui ne fait que ça dans sa vie et d’autres personnes qui ont plein de contrainte dans leurs vie (travail qui prend 70% de leur temps, finance, etc.)?

[@safiad5361]

Comparer dans quel sens ? Et "quelqu'un qui ne fait que ça de sa vie" c'est à dire un sportif professionnel ? Après tu peux concilier travail et entraînement quand tu es vraiment déterminé. Enfin perso je bosse plus de 40h par semaine et j'ai fait ma prépa 4 séances avec en moyenne 60-70km par semaine. Par contre c'est fatigant et t'as pas trop de vie sociale à côté. Après c'est sur que c'est rien à côté de quelqu'un dont c'est le métier, donc dont le salaire dépend des résultats et qui par conséquent va consacrer ses journées entières à l'entraînement.

[@victorvary2873]

Le mur c seulement quand on atteint les 40% de ses capacités

[@victorvary2873]

C le limiteur de vitesse qui atteint sa limite

[@Vudan3]

Super

[@morgandeniel3584]

Donc en fait, pour passer le Mur, ces gens gambergent comme des fous ... mauvais choix! Ceci pour faire 4h35 ca doit etre efficace.

[@Tidy12]

Marine leleu 💗💗💗💗💗

[@alhasanaledrissy776]

Kk