Merci Professeur, formidable travail que vous faites, pour la vérité mais surtout pour l'Algérie.
@belaidleroul87625 жыл бұрын
Psaumes
@belaidleroul87625 жыл бұрын
Psaumes en hebreu
@IbrahimLyazid9 ай бұрын
Merciprofesseurpour Laverite
@berberkamel47514 жыл бұрын
Merci , d'avoir éclaircie , des points qui nécessite d’être dévoile , et je suis fière de vs votre maitraise dans le domaine de l’écriture de l' histoire révolutionnaire je vs souhaite beaucoup de réussite vs avez le bâton dans les mains ne le lâchez pas tapez a chaque fois cela et nécessaire la sagesse et le pouvoir intellectuelle vs permettrons d'atteindre vs objectifs
@mustaaigle7035 жыл бұрын
merci Professeur, formidable dieu vous garde
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Vous connaissez son Dieu ?????
@filmedactioncinema78454 жыл бұрын
@@boualemdahmane4045 connard d'arabe
@tarekzidouni18923 жыл бұрын
@@boualemdahmane4045 par contre toi tu connais aucun dieu
@kaisb83057 жыл бұрын
Aujourd'hui je viens d'apprendre une Chose essential pour notre avenir à tous. Je dis bien TOUS: UNE SEULE VALEUR: LA CITOYENNETE (et rien que La citoyenneté). Merci Professeur pour nous avoir ouvert les yeux!
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Il a d'abord a retrouver la sienne, lui qui est miné par la haine
@filmedactioncinema78454 жыл бұрын
@@boualemdahmane4045 connard d'arabe
@mailkanadia11662 жыл бұрын
@@boualemdahmane4045 c'est plutôts le karabes quits est Bourrées de haines est trahisons 👎
@samiakatabi65355 жыл бұрын
J'adhere completement a vos ideaux cher Mr"Allah yarham chouhadas"
@momo-lz8cm2 жыл бұрын
Ils ne l auraient pas tué si ben mhidi aurait été vivant. Ces deux là se complétaient très bien. L un Impulsif, l autre calme. Je me demande des fois, est ce qu ils n ont pas vendu benmhidi pour plus tard atteindre abane. C était un grand visionnaire
@amarkhennache47955 жыл бұрын
respect for your father brother
@ouizaouiza14667 жыл бұрын
Merci beaucoup
@daviddouglas70505 жыл бұрын
Merci pour la vérité
@ibrhaemhdaad68984 жыл бұрын
Grand homme ,dommage que l' algerie n ai pas eu la chance de profiter de vos competences
@tarekzidouni18923 жыл бұрын
Quelle cuture!!! Quelle sincérité intellectuelle on s'étonne pas que tu sois le neveux de Abane Ramdhan bonne continuation et sur tout n'arrête pas de parler sur notre histoire
@nanasweet50644 жыл бұрын
Mais quelle classe!
@makhloufkaced40184 ай бұрын
Enfin la vérité sur l'assassinat d'Abane Ramdane.
@faridsadji95586 жыл бұрын
bonne continuation on trouve nos historiens soit ils sont absents soit tres subjectifs
@talahassy14797 жыл бұрын
Respect Monsieur le professeur !
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Ce n'est pas le professeur qui parle mais le polito qu'il dit être pour régler des comptes avec quelqu'un qu'il n'attendra jamais tellement il est haut. Un professeur de médecine n'a pas de haine et encore moins de comptes a régler avec quiconque. Un Professeur a de la compassion.
@mokraneboumali4111 Жыл бұрын
Bravo. Les kabyles sont mort pour une autre colonisation arabo-islamique, d'un état colonial à un état dictatorial qui il est la différence?
@filmedactioncinema78454 жыл бұрын
Abane ramadan qeu dieu le garde donne son vaste paradis Abane Ramdane est né le 10 juin 1920 à Azouza dans la commune de Larbaâ Nath Irathen dans l'actuelle wilaya de Tizi Ouzou. En 1933, il obtient son certificat d'études primaires. En octobre 1933, il rejoint le collège Duveyrier à Blida où il accomplit toute sa scolarité secondaire en tant qu'interne[4]. En 1942, Il obtient le baccalauréat mathématiques avec mention «Bien»[5]. Il est mobilisé et affecté pendant la Seconde Guerre mondiale, avec le grade de sous-officier, dans un régiment de tirailleurs algériens stationné à Blida, en attendant le départ pour l'Italie. Démobilisé, il entre au Parti du peuple algérien (PPA) et milite tout en travaillant comme secrétaire de la commune mixte de Châteaudun du Rhummel (Chelghoum Laïd). Marqué par les massacres du 8 mai 1945, il abandonne ses fonctions, rompt définitivement avec l'administration coloniale et entre en clandestinité pour se consacrer à « la cause nationale » au sein du PPA-MTLD. Il est désigné, en 1948, comme chef de wilaya, d'abord dans la région de Sétif, puis dans l'Oranie. Durant cette période, il est également membre de l'Organisation spéciale (OS), bras armé du Parti, chargé de préparer la Révolution. Dans les prisons françaises, élaboration d'une culture politiqueModifier Recherché par la police française dans l'affaire dite du « complot de l'OS » (1950), il est arrêté quelques mois plus tard dans l'ouest du pays. Il est jugé en 1951, après avoir subi plusieurs semaines d'interrogatoire et de torture, et condamné à 5 ans de prison, 10 ans d'interdiction de séjour, 10 ans de privation des droits civiques et 500 000 francs d'amende pour « atteinte à la sûreté intérieure de l'État ». Commence alors un long séjour dans les prisons d'Algérie (Bougie, Barberousse, Maison Carrée) et de métropole. Après un court séjour aux Baumettes (Bouches-du-Rhône) au début de l'année 1952, il est transféré à Ensisheim (Haut-Rhin, Alsace) dans une prison de haute sécurité. Soumis à un régime de détention de droit commun, il entame une longue grève de la faim. À l'article de la mort, il est soigné et sauvé in extremis, et obtient gain de cause. Prisonnier politique, il est transféré en 1953 à la prison d'Albi dans le Tarn (sud-ouest de la France) où le régime carcéral, plus souple, lui permet de s'adonner à son loisir favori, la lecture. Il découvre la condition faite à la nation irlandaise, qu'il juge semblable à celle que subit le peuple algérien depuis plus d'un siècle, et le sort d'Éamon de Valera qui connut, comme lui, les geôles britanniques. Transféré à la prison de Maison Carrée au cours de l'été 1954, il est tenu au courant des préparatifs de novembre 1954. Il est désigné d'office comme l'un des douze membres d'un comité chargé de prendre en mains les destinées de la rébellion contre le régime français, pour l'indépendance de l'Algérie. Libération, retour à la clandestinité et organisation des réseaux FLNModifier  Une délégation du FLN au Caire en 1957. De gauche à droite : Krim Belkacem, Fathi Dib, Abane Ramdane, M'Hammed Yazid, Lamine Debaghine, Saad Dahlab, Benyoucef Benkhedda et Ferhat Abbas. C'est à ce titre que les dirigeants de la zone III (Kabylie, future wilaya III historique) prennent contact avec lui quelques jours après sa sortie de prison, le 18 janvier 1955, alors qu'il est assigné à résidence à Azouza. Après quelques jours passés auprès de sa mère paralysée, il quitte Azouza, entre en clandestinité et prend en charge la direction politique de la capitale. Son appel du 1er avril 1955 à l'union et à l'engagement du peuple algérien signe l'acte de naissance d'un véritable Front de libération et son émergence en tant que mouvement national. Il y affirme son credo unitaire, « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », qu'il n'aura de cesse de mettre en œuvre. Il obtient une grande influence dans la direction intérieure installée à Alger. Chargé des questions d'animation de la « Révolution » au niveau national en assurant la coordination inter-wilayas, il anime également la liaison avec la Délégation extérieure du FLN établie au Caire, les fédérations de France, de Tunisie et du Maroc. Il a ainsi la haute main sur toutes les grandes questions d'ordre interne et international. Il se consacre également à organiser et à rationaliser la lutte, et à rassembler toutes les forces politiques algériennes au sein du FLN pour donner à la « révolution » du 1er novembre la dimension d'un grand mouvement de résistance nationale. Secondé par Benyoucef Benkhedda, il impulse la création d'El Moudjahid, le journal clandestin de la Révolution, qui prend la suite de Résistance algérienne[6], ainsi que de l'hymne national algérien Kassaman[7] (en contactant lui-même le poète Moufdi Zakaria). Par ailleurs, il appuie la naissance des organisations syndicales ouvrière (UGTA), commerçante (UGCA) et estudiantine (UGEMA), qui deviendront, elles aussi, un terreau pour la rébellion. Il s'efforce également de détruire les organisations concurrentes au FLN comme l'Union syndicale des travailleurs algériens (USTA) en envoyant en France Rabah Bouaziz pour cette mission[8]. Selon Jacques Simon, il est aussi responsable du massacre de Melouza, un bourg placé sous l'influence du Mouvement national algérien (MNA)[9]. Structuration politique du mouvement national et luttes internesModifier  Ouazana à la wilaya IV en mai 1956. Abane Ramdane en route pour le congrès de la Soummam, de gauche à droite : Abane Ramdane, Safia Bazi, Fadhila Mesli, Meriem Belmihoub et Amara Rachid. Il met en chantier et supervise la rédaction d'une base doctrinale destinée à compléter et à affiner les objectifs contenus dans la Proclamation du 1er novembre 1954. Appuyé par Larbi Ben M'hidi, il fait adopter au congrès de la Soummam du 20 août 1956 un statut pour l'armée de libération nationale (ALN) devant se soumettre aux « lois de la guerre », et surtout, devenir une plate-forme politique dans laquelle est affirmée la « primauté du politique sur le militaire et de l'intérieur sur l'extérieur ». Critiquant la violence sans limite des militaires, il fait adopter par le Congrès des consignes très fermes : « Les tribunaux: aucun officier, quel que soit son grade, n’a plus le droit de prononcer une condamnation à mort. Les tribunaux à l’échelle secteur et zone seront chargés de juger les civils et les militaires. L’égorgement est formellement interdit à l’avenir, les condamnés à mort seront fusillés. L’accusé a le droit de choisir une défense. La mutilation est formellement interdite, quelles qu’en soient les raisons que l’on puisse alléguer. Les prisonniers de guerre: il est formellement interdit d’exécuter les prisonniers de guerre. A l’avenir un service des prisonniers de guerre sera créé dans chaque wilaya ; il aura surtout pour tâche de populariser la justesse de notre lutte »[10]. En réponse à la déclaration de Guy Mollet, en février 1956, de faire exécuter les « rebelles » algériens condamnés à mort, Abane déclara : « Nous prenons le monde à témoin des conséquences qui découleraient de ce monstrueux crime devant lequel ont reculé même les Pinay, Faure et Soustelle. Si le gouvernement français faisait guillotiner les condamnés à mort, des représailles terribles s’abattront sur la population civile européenne » [11]. Il est désigné comme l'un des 5 membres d'un directoire politique national, le Comité de coordination et d'exécution (CCE), chargés de coordonner la « Révolution » et d'exécuter les directives de son conseil national (CNRA) créé à cet effet. C'est Abane Ramdane qui décide avec Larbi Ben M'Hidi (membre du CCE) et Yacef Saadi de déclencher la bataille d'Alger, durant laquelle, chargé avec Ben M'hidi de superviser l'action militaire, il coordonne l'action et la propagande politiques en direction de la population algérienne. En mars 1957, après l'arrestation et l'assassinat de Ben M'hidi, et la traque de Yacef Saadi, les réseaux FLN à Alger, combattus par la 10e division parachutiste du général Massu, s'effondrent. Abane avec les trois autres membres du CCE doivent alors quitter la ville. En fuyant l'Algérie, Abane Ramdane se plaçait dans une situation délicate et paradoxale : alors que, lors du congrès de la Soummam, il avait prôné et fait adopter à l'unanimité la primauté des responsables de l'intérieur sur ceux de l'extérieur ainsi que celle des « politiques » sur les « militaires », s'il ne devenait pas tout à fait un de ces derniers, le seul fait de son éloignement risquait d'affaiblir son autorité tant sur les combattants que sur la délégation extérieure du FLN. Mais le tempérament d'Abane ne le portait pas au renoncement. La disparition de Ben M'Hidi devait le consacrer définitivement comme le no 1, mais sa ligne politique est combattue d'une part par Ahmed Ben Bella[12] qui peut s'appuyer encore sur les forces armées[3] et surtout par Krim Belkacem, Lakhdar Bentobal, Abdelhafid Boussouf et Houari Boumédiène qu'il critique sévèrement. Cette opposition se concrétise en mars-avril 1957. Ramdane Abane fustige alors les dérives du FLN et reproche violemment aux "colonels" leur soif de pouvoir et leur conduite dictatoriale[3]. La volonté d'écarter un rival politique relativement populaire dénonçant l'évolution du FLN vers un pouvoir militaire sera probablement la principale raison poussant les "colonels" à la décision d'emprisonner, voire d'éliminer Ramdane
@MK-de4wd4 жыл бұрын
Mais quelle triste fin, pour surtout Abane Ramdane assassine par les siens, juste pour laisser passage vide aux dictateurs assoifes, arrives, formes par gamal abd Nacer de prendere le Destin de notre Patrie et de notre Peuple qui a souffert l'enfer de guerre de Liberation coloniale pendant presque 8 ans. Rajoutons a cela la defaite politique, sociale, economique depuis 1962 ...ca fait trop de trop. Ma question Ou va t on comme ca?
@bensadat476 жыл бұрын
Monsieur Belaïd ABANE, merci pour votre témoignage! Je pense après avoir écouté votre témoignage (je n'ai pas encore lu vos ouvrages), que mon père et mes deux frères fusillés par l'armée française en avril 1957, ne sont pas morts pour rien...
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
bof bof bof. Sur la guerre d'Algérie, il y a des historiens connus pour leur probité et leurs compétences : Mohamed Harbi qui était aussi acteur, Benjamin Stora, Salim Chaker pour ne citer que les plus connus et apprécier pour leurs ouvrages et qui ne règles des comptes avec personne et ne font pas dans l'improvisation.
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Témoignage ?????? en quelle qualité, il n'est pas historien que je sache.
@noureddinechabbi7478 Жыл бұрын
si abbane n'était pas en prison au 1ier novembre 1954, la photo des 6 chefs historiques aurait été une photo contenant 7 chefs allah yarham abbane le vrai moujahed en vérité il y avait 10 chefs historiques et non pas 9 chefs
@aousmouloud72238 ай бұрын
Ils étaient 9 ce jour la
@KarimKarim-z7c8 ай бұрын
شهادة على العصر في الجزيرة بن بلة قال واش كاين في آلقلب
@Alain-Delon5 жыл бұрын
Respect de France.
@miloudtouahria60255 жыл бұрын
A quand votre prochain film ,Mr Alain Delon ?
@ladjalilee72597 жыл бұрын
Aabane Remdan architecte de la révolution algérienne
@thetruthofdz35524 жыл бұрын
لا بل مهندس الصومام الإنقلابي الذي فتح الباب على مصراعيه و بدأ القتال فيما بينهم في سبيل السلطة و الكرسي ، خلاص ما بقيناش في ذلك الزمان 62 يستهزؤون بنا و يقولون إنهم مجاهدين ، الأن كل شيء ظهر و إنكشفت الحقيقة التي حاولوا إخفائها و الحمد لله
@filmedactioncinema78454 жыл бұрын
@@thetruthofdz3552 va t'instruire et lie l'histoire Abane Ramdane est né le 10 juin 1920 à Azouza dans la commune de Larbaâ Nath Irathen dans l'actuelle wilaya de Tizi Ouzou. En 1933, il obtient son certificat d'études primaires. En octobre 1933, il rejoint le collège Duveyrier à Blida où il accomplit toute sa scolarité secondaire en tant qu'interne[4]. En 1942, Il obtient le baccalauréat mathématiques avec mention «Bien»[5]. Il est mobilisé et affecté pendant la Seconde Guerre mondiale, avec le grade de sous-officier, dans un régiment de tirailleurs algériens stationné à Blida, en attendant le départ pour l'Italie. Démobilisé, il entre au Parti du peuple algérien (PPA) et milite tout en travaillant comme secrétaire de la commune mixte de Châteaudun du Rhummel (Chelghoum Laïd). Marqué par les massacres du 8 mai 1945, il abandonne ses fonctions, rompt définitivement avec l'administration coloniale et entre en clandestinité pour se consacrer à « la cause nationale » au sein du PPA-MTLD. Il est désigné, en 1948, comme chef de wilaya, d'abord dans la région de Sétif, puis dans l'Oranie. Durant cette période, il est également membre de l'Organisation spéciale (OS), bras armé du Parti, chargé de préparer la Révolution. Dans les prisons françaises, élaboration d'une culture politiqueModifier Recherché par la police française dans l'affaire dite du « complot de l'OS » (1950), il est arrêté quelques mois plus tard dans l'ouest du pays. Il est jugé en 1951, après avoir subi plusieurs semaines d'interrogatoire et de torture, et condamné à 5 ans de prison, 10 ans d'interdiction de séjour, 10 ans de privation des droits civiques et 500 000 francs d'amende pour « atteinte à la sûreté intérieure de l'État ». Commence alors un long séjour dans les prisons d'Algérie (Bougie, Barberousse, Maison Carrée) et de métropole. Après un court séjour aux Baumettes (Bouches-du-Rhône) au début de l'année 1952, il est transféré à Ensisheim (Haut-Rhin, Alsace) dans une prison de haute sécurité. Soumis à un régime de détention de droit commun, il entame une longue grève de la faim. À l'article de la mort, il est soigné et sauvé in extremis, et obtient gain de cause. Prisonnier politique, il est transféré en 1953 à la prison d'Albi dans le Tarn (sud-ouest de la France) où le régime carcéral, plus souple, lui permet de s'adonner à son loisir favori, la lecture. Il découvre la condition faite à la nation irlandaise, qu'il juge semblable à celle que subit le peuple algérien depuis plus d'un siècle, et le sort d'Éamon de Valera qui connut, comme lui, les geôles britanniques. Transféré à la prison de Maison Carrée au cours de l'été 1954, il est tenu au courant des préparatifs de novembre 1954. Il est désigné d'office comme l'un des douze membres d'un comité chargé de prendre en mains les destinées de la rébellion contre le régime français, pour l'indépendance de l'Algérie. Libération, retour à la clandestinité et organisation des réseaux FLNModifier  Une délégation du FLN au Caire en 1957. De gauche à droite : Krim Belkacem, Fathi Dib, Abane Ramdane, M'Hammed Yazid, Lamine Debaghine, Saad Dahlab, Benyoucef Benkhedda et Ferhat Abbas. C'est à ce titre que les dirigeants de la zone III (Kabylie, future wilaya III historique) prennent contact avec lui quelques jours après sa sortie de prison, le 18 janvier 1955, alors qu'il est assigné à résidence à Azouza. Après quelques jours passés auprès de sa mère paralysée, il quitte Azouza, entre en clandestinité et prend en charge la direction politique de la capitale. Son appel du 1er avril 1955 à l'union et à l'engagement du peuple algérien signe l'acte de naissance d'un véritable Front de libération et son émergence en tant que mouvement national. Il y affirme son credo unitaire, « la libération de l'Algérie sera l'œuvre de tous », qu'il n'aura de cesse de mettre en œuvre. Il obtient une grande influence dans la direction intérieure installée à Alger. Chargé des questions d'animation de la « Révolution » au niveau national en assurant la coordination inter-wilayas, il anime également la liaison avec la Délégation extérieure du FLN établie au Caire, les fédérations de France, de Tunisie et du Maroc. Il a ainsi la haute main sur toutes les grandes questions d'ordre interne et international. Il se consacre également à organiser et à rationaliser la lutte, et à rassembler toutes les forces politiques algériennes au sein du FLN pour donner à la « révolution » du 1er novembre la dimension d'un grand mouvement de résistance nationale. Secondé par Benyoucef Benkhedda, il impulse la création d'El Moudjahid, le journal clandestin de la Révolution, qui prend la suite de Résistance algérienne[6], ainsi que de l'hymne national algérien Kassaman[7] (en contactant lui-même le poète Moufdi Zakaria). Par ailleurs, il appuie la naissance des organisations syndicales ouvrière (UGTA), commerçante (UGCA) et estudiantine (UGEMA), qui deviendront, elles aussi, un terreau pour la rébellion. Il s'efforce également de détruire les organisations concurrentes au FLN comme l'Union syndicale des travailleurs algériens (USTA) en envoyant en France Rabah Bouaziz pour cette mission[8]. Selon Jacques Simon, il est aussi responsable du massacre de Melouza, un bourg placé sous l'influence du Mouvement national algérien (MNA)[9]. Structuration politique du mouvement national et luttes internesModifier  Ouazana à la wilaya IV en mai 1956. Abane Ramdane en route pour le congrès de la Soummam, de gauche à droite : Abane Ramdane, Safia Bazi, Fadhila Mesli, Meriem Belmihoub et Amara Rachid. Il met en chantier et supervise la rédaction d'une base doctrinale destinée à compléter et à affiner les objectifs contenus dans la Proclamation du 1er novembre 1954. Appuyé par Larbi Ben M'hidi, il fait adopter au congrès de la Soummam du 20 août 1956 un statut pour l'armée de libération nationale (ALN) devant se soumettre aux « lois de la guerre », et surtout, devenir une plate-forme politique dans laquelle est affirmée la « primauté du politique sur le militaire et de l'intérieur sur l'extérieur ». Critiquant la violence sans limite des militaires, il fait adopter par le Congrès des consignes très fermes : « Les tribunaux: aucun officier, quel que soit son grade, n’a plus le droit de prononcer une condamnation à mort. Les tribunaux à l’échelle secteur et zone seront chargés de juger les civils et les militaires. L’égorgement est formellement interdit à l’avenir, les condamnés à mort seront fusillés. L’accusé a le droit de choisir une défense. La mutilation est formellement interdite, quelles qu’en soient les raisons que l’on puisse alléguer. Les prisonniers de guerre: il est formellement interdit d’exécuter les prisonniers de guerre. A l’avenir un service des prisonniers de guerre sera créé dans chaque wilaya ; il aura surtout pour tâche de populariser la justesse de notre lutte »[10]. En réponse à la déclaration de Guy Mollet, en février 1956, de faire exécuter les « rebelles » algériens condamnés à mort, Abane déclara : « Nous prenons le monde à témoin des conséquences qui découleraient de ce monstrueux crime devant lequel ont reculé même les Pinay, Faure et Soustelle. Si le gouvernement français faisait guillotiner les condamnés à mort, des représailles terribles s’abattront sur la population civile européenne » [11]. Il est désigné comme l'un des 5 membres d'un directoire politique national, le Comité de coordination et d'exécution (CCE), chargés de coordonner la « Révolution » et d'exécuter les directives de son conseil national (CNRA) créé à cet effet. C'est Abane Ramdane qui décide avec Larbi Ben M'Hidi (membre du CCE) et Yacef Saadi de déclencher la bataille d'Alger, durant laquelle, chargé avec Ben M'hidi de superviser l'action militaire, il coordonne l'action et la propagande politiques en direction de la population algérienne. En mars 1957, après l'arrestation et l'assassinat de Ben M'hidi, et la traque de Yacef Saadi, les réseaux FLN à Alger, combattus par la 10e division parachutiste du général Massu, s'effondrent. Abane avec les trois autres membres du CCE doivent alors quitter la ville. En fuyant l'Algérie, Abane Ramdane se plaçait dans une situation délicate et paradoxale : alors que, lors du congrès de la Soummam, il avait prôné et fait adopter à l'unanimité la primauté des responsables de l'intérieur sur ceux de l'extérieur ainsi que celle des « politiques » sur les « militaires », s'il ne devenait pas tout à fait un de ces derniers, le seul fait de son éloignement risquait d'affaiblir son autorité tant sur les combattants que sur la délégation extérieure du FLN. Mais le tempérament d'Abane ne le portait pas au renoncement. La disparition de Ben M'Hidi devait le consacrer définitivement comme le no 1, mais sa ligne politique est combattue d'une part par Ahmed Ben Bella[12] qui peut s'appuyer encore sur les forces armées[3] et surtout par Krim Belkacem, Lakhdar Bentobal, Abdelhafid Boussouf et Houari Boumédiène qu'il critique sévèrement. Cette opposition se concrétise en mars-avril 1957. Ramdane Abane fustige alors les dérives du FLN et reproche violemment aux "colonels" leur soif de pouvoir et leur conduite dictatoriale[3]. La volonté d'écarter un rival politique relativement populaire dénonçant l'évolution du FLN vers un pouvoir militaire sera probablement la principale raison poussant les "colonels" à la décision d'emprisonner, voire d'éliminer Ramdane[3],[13].
@faridsadji95586 жыл бұрын
ce ministre doit répondre de ses actes devant la juridiction compétente si on se respecte
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Les accusateurs aussi s'ils n'ont pas de preuves tangibles, les affirmations ne sont pas des preuves
@actek78494 жыл бұрын
Boualem DAHMANE Belaid Aban n’est pas le seul à nous avoir rapporté de telles informations. Si vous avez des doutes, je vous conseille de lire :Ferhath Abbas autopsie d’une guerre et Mohamed Harbi archives de la révolution Algérienne et le FLN mirage et réalité.
@filmedactioncinema78454 жыл бұрын
@@actek7849 répond pas à sette énergumène ils répond a tout les commentaire pour semer la haine
@actek78494 жыл бұрын
filme d'action cinéma Merci frère! Quand je réponds, c’est plutôt pour prévenir les éventuelles victimes innocentes de ce genre de quidam, qui ne savent que semer la haine et la terreur. Sur ce bonne journée.
@filmedactioncinema78454 жыл бұрын
@@actek7849 oui mais ya des gens ils son aveuglé par leurs religions pour eux ils faut être arabe et musulmans ces arabobathiste je me demande des fois si on serait pas mieux avec une kabylie indépendante démocratique et laïc
@IbrahimLyazid9 ай бұрын
20:43 Merci🎉
@kaderk61314 жыл бұрын
Je pense que vous avez sous estimé votre oncle Abane Ramdhane quand vous dites que s'il a lu Machiavell c'est qu'il ne l'a pas compris. Moi je dis que s'il a lu Machiavell il l'aurait compris mais il ne marcherait pas dans la combine, étant visionnaire depuis son jeune âge et très en avance par rapport aux autres dirigeants.
@IbrahimLyazid9 ай бұрын
Bienl
@cherisassa53867 жыл бұрын
très perspicace le douctour. en tout cas un vrai penseur
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Un professeur devrait se consacrer à cette noble profession pour se s'improviser politologue pour régler des comptes.
@Pk-kw4yb4 жыл бұрын
👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍👍
@IbrahimLyazid9 ай бұрын
34:32
@CHAWIALGERIENANTIS3AYACHA5 жыл бұрын
Raconte nous sur l assassina votre père ABBAN RAMDHAN
@dianerosine4874 жыл бұрын
ALGERIEN De BATNA ce n'est pas son père c'est son oncle ...
@IbrahimLyazid9 ай бұрын
Ia
@azeddineabdelli83493 жыл бұрын
Je respecte vos recherches de la verité sur l'assassinat de abane , je souleve un seul bemole, a mon avis il faut aprofondir les analyses et recherche quand au role de Krim dans cette affaire en usant d'une ethique intelectuelle a la dimension de cette afaires et a la dimension des deux hommes.
@adlaneabbas61437 жыл бұрын
!!!!,du moment que vous êtes proche de abane, et que vous connaissez l'histoire depuis votre enfance, pourquoi l'avais vous révélé que en ce moment ????
@marwangoucem11606 жыл бұрын
Crime belkacem c'est un grand
@thetruthofdz35524 жыл бұрын
كريم بلقاسم رهن الجزائر و مستقبلها بإتفاقيات إيفيان و كل الشعب يعلم ذلك ، لماذا تحاولون الدفاع عليه ؟؟؟؟؟
Docteur Bélaïd Abane., Vous êtes en plein délires, ressaisissez-vous, je vous prie. Pouvez-vous donner le titre de l'ouvrage de Ben Khedda dans lequel il aurait indiqué que Abane Ramdane a appartenu au comité central du PPA/MTLD ou assumé une quelconque responsabilité avant vers avril 1955? Par ailleurs, il n'a jamais existé de groupe de 12 auquel aurait appartenu Abane Ramdane. Et pouvez-vous prouver que Abane Ramdane a séjourné dans les maisons d'arrêt d'Ensisheim ou d'Albi. J'exige des preuves : raisonnables, cohérentes, à valeur historique ou judiciaire et non pas des galou-galou, des Yénayès-yenayés;
@ilyesso756 жыл бұрын
Cherchez le témoignage de Monsieur Allal thaalbi son collègue au MTLD a Mila.
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Bravo. Ce monsieur ferait mieux de se consacrer à sa profession où il serait plus utile et non s'improviser comme politologue juste pour régler des comptes aveuglé qu'il est par la haine. Que des balivernes avec ce culte qu'il a pour son oncle et qu'il veut faire passer pour un Dieu. Abane n'a jamais été au comité central du PPA/MTLD a quelque titre que ce soit. C'est son Maître Krim Belkacem qui l'a installé dans le wagon du train qui était déjà en marche de la révolution et l'a chaudement recommandé, et en guise de remerciements et de reconnaissance il le traitait en pleine réunion de aghrioul, ça un homme de culture que son neveu essaie de faire passer ?????? Non, non un prétentieux imbu de sa personne et opportuniste -que Dieu me pardonne - Oui Abane allah yarhmou était connu pour son ego surdimensionné, ce qui a probablement conduit à sa mort que personne ne peut bien évidemment cautionner.
@imoula064 жыл бұрын
il défend trop mal son oncle , le héro ABANE Ramdane
@tarekzidouni18923 жыл бұрын
Ah bon!!!
@nessgalaxie19717 жыл бұрын
parler en Kabyles inadin obouchik
@zidanizidani19205 жыл бұрын
j ai l impression tu parle avec ton cul
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Et à quoi bon cette vulgarité ? Médiocre
@aissahakim52727 жыл бұрын
"Abane Ramdane n'avait aucun sens politique." Les évènements d'Algérie tendaient vers la libération du pays tout entier du joug colonial, Il s'agit donc d'un conflit profane et non pas d'un Djihad sacré. Ses victimes mérite un traitement égal. Nous devons dénoncer : et faux moudjahidine et faux martyrs et faux héros. Le régionalisme est pire que le colonialisme. Février 1956 : "Les tentatives officieuses du gouvernement Guy Mollet pour amorcer un dialogue avec la rébellion continuent. (professeur André) Mandouze affirme à (son collègue) Touilleux que le chef de la S. F. I. O. et Mendès- France sont d'accords pour négocier avec le FLN...". A la demande de Monsieur le professeur André Mandouze, son confrère "... Touilleux avait caché Abane Ramdane à Alger. Il en a profité pour bavarder longuement avec lui. Il a été effaré par sa brutalité, pas son absence totale de tout sens politique. Un homme avec lequel on ne pourrait jamais discuter, si un jour son rôle devenait déterminant.. . " 1- Claude Paillat, Dossier Secret de l'Algérie, 2ème tome 1954 - 1958, presse de la cité, P. 373
@zidanizidani19205 жыл бұрын
j ai l impression tu parle avec tes fesses
@zidanizidani19205 жыл бұрын
il ya des archives pauvre con les vrais martyres on les connais tu viens du fin fond du desert pour nous donner une leçon d histoire a la boumediene va coucher.
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
@@zidanizidani1920 la vulgarité n'est pas une réponse c'est juste une arme du faible à court d'arguments. C'est ainsi que se comportait Abane à l'égard des autres qui étaient qu'on le veuille ou non ses Maîtres mais lui se voulait être Dieu le père.
@zidanizidani19205 жыл бұрын
@@boualemdahmane4045 je suis d accord avec vous ,mais souvent je perd la tete devant l injustice perdre un homme comme abane c est vraiment une immense perte.
@nomprenom91945 жыл бұрын
ilveut avoir raison par n'importe quel moyen , tout le monde est mort vois étiez ou ? je vous conseil de cherché se chien Roger Wybot si tu veut toute la vérité
@actek78494 жыл бұрын
sid ahmed Si vous pensez qu’il n’ a pas raison vous avez qu’à écrire un livre comme lui, et démonterez qu’il a tord.
@rouissatcheikh80207 жыл бұрын
sa vous gène beaucoup Mr le Professeur en médecine ,politologue , Enarc etc vous un xénophobe car vous n'avez rien à voir avec le chercheur Mr ZAEIBAT , moi je m'intéresse de se que vous nous présenter de ce romain ,je pense que vous êtes aussi un juge ,donc ce que vous raconter sur ce livre a mon avis c'est le faux dans le faux au revoir CHER OCÉAN DES SCIENCES comme disez les Chi aâ.
@iskounendjaafar6397 жыл бұрын
c'est toi qui ne veut la réalité qui vous blesse reste ecarté ,nous n'avons plus besoins de tes réactions ,
@user-ld1dm5zz3m6 жыл бұрын
La preuve par 9 que Votre votre ignorance est agissante. Tonneau vide. Thanmirth.
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Il a la haine dans le coeur et veut faire passer son on oncle pour un Dieu. Le sias tout connait tout et a la réponse à tout. Ce n'est pas moi qui achèterait ces livres truffés de mensonges. Oui il se prend pour Dieu le père. Abane Ramdane allah yarhmou avait aussi un ego surdimensionné. Il traitait Krim Belkacem- celui qui lui a mis le pied à l'étrier de aghrioul. Quand on a la culture et l'intelligence on respecte les autres, ce qui n'était pas le cas hélas de Abane.
@boualemdahmane40455 жыл бұрын
Oui des suppositions, que dis-je des supputations, des affirmations qui ne reposent que sur rien pour faire passer son oncle pour Dieu le père et mettre au banc des accusés comme un criminel, celui qui lui a mis le pied à l'étrier et fait monter dans le wagon du train de la révolution en marche et qui plus l'accusé n'est plus là pour lui répondre - les absents ont toujours torts-, oui Krim Belkacem a été lâchement assassiné "sur ordre de celui qui a passé 20 ans sur le trône- lire les archives récemment déclassés par la France- et qu'on ne présentait plus que par un cadre depuis 2013 c'est Boutef bien sûr que ce monsieur professeur gratifiait de tous les honneurs et disait même "qu'il avait toutes ses facultés mentales et intellectuelles rien que ça !!!!! Un oncle -que Dieu ait son âme comme celles de tous les chouhadas- qui avait un ego surdimensionné.
@delcifarid49714 жыл бұрын
Tu commences par l'insulter par ces titres et diplômes que tu n,as pas, tu veux défendre ZAEIBAT c;est bien mais avance tes arguments.. TU es incohérent même dans ta frustration qui ne reflète qu'une haine d'ignorant
@habibabdelkhalek44614 жыл бұрын
M.le neveu de Abane Ramdane, vous avez beau jeu de raconter et d'essayer de falsifier l'histoire algérienne. Le congrès de la soummam est un premier coup d'état fomenter par Abane (R.A) où la majorité des déclencheurs de la révolution algérienne étaient absents. Au nom de qui et de quoi Abane (RA.) décide de faire un congrès, d'abords pour se placer et écarter les vrais responsables du déclenchement de la révolution algérienne. Tous les arguments de ce coup de force, restent fallacieux et sans aucun fondement. Les principes de la révolution algérienne sont basés sur notre appartenance à la oumma islamique ou tous le monde peut vivre comme il veut en respectant les autres. La révolution n' as pas attendu Abane (R.A) pour donner une orientation à notre pays. Au contraire, le seul homme qui avait une vision sur le devenir de l'Algerie était Ahmed Benbella. Cette vision était celle qui prevalait au lendemain de l'indépendance et avec les moyens dont disposer notre pays. Malheureusement pour Abane (R.A), le fait qu'il n'a pas pris parti, ni organiser le déclenchement de la révolution algérienne lui est resté comme un accroche dont il fallait à tout prix s'en défaire. Arrêtez de monter les algeriens les uns contre les autres car nous avons besoin de connaitre notre histoire pour mieux comprendre et préparer l'avenir ensemble. Que les vrais historiens algeriens se manifestent pour nous conter notre histoire sans régionalisme ni parti pris. Pour finir et ne pas les oublier, il faut rendre hommage au vrai 1.5 millions qui ont sacrifiés leur vies pour nous et pour leur descendance qui ont tous perdu.
@belattiaila49894 жыл бұрын
La Puma de chkoupi
@ghanidjoudad29564 жыл бұрын
Benbela ya Habib lah yahdina ou yahdik.
@habibabdelkhalek44614 жыл бұрын
@@ghanidjoudad2956 Amin ya rabouElAmine
@mebarekmeradi96504 жыл бұрын
et ben mhidi et zighout que peut on en dire c etait des pantins alors !!!!! sans compter krim ben khedda amirouche et tous ceux qui ont participé
@habibabdelkhalek44614 жыл бұрын
@@mebarekmeradi9650 Non Benmhidi, zighout, krim sont des gens de qualité avec des valeurs auxquels nous devons un respect pour leurs engagements totale et déterminer...