Musiques Bamileke fe'efe'e par Djoumbissie Gerard et Moumi Guillaume. Merci de nous soutenir pour la production des Lyrics www.paypal.com...
Пікірлер: 17
@couleurstropicale988111 ай бұрын
Poesie inégalable. Aujourdhui il n'y'a plus ce niveau de chanteur car nous ne connaissons pas vraiment le Nufi .
@Resulam11 ай бұрын
Nous sommes très d'accord avec votre analyse. Pour chanter dans une langue, il faut savoir la parler. Pas juste parler comme un profane, mais connaître toutes les spécificités de la langue, les tournures idiomatiques, les expressions figurées, les proverbes, etc.
@annytchagoue3016 Жыл бұрын
Mon berceur . j'écoutais toujours avec Grand mère ❤
@Resulam4 жыл бұрын
*BIOGRAPHIE DJOUMBISSIÉ (Njòómbísīē) NEMPO Gérard* _Poète, Artiste-Musicien, Philosophe du Haut-Nkam_ Recueilli avec soin par Nsiesi Ěmo, dit Makalankwēn, le dernier véritable journaliste du Haut-Nkam à l'heure actuel... Né de sang royal le *25 décembre 1945 à Fondjomekwet*, dans le Haut-Nkam, Ouest Cameroun. Il quitte très tôt le village pour se rendre à Nkongsamba dans le Moungo. À l'âge de *12 ans*, le gamin chantait déjà comme un soliste dans la chorale Saint Martin de la mission catholique de cette localité. Il est à noter que la dite chorale était tenue par les Frères des Écoles Chrétiennes du Canada. En *1964*, grâce à Antoine BENGONO et Marcel SAFF, deux soldats de l'escadron blindé de Nkongsamba, il va faire la connaissance de MBELA Gustave, présentateur de l'émission *"Le Club des Décagénaires"* à la Radio Douala. C'est à ce programme de variétés dominicales que DJOUMBISSIĒ sera découvert. TAMLA Joseph et MPOUAL Samuel tous techniciens metteurs en ondes à Radio Douala à l'époque, vont l'aider à enregistrer son premier disque *YOLÉLA*, aux éditions *Africambiance*. À cette même époque, il réalise les disques de Jeannot Karl MANDÉNGUÉ (Jean DIKOTO MANDÉNGUÉ), KAMDEM Iréné et bien d'autres. Par la suite, entre *1967 et 1968*, DJOUMBISSIÉ voyage de Douala jusqu'au Maghreb en auto stop et par pirogue. Ruiné en chemin, il *vendra sa précieuse guitare* pour survivre. Il arrive à *Paris en France* où il perfectionne ses techniques de chant et apprend à composer ses propres chansons grâce à *madame MERIGEAU*, professeur de musique au *Conservatoire de Paris*. *Début 1969*, en sortant en France son deuxième disque qui a pour titre phare le célébrissime *"Ma mère m'écrit"*, il explose. Et, cela lui vaut d'être le *12 avril 1969*, la vedette américaine au concert de *Gilbert BECAUD*, un artiste Français qui cartonnait dans l'Hexagone à l'époque. Il devient ainsi le *premier Camerounais artiste musicien à prester dans la mythique salle de l'Olympia à Paris*. *En 1976*, il participe au premier *Festival des Arts Nègres à Lagos au Nigéria*. Il retourne au bercail en *1980*, et poursuit sa carrière de star musicale. Quarante années de carrière, *sept 45 tours, deux 33 tours et plusieurs CD* constituent son legs musical. Voici quelques-unes de ses chansons les plus connues : Yoléla, Ma mère m'écrit, Malika, Nǔ yāā mɑ̄njā' (Nuyamadjah), khʉ̀ɑ̀ ntāl ā (Kuetala), Pǎ'pòk nzhwīèsīē (paahpok-juessíé), Mɑ̄ ā pōō (Mapoo), Na méa, Controverse de la vie, Trois sous, Cotibanga. Il a composé et a même été repris par nombre d'icônes de la musique africaine. En l'occurrence : 1) Mami pour Jean DIKOTO MANDÉNGUÉ 2) Rikiatou pour SAM FAN Thomas 3) Émancipée Mariama pour Isidore TAMWO 4) Controverse de la vie pour Henry NJOH 5) Na méa pour BEBEY MANGA 6) Les Golden Sound, ancien Zangaléwa. Une dizaine de maisons de production ont collaboré avec lui. À l'instar de EDRYME, PRODUCTION PCA KAMER, PROCAMSON, PRETOUR, AFRICAMBIANCE, PATÉ MARCONI, NGUMA et PRODUCTIONS SOH. Il s'est essayé en littérature en écrivant " Franc-contribuer ". Les derniers moments qui ont ponctué sa vie, il était très mécontent du salaire de l'artiste musicien camerounais en général, et Haut-Nkamois en particulier. Il vivait alors chez lui à Mantem 1 par Manjo dans le Moungo, où il pratiquait l'agriculture. Il s'intéressait aussi beaucoup à la spiritualité. Le 11 décembre 2012 à 23 heures, alors que je l'ai invité pour un show lors de la finale de la 53 ème édition de la Coupe du Cameroun de football prévue le 23 décembre 2012, il nous quitte des suites d'AVC. Les mélomanes le pleurent. Mais, il n'a pas bénéficié le 22 décembre 2012 des obsèques qu'il méritait. Il laisse son épouses maman DJOUMBISSIE Pulchérie et une progéniture dont l'enfant le plus connu est le journaliste d'investigations Ruben Malick DJOUMBISSIÉ Par EMO Achille dit Makalankwēn, le fou du village. Avec la collaboration de tonton FIATCHOUA Débalois qui fut manager de DJOUMBISSIE Gérard, réédité par Shck Ca᷅mnà'. J'ai interviewer DJOUMBISSIE Gérard le 24 juillet 2004 lors du Festival Nzîngū, qu'organisa la communauté Haut-Nkam à la salle de fête d'Akwa à Douala.
@keousimon50407 ай бұрын
Merci beaucoup pour cette biographie. Vous participez ainsi à votre manière à pérenniser ses œuvres. Merci encore.
@Resulam7 ай бұрын
@@keousimon5040 merci aussi pour vos retours. Si vous pouvez, contribuez chez Resulam pour le développement des outils d'apprentissage des langues maternelles ancestrales africaines
@martialtouko633 жыл бұрын
Merci pour le bon souvenir
@duvalmoumi60852 жыл бұрын
Thanks!
@Resulam9 ай бұрын
Merci pour le don super fan. Bien reçu. Puisse votre Energy ⚡ positive puisse être hautement contagieux
@Resulam9 ай бұрын
Merci pour le don super fan. Bien reçu. Puisse votre Energy ⚡ positive puisse être hautement contagieux
@horokamejie226 Жыл бұрын
Njeenu 🎉😊
@PierreDjeutcheumoualeu Жыл бұрын
C'est salutaire pour la discographie du patrimoine haukamois
@jeanmariengasseu71992 жыл бұрын
Le grand musicien bafang de tout le temps
@angelekamga18542 жыл бұрын
De beaux souvenirs
@Resulam Жыл бұрын
Thanks!
@timcamer47026 ай бұрын
Thanks!
@Resulam6 ай бұрын
Pɑ̌h pén ō ! Thank you very much for the super fan thank you. We appreciate that. It motivates us and help us build more