Merci Monsieur Marcel, que la France était belle et savait vivre et profiter d'un peu de bonheur. Nous n'avions pas grand chose, mais qu'est ce que c'était bon, les gens les enfants, les vieux étaient souriant, joyeux, heureux de vivre, de nos jours les rues, les transports sont envahis de "zombies, de voleurs, de roublards". Je ne supporte plus.!
@joeldevienne55452 ай бұрын
Merci monsieur Marcel pour le retour sur cette france qui était magnifique ❤😢
@patrick591712 ай бұрын
bonjour marcel patrick jacqmart bisous
@satorihf14542 ай бұрын
Paname sera toujours Paname ! Jolie présentation et chouette musique... Bon dimanche, bisous, Corinne. 👌👍
@Jeanemilr-hn7tj2 ай бұрын
Rue du Rocher, Escalier Vers la rue de Madrid, Rue Portalis. La vie, Enthousiasmante. Légère et belle. Fidèlement Merci
@pierregilet79122 ай бұрын
Beaux souvenir.
@robertlenir96852 ай бұрын
🤩
@josephlakomyj74352 ай бұрын
🎉🎉🎉
@monarquex2 ай бұрын
aujourd'hui, c' est Mac DO, rappeurs et théorie du genre
@jeanferrero43312 ай бұрын
Malheureusement les gens ne savent pas apprécier la vie car égoïste
@picageffcard67182 ай бұрын
Rap, genre et wesh wesh... pour sûr, ça n'arrange pas la France. Quant à Mac-Do, pas certain qu'ils y soient pour quelque chose dans la dégénérescence de notre pays. Mais bon, je me souviens de Paris quand j'y suis arrivé pour travailler, début des années soixante-dix. Il y avait, à la place des Mac-Do, des sortes de grands self-services, cuisine francaise, pas chers du tout,où beaucoup d'ouvriers parisiens et autres gens se retrouvaient le midi. J'ai hélas oublié le nom de ces restos. Ils ont disparus au tout début des années quatre-vingts. Les deux dont je me rappelle se situaient l'un avenue de flandre, entre Crimée et Corentin Cariou, l'autre place de Belleville, sur le boulevard. Si quelqu'un s'en souvient, ce serait chouette qu'il dise le nom. Aujourd'hui, Paris est une pétaudière, sans âme autre que celle formatée pour les touristes ; Un bouge à bobos qui veulent vous apprendre la vie, et un terrain de manoeuvre pour les roms qui viennent s'emplir les poches en vidant les vôtres ; Un terrain de camping pour tous les migrants qui fuient la violence ou la misère chez eux pour nous l'imposer. Ne nous faisons pas d'illusions, ils ne nous aiment pas. Il n'y a que les associations pour croire le contraire. Associations qui, au passage, s'en mettent plein les poches. Une lice pour la racaille des banlieues qui viennent s'y frotter à celle de nos arrondissements périphériques. Et qui agressent les gens pour un regard mal perçu, une cigarette refusée, une main mal placée, et j'en passe. Paris a perdu son âme. Sa gouaille s'est diluée dans des expressions et des accents bassinées à longueur de journée sur les bandes fm. Son esprits s'en est allé en même temps que les anciens, partis vers d'autres cieux ou sous d'autres cieux. Paris n'est plus, mais c'est aussi la France qui perd son âme.