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«Le malheur au malheur ressemble», comme ces pirogues qui ne finissent pas de chavirer, jetant aux abysses de jeunes vies qui voulaient s’épanouir ailleurs. Les larmes des mères et les promesses des différents gouvernements semblent impuissantes devant l’attrait de cet ailleurs. A qui la faute? Le président Bassirou Diomaye Faye a demandé aux familles de faire moins pression sur leurs enfants.
#Sénégal #Migration #Clandestine