Shadow Work : Travailler avec nos parts d'Ombre

[@lyneroy5768]

Allo les filles. Merci ! Vous êtes fabuleuses

[@maw2k]

merci pour cet épisode ❤

[@osezchanger1596]

Sortir de l'illusion de la polarité Réussite/Échec semble un truc qui n'est pas très mis de l'avant.

[@AmouretMagiePodcast]

Merci d’amener la conversation encore plus loin !

[@NicoDupont-l1q]

J'ai la meilleur tante♥

[@AmouretMagiePodcast]

NICO D'AMOUR!!!

[@osezchanger1596]

J'ose vous partager un texte : Le personnage en ses croyances se projette dans l'idée de vouloir vibrer haut, d'avoir un bon taux vibratoire, ca se parle souvent de haute vibration, de haute fréquence, la lumière et tout... Ce sont des mensonges, des tromperies qui peuvent bien nourrir la naïveté spirituelle des individus. Il n'y a pas à vibrer haut ou ne pas vibrer bas, nous vibrons sur tout le spectre des fréquences et il n'y a pas d'harmonie tant que l'ego veut se projeter de manière perfectionniste dans des vibrations spécifique, élitiste. Dans le son, les vibrations varient en fonction des fréquences (notes et informations), des décibels (intensités et rapidités). Une basse fréquence (0 à 200 Hz) va agir comme une sphère d'onde vibratoire, pénétrera les obstacles et se répandra loin, tandis que les hautes fréquences (2 kHz et 25000 kHz et plus) seront plutôt dirigées et auront tendance à se dissiper devant les obstacles. Il y aura aussi les médianes (200hz à 2khz) qui auront un impact considérable sur la qualité sonore. La problématique, c'est que l'homme visualise par la forme, l'onde de forme, il se la représente visuellement au travers le sinusoïdal, de l'oscillation, du graphique, il la mathématise et la géométrise, la symbolise en réalité. Haute, médiane ou basse fréquence sont toutes essentielles pour que la musique soit bonne, harmonieuse, appréciable, alors que dans la vie c'est la même affaire pour tout. Ôter de la musique ses basses fréquences, ou ses hautes fréquences, vous allez vous rendre compte que cela change absolument la qualité de la perception, de l'âme et de l'intentionnalité véhiculée par les musiciens et les instruments. Ce sera même désagréable à l'écoute. Un être n'est pas intégral sans basse fréquence, sans haute fréquence. Le tout est d'être un bon chef d'orchestre vibratoire. De dialoguer avec l'ensemble du spectre, le spectral vibratoire. Chercher à vouloir vibrer haut uniquement, c'est en quelque sorte vouloir s'extraire de l'harmonie totalisante du large spectre de fréquence et se dissiper dans l'illusion spirituelle perfectionniste. Tout cela, car il est jugé que les basses fréquences sont systématiquement "mauvaises"... et que les hautes fréquences "excellente"... Le fameux "taux" vibratoire, ou cette mesure du soi-disant taux vibratoire est seulement bon pour s'évaluer psychologiquement et spirituellement à travers une échelle de valeur comparative pour se situer en tant qu'être. Être de lumière, être de ténèbres En musique, nous savons que si nous jouons la fréquence 400 Hz, elle peut avoir un son différent, il y a plusieurs 400 Hz (il y a du décimal infinitésimal), donc le 400 Hz n'est pas toujours le même son, mais comme un son qui s'introduit dans un spectre de fréquence spécifique, il y a une quantité infinie de sons pour la même fréquence. Or, il en est de même pour les fréquences que l'humain vit en son sein, en sa psyché, son corps. Il y a de saines basses fréquences, et des moins bonnes, des avantageuses, des moins avantageuses, qui peuvent tout de même créer une disharmonie, mais c'est la même affaire pour les hautes fréquences, si le débit est trop fort, si c'est trop aigu, pas bien égalisé au niveau des fréquences, si ce n'est pas neutre, ou plat, pour laisser place à une dynamique viable, alors l'harmonie est en péril et le son, ou notre ressenti face au son, sera perturbé par ce trop grand déséquilibre entre les décibels. Il en est de même pour nous. Nous oublions les décibels quand nous parlons de fréquence et de vibration, mais c'est important, car les décibels sont l'intensité, le volume, la puissance. Les décibels (l'intensité, la force et la rapidité) demandent plus d'énergie, mais l'impact sera davantage perçu, il en est de même pour nos fréquences vibratoires internes, astrales et mentales. Nous le savons bien avec les mémoires et la charge émotionnelle. Le bon volume et une bonne harmonique est essentiel. Même affaire pour la polarité lumière/ténèbres, nous ne voulons pas voir que du blanc ou du noir, nous voulons l'ensemble du spectre pour apprécier et distinguer le réel perçu dans la diversité de ses éléments. Trop de lumière aveugle, trop de ténèbres ne rend pas grâce au visible. Les gens hypersensibles à l'environnement sont comme des diapasons ultrasensibles qui saisissent la moindre perturbation des fréquences, que ce soit les radiofréquences, la luminosité, le son, des polluants chimique, des allergènes et plus souvent qu'autrement s'en sentent incommodés. À ce niveau, il est important de rappeler que nous sommes tous en mutation et qu'il y a un temps d'adaptation pour nos "nouveaux" centres perceptuels accrus. Les sensibilités sont proportionnels au degré de conscience de l'individu. Il n'y pas à élever ses vibrations, il y à a harmoniser l'ensemble du spectre, basse à haute fréquence, tout est nécessaire pour une symphonie impeccable. Trop de basse fréquence, ca risque de déranger les voisins :), trop de haute fréquences agresser les oreilles. ________ Il n'y a pas de délicatesse s'il n'y a pas de dureté. Il n'y a pas de gentillesse s'il n'y a pas de méchanceté. Il n'y a pas de beauté s'il n'y a pas de laideur. Je dis cela pourquoi ? Parce que le contraste entre les contraires est nécessaire pour permettre la mesure et la distinction entre le nuisible et l'utile, le constat de l'écart, du degré. Si nous vivions seulement dans le beau, la paix, la lumière, nous ne percevrions et ne reconnaîtrions pas réellement le beau, la lumière et la paix, car nous n'aurions pas la vision du contraste pour constater l'écart qui permet la distinction et l'appréciation réel. En un sens, le BEAU réservé qu'à lui seul serait LAID, car il ne permettrait pas la vue d'ensemble pour l'apprécié. Ce serait uniforme et stérile comme vie. Alors, l'écart entre les fréquences et dans le spectre permet d'apprécier, d'appréhender le tout, de rendre visible le tout. La musique devient alors harmonieuse quand nous en saisissons la totale partition. L'esthétismes c'est aussi l'art de jouer avec les nuances, le variable du spectre et non pas d'isoler le spectre à une donné fixe convoitable et préférenciel. Nous sommes des danseurs fous dans la multipolarité des scènes de la vie. Il n'y a pas de lumière s'il n'y a pas d'espace ténébreux pour la contenir et permettre son mouvement messager. Il n'y a pas de lumière ni d'espace si rien ne peut en prendre conscience. Alors celui qui voudra faire l'ange, risque parfois à son propre détriment, de faire la bête.

[@AmouretMagiePodcast]

Ce texte est super intéressant merci! C’est pour cela qu’on croit qu’il faut vivre avec son ombre et l’accepter.

[@osezchanger1596]

@@AmouretMagiePodcast Oui l'ombre finalement n'est que la preuve qu'il y a de l'obstruction entre la lumière et l'objet à éclairée.