Merci pour ce partage, cet hommage. Hélas, je ne vais pas pouvoir l'écouter. Trop d'émotion devant ce drame humain. Viendra le jour où ce poème pourra, pour moi, être écouter avec des larmes de regret et de tristesse et non pas des larmes de colère et de désespoir. Où vont-ils ? Que leur est-il arrivé ? Comment peut-on à ce point s'abreuver du sang des civils, des femmes, des enfants ...
@solangeamstutz885511 ай бұрын
Bouleversant de beauté. Mon cœur est horriblement meurtri. J’essaie de trouver ne serait-ce qu’un centième de la foi et du courage des Palestiniens. C’est à nous d’apprendre d’eux. Quelle honte est la notre. Il est temps qu’on apprenne l’histoire. Je n’oublierai jamais l’indifférence coupable et criminelle, Soutien au peuple palestinien ! ❤🇵🇸❤️🔥
@nadine73611 ай бұрын
Magnifique poème... Les mots ne meurent jamais ❤🙏
@melbla360911 ай бұрын
Tout à l'heure, je regardais l'excellente dernière vidéo de bolchegeek (Benjamin patineau) sur la chaîne de l'huma et en fin de vidéo, dans un extrait de l'émission de backseat, un jeune homme racontait comment il fut choqué et même eu le cœur brisé à la réalisation que les palestiniens étaient sans cesse déshumanisés. Il disait en gros «qu'est ce qu'on sait des Palestiniens ? Juste qu'ils tuent et on les tue.» Aussi, détail important c'est un jeune d'une association juive dont je n'ai plus le nom. (Grr). Bref, je voulais dire que je trouve merveilleux que tu te sois donné la peine de rappeler au monde (ou à une partie de celui-ci) que les personnes qui s'éteignent chaque jour, là-bas, sont des personnes. Les palestiniens sont des personnes. Les palestiniens, comme leurs semblables en humanité sont des êtres doté d'amour, de beauté et de poésie.
@solangeamstutz885511 ай бұрын
C’était Simon Assoun du collectif Tsedek ? Ou Jonathan Ruff?
@solangeamstutz885511 ай бұрын
Il faudrait plutôt dire: on les tue et on les chasse et ils se défendent…. La chaîne paroles d’honneur regroupent des jeunes de différents horizons pour penser la paix : très beau de les voir ensemble
@leilaelhaffaf76736 ай бұрын
Boulversant cet hommage ...merci pour la version française...les martyrs ne meurent pas...ils sont près d'Allah , heureux pour l'Eternité ....c un djihad la victoire ou le martyr c gagnant gagnant
@denisejarraud581711 ай бұрын
une pensée bouleversante pour tous les gazaouis assassinés par un peuple qui prétend représenter un dieu qu'ils ont trahi depuis plus de 70 ans ....fallait-il que nous versions des larmes après 1945 , oui.....en 2023 ; non. plus jamais pour israel et merci à tous les humains de religion juive qui auront crié : pas en notre nom car ils ont été trahis , eux aussi.
@Elendil000011 ай бұрын
Merci
@patrickesteban958111 ай бұрын
Repose en paix ami poète💔🙏🏼🌹 🕊️🇵🇸🕊️
@AlexisDayon11 ай бұрын
Malheureusement ce sont davantage la peur, le désespoir et la colère qui ont dominé les dernières semaines de sa vie. Il a beaucoup écrit sur les réseaux dans la période récente, à propos de ce qu’il éprouvait. Et je le résumerais ainsi : il conservait une combativité qui n’avait plus pour fondement l’espoir, mais la rage. Mais il a essayé de faire en sorte que, dans ce poème, ce soit autre chose qui domine : l’amour. Il a dû savoir que c’était ce qu’il avait de plus précieux à léguer derrière lui. Que Dieu ait son âme.
@gerardsoler17138 ай бұрын
@@AlexisDayon N'étant pas croyant, je pense que son cerveau, réceptacle de sa pensée et de ses sentiments, s'est définitivement éteint en même temps que le reste de ses fonctions vitales et que cette personne de chair n'est plus, en incluant un au-delà spirituel. Alors plutôt "que dieu ait son âme", je dirais "que nous conservions ses mots". Mais je ne jette pas la pierre. Chacun sa façon de concevoir la fin de la vie. Je pense que nous survivons à la mort, quelques temps, longtemps pour certains, par nos actes, nos paroles, le temps de leur résonnance dans ceux qui nous survivent. Et je trouve cela déjà très bien, en plus de retourner à la terre nourricière.
@salimalloun641310 ай бұрын
La traduction française est très belle, c'est de vous ?
@AlexisDayon10 ай бұрын
Merci beaucoup ! Oui, elle est de moi. J’ai pris quelques libertés sur la versification originale, qui m’ont paru nécessaires çà et là pour convenir au français, mais j’ai pensé qu’ainsi je restituerais mieux l’esprit du poème. En tout cas votre compliment me touche.
@mariecupcakesleger611211 ай бұрын
Quel magnifique poème dédié à sa vie et a la vie !
@salimalloun641310 ай бұрын
@@hectorpierre6219"La qualité d'un texte ne se juge pas au destin de son auteur". Est-ce une affirmation de constatation ? Ou un énoncé normatif ? Si c'est le premier cas alors il me semble que vous ayez tout à fait faux, et que la vie de l'auteur a toujours rayonné - ou assombri, le cas échéant - sur la réception que l'on a de ses oeuvres. (Et si par qualité vous n'entendez pas l'effet qu'il fait sur les lecteurs, dont fait partie @mariecupcakesleger6112, alors votre commentaire n'est pas une réponse pertinente.) Il est en plus assez évident, que si dans le poème on remplaçait, en 2024, "Gaza" par "Sydney" cela ne produirait pas le même effet... et pourtant cela ne changerait pas la platitude que vous y voyez.
@MONIKAMARS10 ай бұрын
La mort n'est pas un événement de la vie. On ne vit pas la mort. Si l'on entend par éternité non la durée infinie mais l'intemporalité, alors il a la vie éternelle celui qui vit dans le présent. Notre vie n'a pas de fin, comme notre champ de vision est sans frontière. 6.4311 - Tractatus - L. Wittgenstein