Même c'est pas vrai, à être honnête sur ma vie les gens perdent Apprend à cacher tes amours, tes ennuies, tes emmerdes Apprend à écouter la journée, à comprendre tes nuits Retiens comme ton nom le plan du chemin par lequel tu t’enfuis Et on en fait des pas d'géant, on touche et ça couche Ne les écoute pas j'te raconterai tout ce qu'on peut faire avec la bouche Apprenez a aimer la paix, sans les feintes, sans département A apprécier les humbles, les gens simple, la vie simplement Fuyez les drôles d'odeur, ça frôle l'horreur On y croise des humains sourire et rire camoufler la tristesse d'un saule pleureur Aissa tu vas prendre froid parce que t'as pas mis d'bonnet Sortez moi tout ces mythos d'ma cellule capitonné Tout était faux, plus qu'a partir, sache que si t'as du lourd a dire La vérité appartient à qui a les mots pour la dire Autrement qu'est c't'en sais J'aurais vécu a l'époque de Molière ces connard apprendraient mes textes en cour de français Ne les écoute pas, mentir sur moi, apprend mes défaut, les gens sont Les plus charismatiques ont moins de charisme qu'une de mes chansons Tu verra comme tout le monde s'en fout de tes regrets tes blessures folles Mais nous les traîtres et les ennemis on les oublie, on les survolent Tous coupables, tous échangeraient la vie ou l'sommeil Cherche a palper la lumière, on les encaisse tes coups d'soleil Personne me tire l'oreille comme certains, le déclin Ils sont perdus, tous en chien, ils sont plein, je les plains Apprend que l'honneur ça va plus loin qu'une belle femme ou qu'une somme Hagra ça paye pas ça peut coûter cher comme la parole d'un homme La vie on s’accroche on y croit Les mots d'un père pèsent largement plus lourd que tout ce qui peut sortir de la bouche d'un roi Mes regrets pour seul sinistre, mon éducation comme gouvernement Mon cerveau, mon cœur comme ministre