"Solaris", de Stanislas Lem (Alchimie d'un roman, n°69)

[@SieurBrabantio]

jamais lu le livre, mais vu le film de tarkovsky, une sacrée expérience!

[@yed-nadiashihab3748]

Cool, merci pour votre travail. Prenez soin de vous, Allez vous bien ? Bonne continuation. Bien à vous,

[@Nekhesh]

Merci beaucoup pour votre analyse de ce chef chef-d'œuvre de la science fiction mr Depotte! Ce format alchimique est toujours aussi agréable à suivre.

[@cyrlav7748]

Super pour vos cours ! On a bien besoin de personnes capables de faire aimer la littérature aux scientifiques (et également - peut-être davantage - de personnes capables de faire aimer la science et l'esprit critique aux littéraires)

[@PlouplePoupi]

Votre retour est un cadeau !👍🏼🍒

[@___soyann]

merci pour cette vidéo! et également pour tout le reste de la playlist "Alchimie d'un roman"

[@chocoplume1831]

"JP? Le retour..!."§§Ca pourrait faire le titre d'une saga:)) Au moins rien de grave ne vous était arrivé, vous nous avez fichu une de ces peurs...Tandis qu'au sortir de mon télétravail, j'ai eu du temps pour tomber les deux tomes de JR Dos SANTOS ( "La formule de Dieu" et "Signes de vie") qui ne sont que des prétextes pour nous expliquer les lois de l'univers et les questions vertigineuses qu'elles entraînent, épatantes! Je vois dans SOLARIS un autre stratagème emprunté à la Science fiction et qui nous fait retomber sur le processus du travail de deuil, vous nous le décortiquez fort bien, merci !

[@cheikhfaye6163]

Merci pour ce travail !!

[@hamidbensaid2018]

Merci pour vos vidéos intéressants. Voudriez vous faire une vidéo sur Climats d'André Maurois. Merci

[@hok_bras]

Une vidéo, super !

[@ConstantinBerthelier]

Merci !

[@terhalei1060]

Merci pour ce travail titanesque, beaucoup de mes livres preferes figurent sur votre chaine j'ai lu recemment "Le Livre du nouveau soleil" de Gene Wolf qui serais aussi un tres bon sujet pour une analyse.

[@anissebenhallam6559]

A quand une analyse des Deux Étendards de Rebatet

[@NNAATTYY1974]

l'homme veut conquérir le monde alors qu'il a besoin seulement d'un miroir " c'est dans le film adapté de Tarkovsky 1972. Ce qui reflète ce que veut dire le roman : le monde n'a pas fini de comprendre la terre et se comprendre lui-même ... alors pourquoi allez conquérir l'espace ? Est une phrase du roman ou la vision de Tarkovsky?

[@legendespatiale7434]

Planete cerveau , il y a aussi le film Gardien de la Galaxie 2

[@davidsauzay]

Hello c est les jazz messengers que l’on entend derrière ?!

[@philipaseilles5341]

salut ! est-ce que tu pourrais, après les romans que tu comptes présenter, analyser Emma, de Jane Austen ?

[@orlane4412]

Bonjour Une simple proposition : L assommoir de Émile Zola 🙂

[@julesg7543]

J’aime lorsqu’on parle de science fiction

[@manticorev9461]

Excellente vidéo, comme toujours ! Serait-ce possible de savoir ce que vous pensez des deux adaptations qui ont été faites du livre au cinéma ?

[@wshlacougar8968]

T as fait l ecole centrale paris ?

[@numerosix5019]

Étrange... Dans mon souvenir c'est Solaris qui devait faire son deuil des humains, trop auto-centrés que pour admettre qu'elle leur parlait. Elle reçoit une pâle imitation de ses structures, elle leur envoie une pâle imitation de leurs souvenirs pour faire comprendre ce que ça lui fait. Et au lieu de se tourner vers l'inconnu et l'avenir les humains rentrent chez eux tranquilles... Si c'est ni scientifique, ni religieux alors c'est rien. Rien de connu des humains oui.

[@lionelmuller9986]

Solaris est un roman exigeant. La planète n'est pas le décor d'une n-ième mièvrerie: c'est la bluette qui est l'un des nombreux artifices du véritable sujet: Solaris. Pour comprendre et apprécier le roman, il faut se mettre à la place de la planète. Hors, le roman le démontre tout du long: une telle prouesse dépasse l'humain. Il n'est pas étonnant alors que la quasi-totalité des lecteurs, malgré le poids du «scientifico-compliqué», tout de même 1/4 du bouquin, passent ainsi à côté de l'éléphant tout en embrassant les petits élans murins des protagonistes humains: tout comme eux confus, perdus, hystériques et désespérés, ils rabaissent l'œuvre à leur propre médiocrité. Stanislas Lem, chose d'une rareté extrême chez les auteurs, à même dévoilé la grille de lecture aussi clairement et brutalement qu'il a pu, en vain… Il faut croire que même une Solaris de fiction plane loin, très loin au dessus des hommes.

[@aidanand0rr600]

Je ne suis pas d'accord avec la fin de l'analyse, il ne l'a laisse pas partir, c'est elle qui, voyant qu'il n'y a aucune issue pour Kelvin décide de se faire annihiler. Mais Kelvin n'a pas fait son deuil, il décide donc d'aller sur Solaris sans espoir d'en revenir... Et de ce que j'ai compris, la planète a bien une intelligence incommensurable, ce qui la rend comparable à un dieu pour un humain, mais il s'agit d'un dieu qui s'ennuie (la dernière théorie évoquée du roman)

[@tlwb9333]

L'apparition inattendue de visages familiers parfaitement étrangers au roman de Stanislas Lem me laisse perplexe. Apparemment, cet étrange phénomène iconographique peu orthodoxe ne date pas d'hier. Suis-je le seul à éprouver ce sentiment de confusion ?

[@krisbadgirllez9997]

Il faut voir, un point vu , de la philosophie.

[@benoitdebacker3111]

JeanMichelGrosJeu?

[@KokoLeMakak]

Oui ? On m'appelle ?

[@benoitdebacker3111]

JeanMichelGrosjeu je me disais bien que votre voix m’était familière! Très Chouette vidéo et bonne continuation!