"Ton absence n'est que ténèbres" de Jón Kalman Stefánsson - La chronique d'Isabelle Sorente

Aujourd'hui, Isabelle Sorente nous parle du roman de Jón Kalman Stefánsson, "Ton absence n'est que ténèbres".
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[@TheMoonake]

Cet écrivain est merveilleux, merci pour cette chronique

[@chriscard6544]

J'avais lu Goliarda Sapienza en pensant qu'elle était la plus grande et j'ai découvert Stefansson. Les deux dans un genre différent sont une respiration des étoiles, de poussière d'obscurité et de lumineuses fulgurances

[@chriscard6544]

Se taire c'est dire, dire c'est taire, c'est une respiration parce que la beauté se respire, vous avez dit le mot qui résume tout: la lande. parfois il faut se laisser les mots respirer, un seul mot suffit, dans les livres cultes, je vois des liens entre Goliarda Sapienza et Stefansson. Ces lectures qui vous ouvrent aux étoiles. Merci Mademoiselle pour votre chronique.

[@danielalejandrovidalangele1517]

Je viens de le lire, c'est un roman très tendre et émotif.

[@Marc-Alain.Kairos]

Votre absence ne sera que ténèbres si vous n'êtes pas au moins quelques dimanches soirs dans la prochaine saison radiophonique .Voilà ,c'est dit .

[@dominiquemanchon9914]

Vous avez aimé "ton absence n'est que ténèbres", vous adorerez "mon sous-marin jaune" !

[@MaestroFrites]

Damso doit se marier super bien avec le reste de la camarde :)