"les trente et un zensembles de Bretagne..."! Par ailleurs la carte de Bretagne qui figure au début ampute la Bretagne du Pays nantais, pourtant tellement breton que Nantes fut notre capitale pendant plus de mille ans. Les cercles de Loire Atlantique sont d'ailleurs très présents à Pont-L'Abbé pour les brodeuses, (Guérande Saint Nazaire, etc...)
@moniquejoncour77453 жыл бұрын
Pm
@louismelennec79583 жыл бұрын
11 janvier 2021 à 11 h 45 min LOUIS MELENNEC. ARTICLE DE NICOLAS TRAVERS SUR LA LANGUE BRETONNE (chewbii.com). Excellent article de synthèse, très éclairant et honnête. Je suis né en pays bretonnant. Tous les adultes parlaient le breton dans mon enfance. Seuls les vieux ou très vieux étaient unilingues. Il est exact que les néo-bretonnants ne parlent pas comme ceux que j’ai entendus dans mon enfance, même si le vocabulaire courant est souvent le même. Le néo-breton était un moindre mal pour sauver la langue. Mais la France, outre le fait qu’elle n’a JAMAIS inventé les droits de l’homme, ni rien apporté dans ce domaine, est un pays linguicide : son but avoué, avec la complicité des prétendus “élus”, “subventionnés” par de gros salaires, est la mise à mort des vieilles langues nationales, le breton en premier lieu. Le breton sera mort avant peu, il n’est qu’en survie. Les “mondialistes” sont complices de cette mise à mort de notre patrimoine linguistique. La langue a été assassinée par la France; il est FAUX de dire que ce sont les parents qui sont coupables de ce crime : les parents ont été tellement humiliés par la France, du temps qu’ils étaient jeunes, qu’ils ont voulu éviter à leurs enfants les souffrances qui leur avaient été infligées à l’école, et qui ont engendré tant de troubles psychologiques et mentaux. (Carrer, Bothorel, Etienne, Mélennec …..) La position de SOHIER était équilbrée : un enseignement bilingue généralisé à toute la Bretagne. La position communiste de Broudic ne tient pas la route. Les Bretons ont leur part de responsabilité : ils aiment leur esclavage. Il circule un dicton : “ESCLAVES ET FIERS DE L’ÊTRE !” LOUIS MELENNEC