merci pour ce documentaire ,très interessant ,très bien expliqué
@uknow61073 жыл бұрын
nous ne savons rien nous ne savons rien de la douleur la saison amère du froid creuse de longues traces dans nos muscles il aurait plutôt aimé la joie de la victoire sages sous les tristesses calmes ne pouvoir rien faire si la neige tombait en haut si le soleil montait chez nous pendant la nuit pour nous chauffer et les arbres pendaient avec leur couronne - unique pleur - si les oiseaux étaient parmi nous pour se mirer dans le lac tranquille au-dessus de nos têtes
@manuelpuertasfuertes45262 жыл бұрын
J'ai traduit les Oeuvres complètes de TZARA à l'espagnol , se suis amoureux DADA est vif
@rienneveutriendire7 жыл бұрын
Retrouvez toutes les émissions "Une Vie, une œuvre" ici : kzbin.info/aero/PLagEsBu5pFhGf8L4FlFS1sYW93xRMYdLo
@jesuisciprian3 жыл бұрын
thank you so much. Multumesc foarte frumos :)
@abooswalehmosafeer1734 жыл бұрын
Tres interessant. Jaurais aimé Tristan Tzara.
@eldorado5123 Жыл бұрын
j'aime bien toutes ces idées étranges ,farfelues ,sympathiques
@aurelianstefanescu64084 жыл бұрын
superb.
@OPERATIONSAMUELINCIDENTKANDAKH13 күн бұрын
«Pour comprendre comment est né Dada, il faut imaginer, d'une part, l'état d'esprit d'un groupe de jeunes dans cette prison qu'était la Suisse au moment de la Première Guerre mondiale et, d'autre part, la vie intellectuelle niveau de l'art et de la littérature à cette époque. Bien sûr, la guerre devait prendre fin et nous aurions assisté à d’autres guerres par la suite. Tout cela est tombé dans ce semi-oubli que l’habitude appelle histoire. Mais vers 1916-1917, la guerre semblait ne jamais finir. De plus, de loin, tant pour moi que pour mes amis, cela prenait des proportions déformées dans une perspective trop large. D'où le dégoût et la révolte. Nous étions résolument contre la guerre, sans pour autant tomber dans le giron facile du pacifisme utopique. Nous savions que la guerre ne pourrait être étouffée que si ses racines étaient éradiquées. L'impatience de vivre était grande, le dégoût s'appliquait à toutes les formes de civilisation dite moderne, à ses fondements mêmes, à la logique, au langage, et la révolte prenait des voies où le grotesque et l'absurde dépassaient de loin les valeurs esthétiques. Il ne faut pas oublier qu'en littérature un sentimentalisme intrusif masquait l'humain et que le mauvais goût aux prétentions à l'élévation s'est imposé dans tous les secteurs de l'art, caractérisant la force de la bourgeoisie dans tout ce qu'elle avait de plus odieux..."