Vivre sans, une philosophie du manque, avec Mazarine M. Pingeot

[@polimeque-vamos]

Belles réflexions ouvertes ! Je pensais, puisqu'il est cité, à Aristote chevauché par Phyllis, non pas tant pour la figure pornographique que pour l'inversion de genre qui marque cette représentation, et voire même de sexe, mimée à partir d'un vieux lai dans certaines reproductions gravées. Ce qui pose la différence des sexes comme seule altérité fondatrice dans l'espèce, fût-elle troublée par l'intervention, l'intermédiaire, l'intrusion même des gants de la science et des seringues technologiques. Je dis qu'on reproduit l'orphelinisme (ancien mot oublié) par notre artificielle intelligence. Le résultat est un manque augmenté. Le Dr Nasio nous qualifie d'être de perte et de manque. Ces deux caractères ne manquent décidément à aucun "progrès" ! Incommensurable, tel le nombre d'or nous dit Lacan... Merci.

[@lauryg.4951]

Par rapport à la venue d'un enfant il faudrait aussi prendre en compte les contraintes économiques... Accueillir un enfant suppose un minimum de confort. Pas sûr que nos intervenants aient eu à se poser le problème...