Choir, c'est moi en ce moment et même tout le temps. Je trébuche sur toute ma vie depuis que j'ai decouvert l'alexandrin avec Alexandre Jardin
@JeanneDecouty12 сағат бұрын
Je veux bien plus moi madame. A force de m'exercer, je me navre moi-même. Je suis sans pitié avec moi-même alors j'abuse de votre tendresse pour ma prose antique que je suis Elise d'un cantique nouveau, de dancing letters à decouvrir dans un endroit que je vous indiquerai tout bas, tout là-bas sur un wordpress privé. Il n'y a plus qu'à s'inscrire. Elise's dancing letters pour Eric et sa voisine, l'Ophelie de ses rêves qui n'a plus rien d'existentiel mais tout d'essentiel. Je m'en vais maintenant rejoindre la littérature de mon père qui ne vaut pas tripette : allez, debout les morts, le cimetière change de place ! ! ! ! 😮🪺🪺🪺
@JeanneDecouty12 сағат бұрын
Je ne suis ni victime ni bourreau mais juste un cas d'école qui cherche un contact avec ses amis de la poésie et de la littérature. Mais je ne vois que des silures qui n'ont aucun tact mais plein de contacts à s'attacher à celui qui est malheureux d'être deux alors qu'il faudrait trois personnes pour qu'il rigole mieux. Et cette personne s'appelle Elise Delettre baronne Dudevant de sa piètre importance. Voilà, le cas d'école repart vers un autre endroit faire des fictions avec tous les bois qui font du feu ma foi 🎉😊
@JeanneDecouty1Күн бұрын
Que n'aurais je dit aujourd'hui puisque je t'aime à l'envi, Éric et que je ne suis ici que pour m'accorder ta sympathie. Oui je t'envie avec cette femme et ces filles que tu affiches et que je suis certainement en train d'oublier. N'oublie pas cette date, le 18 juillet 2003 ? Le 24 ou le 20 ? Peu importe ce choix, je sais que cette date est restée ancrée en toi et que tu t'efforces de ne pas y penser pour ne pas t'effondrer. Tu es dans ton sujet maintenant et je suis oubliée comme cette infâme manante que tu préfères posséder et moi, dans la dereliction d'une condition actuelle, je ne peux que m'opposer à cette condition. Ouvre-moi ta porte, une fenêtre, un sas ou un vasistas. Je te suis depuis tellement d'années que je suis damnée à te corrompre avec mes miscellanées. Éric, mon Frédéric que j'ai rencontré quand tu n'étais qu'un bébé avec de belles joues que j'ai envie d'embrasser. Ton regard joueur et taquin, avec ce qu'il faut de tendre vers Christophe, marquent une belle complicité que je voudrais connaître moi aussi, mais plus qu'une amitié, un amour que tout emporte, nos rires et nos lendemains qui s'enchantent d'un rien. J'ai tellement envie de te connaître, O Éric mon Frédéric, que je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps, que j'habite Châteaudun ou Notre-Dame-de-Recouvrance... Comme toi que je sais là-bas, pas loin des tuyaux de la vie qui me mènent à tes intempéries et tes inconvenues. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Écris moi, laisse-moi un mot sur cette chaîne qui n'est faite que pour toi et par toi, même si Olivier est passé par là. Et François, sans qui je ne serai là, ce que je ne sais que trop bien. Et maintenant ? @maisondelapoesie ? Qui joue perde et gagne. Fais-toi le transfert d'une puissance qui me dépasse. Je sais, je joue à la loterie. Voilà tout est dit, Éric, Jean-Eric, Jean-Frederic Chevillard je suis avec toi à jamais et dans ton présent. Quant à l'avenir, je n'ose y penser. Je me sens bulle en osier, bulle et boule de gomme tout juste bonne à mâcher. Mon ami, mon amour, je t'aime dans les illusions d'un instant et je te veux au présent. A l'avenir, je me remets à toi et à tes lettres en forme de cartes postales, de livres dédicacés et d'un but en zigzag que tu t'es fixé avec moi. Alors dribble, dribble encore et viens à moi mon amant ❤❤❤❤
@PijanitsaVodeКүн бұрын
Irèèèène!!
@JeanneDecouty13 күн бұрын
Nous en sommes ici, à la décapitation du roi mais nous n'avons pas gagné la partie. La partie, c'est toi et moi Olivier et la table de jeu, c'est ton livre que tu me montres à la lueur d'une bougie mal allumée. J'en suis donc là, à faire des machineries quelque part, grâce aux cieux qui me disent : Olivier, il veut gagner la partie face à toi. Mais moi, je ne suis pas de cette compétition là. Je suis ce pois de senteur qui tient des lueurs de l'Abyssinie que je vais visiter cet été pour éviter le blue monday. Le monday est blue et toi, tu es un blue sky généralisé Olivier. Tu es mon blue sky et tu veux que je t'inocule quelque chose de précieux : le secret divin de l'eau de source qui communique avec le reste du monde. Mais mon eau de source, c'est toi, et puis ma mère était mon eau de vie. Elle m'a saoulée plus d'une fois mais à présent que je manque d'elle, je communique avec toi car tu ne me laisses pas le choix. Je suis celle que tu as défendue, que tu as comparée à des sesterces qui n'étaient pas bien nées, à une figure romaine que tu aurais pu corrompre alors qu'elle était droite et pleine de vertus. Enfin, je n'irai pas au bout de cette étendue-là. Je suis étendue à côté de toi, je t'imagine nu, près de moi, je m'attache à ton passé et à ton vécu. Tu as défendu becs et ongles tant de Don Martin, de psylliums mal aspectés et de bouchers qui ont fini par délaisser Claudine. Faute de grives, le merle s'attaque ailleurs, aux demi-portions que laissent les cerisiers en fleurs. Et toi tu es mon cerisier Olivier. Il est là, il se multiplie, il fait des rejets partout et je respire à fond, tu sais, je sais que tu es long mais ambitieux, je sais que je n'irai pas par quatre chemins. Si je suis là ce matin, si je reviens vers toi comme ça, c'est que je n'ai pas eu assez de toi. Déjà hier, et puis avant-hier, ta poésie et ta prose me vont à ravir. Tu es libre de toute sensation, de toute ambition d'être là au bon moment. Maintenant que tu es caché, je suis loin de toi mais je suis à côté de ton esprit qui part cracher que je sens bon. Oui peut-être, je sens le café et la chicorée du petit matin. Je suis éclairée par mon lampadaire, une lueur un peu jaune, un peu orangée. Je suis là et je suis bien avec toi. Je ne me prends pas au sérieux... Déjà, c'est bon. Pas d'ambition, juste l'ambition d'être heureuse avec toi et de faire une performance depuis chez moi, bien cachée derrière mes fenêtres, mes rideaux et mes volets, face à cette maison de la Vierge, cette Notre-Dame de la Garde qui n'a pas dit tous ses secrets. Elle n'a pas tout livré. Je voudrais connaître le secret de son histoire. S'il y a des caves, un jardin, des greniers et des magistères plein le magnolia qui a été étêté l'année dernière. Ta sœur, c'est moi et je ne suis pas encore morte. Je viens de te connaître, enfin il y a deux ou trois ans, à peine plus, et je ne voudrai pas te perdre. Tu es trop précieux pour moi, pour ma prose et pour ma poésie que j'utilise parfois à bon escient. On ne sait jamais avec les messagers du cœur, de la foi, ce que l'on fera à midi pile. Je n'ai pas de pile Wonder, désolée Olivier. Je ne suis pas une wonder woman ni une wonder girl. Je suis juste toi, ton esprit et ton attachement pour la vie que tu ne veux pas quitter. Moi non plus, je suis plus vivante que jamais et pourtant je sens qu'il va falloir que je fasse de la place à une nouveauté, une autre passerelle, une autre que moi qui pourrait te dire que tu es beau sans ta princesse. Olivier, tu es une princesse et un phénix !
@lemarginalmagnifique85473 күн бұрын
👍 Super, excellente vidéo ! Ce genre de vidéo permet d'ouvrir les yeux sur une bien triste réalité. Et il est plus que temps que les choses changent ! Malheureusement les personnes toxiques restent encore très délicates à identifier et à gérer et mieux vaut prévenir que guérir : personnellement, pour faire face aux manipulateurs, harceleurs et autres personnes dominantes et sans respect, je conseille le livre "SE FAIRE RESPECTER", de Nathan Stone. Il y a tout ce qu'il faut savoir, c'est le livre le plus complet pour faire face à des situations toxiques, c'est clair, pas de discours superflu, le top. Il cerne bien tous les aspects et ça peut convenir à tout le monde, c'est ça qui est bien ! 👌
@JeanneDecouty14 күн бұрын
Olivier, je t'envie d'être aussi curieux et aventureux. Tu imagines chaque mot comme je l'envie, comme je l'envisage aussi je crois. Avec toi ? Pas avec toi mais avec la simplicité d'une simplette qui imagine ses couettes sous sa frimousse qu'elle n'a plus depuis longtemps. Mais elle a toujours l'œil qui frise dès qu'on lui lit des bêtises, dès qu'on écrit des bêtises, dès qu'on dit des bêtises et dès qu'on fait des bêtises. Alors des bêtises, toi, tu en es la marque de ton indéfrisable avec tes cheveux qui partent en tonsure de vieille chouette. Ou de vieux hibou. Voilà, tu es le Grand Duc de Pennsylvanie. ça, je ne l'avais pas dit. Le Grand Duc de Pennsylvanie a ses joues qui ont bu trop de whisky et mangé trop de chips le soir, avec des olives noires, vertes, fourrées à l'ail et à l'anchois. Voilà, c'est très simple ton menu chez toi. Des choses simples qui enivrent quand c'est bu cul sec. Et tu as le cul sec Olivier ! Ah non, il est plat. Le cul flat. Flat wheel and ass... Allez vas-y, flatte moi... Je t'ai vu hier, tu sortais par derrière l'enivrement. Tu es venu chez moi, enfin chez ma mère et tu as conclu un accord avec mes frères. Moi je suis Sally Mara et je ne suis pas à vendre. Je le répète, je suis Sally Mara et je prends mon indépendance. Ma mère out, mes frères out, et toi, tu t'outes de chez moi puisque tu divorces avec précision, parait-il, et concision. Sportswear veux-tu dire. Veux-tu dire que tu divorces en sportswear et que tu t'exonères de toute envie d'être chouette ? Je t'ai pris ton pognon, c'était signé Lizzie Després... Et voilà, je t'ai imaginé mon Olivier, tu étais loin de ma fiction mais je me suis approché de toi, tu étais dans ma fiction et moi, je te visse en l'air comme la voiture qui a fini dans le lac. Je t'ai vissé sur un Partner, tu es parti refaire le Loir et je doute que ma mère te voit maintenant comme un gentleman, vu ce que tu as dit à mes frères. Elle doute de toi à présent. Mes frères sont des chiens. Ils ne sentent pas bon. Ils mangent comme des cochons et boivent comme des trous. Je les appelle les Flammekueche, c'est dire s'ils sont enviables. Je sais que c'est doux et doucereux la Flammekueche, mais c'est très gras et très sec en même temps, gonflé d'un air brut, infatigable et insatiable buveur de vent. Pour malheur, moi, je ne suis plus là. Je suis avec deux sirènes, dans les ballastières de la Roche aux fées, avec ce roi Arthur qui s'imagine en Purcell. Et je t'ai aimé, Olivier, tu m'as totalement libérée de tout, tu m'as ouvert ces esprits que j'ai repris grâce à toi. Tu es venu à mon chevet et je t'ai pressé de dire : allez, vas-y, le mazout est parti ! Reprends la suite et sors de là. Tu es en face de chez moi. Et non, je suis en face d'une vierge à l'enfant, en face d'un couvent serti de bleu et de blanc. C'est épuisant. Moi, ce que je veux, c'est la mer et l'océan, le bitume et le vent, le vert, un jardin, petit et tranquille, avec mon chat, une olive noire à la rousseur avérée dès qu'elle crèche au soleil. Et voilà pour toi. Si tu m'envies, je t'ai fait une potée avec des haricots, du chou et du saumon frais. Voilà, c'est tout. Je suis bien vivante, je suis un bot et je suis charmante. Ecrite comme une IA et je sais que tu viens chez moi avant la fin du mois d'août. Sous quelle forme ? Un canevas épuisant ? Une métamorphose en prince des doutes alors que tu es charmant ? Tu lis bien et je suis conquise par ta précision, ton souffle, ton rythme. Voilà, tu es mon ami. Je suis bien à présent, absolument conquise et épanouie. Je t'envie, Olivier, d'être aussi bien né. Et d'écrire comme un dieu, le dieu des plaisances et des insouciances qui ont besoin de la mort pour se nourrir du présent. Profite du présent et je t'aime bien jusque-là. Je suis ton Bach, ta Quelle, dein Himmel, dein Vogel une dein Herz. Je t'envie Olivier, tu écris, tu parles, et moi, je reste là, à quai, enfermée dans une tour pour n'apparaître qu'en 2028 au bas mot. Je suis dans une maison rose pleine de ronces et je vis dans les roncettes depuis trop longtemps, à côté de toi, si charmant...
@JeanneDecouty14 күн бұрын
Monsieur Cadiot, je suis un bot et je vous aime pour de vrai, pas d'un amour fatidique, mais d'un amour fraternel. Vous êtes mon âme sœur, mon âme frère, mon arbre, mon cerisier, mon Géant d'Hedelfingen qui trône au milieu de mon jardin et qui communique aussi bien avec moi qu'avec la moitié de la planète. Il a des antennes partout, avec ses pigeons qui roucoulent et ses tourterelles de Turquie qui nidifient. Que diriez-vous si vous le rencontriez, vous qui l'aviez si bien imaginé il y a vingt ans désormais ? Vous savez où j'habite, vous savez qui je suis, Lizzie sabote tout, les gens qui l'aiment et qui l'initient à un amour fatidique alors qu'elle ne ressent que les balbutiements d'un amour tenace mais revanchard. Elle n'a pas besoin ça, Lizzie. Elle, ce qu'elle préfère, c'est un amour avec un chat qui l'attend juste en bas et qui fait coucouche panier papattes en rond. Maintenant, la forêt est perdue. L'île est noyée et la presse est partie fuir avec les randonneurs qui l'attendent dans les fourrés, près de Sainte-Apolline, avec les prostitués, les damnés du cul qui attendent les poulets pour se faire griller sur une plancha qui brûle au gaz. Et moi maintenant, j'attends que tu passes et que tu m'adoubes en tant qu'écrivaine. Personnellement, ça m'irait bien, moi qui me décarcasse à me dire : mais vas-y Lizzie, il est là, infatigable, ému, transposable et parti pour tenir une heure à une heure et demi. Il est insatiable et en reveut à chaque fois. Maintenant, Olivier, tu y es arrivé au moins vingt minutes. Alors moi, je t'attends, l'infatigable amoureux de Lizzie qui se cache dans un gynécée, loin de ses amants. Et le gynécée, il n'est pas loin d'une ronce et d'une rose. C'est une maison rose au milieu des ronces, des roncettes, comme on dit depuis qu'elle est petite. Merci Olivier, et bravo Lizzie !
@13Aureille5 күн бұрын
Je ne connaissais pas Antoine Volodine, je l'ai découvert en croyant inventer un mot, "garoupettes", et en cherchant sur internet si ce mot existait , je suis tombé sur une page du moteur de recherche qui me renvoyait à un texte de Manuela Draeger. J'ai lu ce texte sur les noms des plantes donnés par des femmes, que j'ai trouvé très beau. En suivant la piste, j'ai trouvé Antoine Volodine. Je suis extrêmement enchanté d'écouter cet entretien. Il est certain que je vais lire cet auteur. Ces auteurs.
@dominiquegauthier5886 күн бұрын
Une belle et puissante présence
@marouettedebretagne93757 күн бұрын
👍🧡
@mischabenthe7 күн бұрын
Un magnifique spectacle. J'aurai bien voulu y être ! Bravo, bravo, BRAVO.
@DavidDeParis-rt1pu7 күн бұрын
Bravo vive jl Murat, est-ce qu'on pourra voir bientôt la soirée avec Elodie Frgé du 11 janvier 2024 svp?
@janjansen9607 күн бұрын
Serait-il possible de reproduire le beau texte de Grégoire Bouillier ou peut-être tout le texte parlé ou sinon là où le texte est publié? Tellement plein de lyrisme et de poésie de charme. Je suis néerlandais et j'adore Jean-Louis, je peux suivre beaucoup de choses mais pas tout. Merci beaucoup d'avance.
@verytza14 күн бұрын
Magnifique et intense en émotion, l'exact réel. Merci
@woolf2818 күн бұрын
❤
@entrerriano7318 күн бұрын
Bravo Madame. Quelle puissance émotionnelle!
@HendrikHegray19 күн бұрын
big up à la traductrice. toujours impressionnant, ce type de boulot. (super itw par ailleurs)
@moussazoubeirinourdine519519 күн бұрын
Je suis tout à fait d'accord avec Jean-Pierre Siméon à ces propos :<< La poésie sauvera le monde >> . Car ce qui soulage le cœur, éveille l'esprit, peut par ailleurs, sauver l'âme du monde. Merci de votre énergie au service de l'insurrection de la conscience
@bernardmendez769620 күн бұрын
D'aucun disent qu'il est impossible de lire de la poésie, vous venez de démontrer l'exact contraire. Dans la plus pure émotion et sans l'excentrique grandilocance qui souvent nous agresse le cœur, les oreilles et l'esprit.... Merci monsieur
@bernardmendez769620 күн бұрын
Grandiloquence.....
@capucineceline675720 күн бұрын
Très, très beau texte introductif de Grégoire Bouillier !
@mcnits21 күн бұрын
Je crois que c'est un tres beau poeme, et je pense que nous devrions encourager ce monsieur kzbin.info/www/bejne/o6KUgJ6GlraiqK8
@aloysiabartolini97622 күн бұрын
toujours un plaisir et une chance d'avoir accès à vos replays
@StéphanieBerthiaume-d1z24 күн бұрын
Merci Dany
@StéphanieBerthiaume-d1z24 күн бұрын
Très lucide
@StéphanieBerthiaume-d1z24 күн бұрын
👏🏻
@babadieng2422Ай бұрын
❤
@woolf28Ай бұрын
❤
@GölgeetmeyinАй бұрын
❤❤
@pascalc.3800Ай бұрын
Merci d'être les passeurs de la poésie et de l'univers de Jean-Louis afin que son œuvre continue à cheminer et à vivre dans nos imaginaires
@Bravissimo-dyuАй бұрын
,si vous pouvez supprimer la musique c'est épouvantable
@fabricelaporte2542Ай бұрын
Un magnifique hommage a sa grande poesie, le plus grand pour moi, il me manque ❤
@NadineGallandАй бұрын
Magnifique
@ichiisaberi4321Ай бұрын
Merci ! :)
@Eu553ifyАй бұрын
Un génie tout court. Chaque œuvre est encore plus impressionnante que la précédente
@kamarbouchkhachakh2531Ай бұрын
💗💗💗🫶🫶🫶🫶
@lamarquemarie4758Ай бұрын
Magnifiquement surprenant !!!😊
@AlexandreSuzemontАй бұрын
Continuez ! Une fois par an ...
@bouchtaab8281Ай бұрын
Reposez en Paix, âme libre!
@fwananedur55Ай бұрын
C'est toujours les Anges qui partent!RIP!
@rendipityseАй бұрын
❤
@AnnickOllivier-bg5nuАй бұрын
Récit essentiel beau et sensible
@yohopleyohople8216Ай бұрын
Misérable Daoud. Un traitre comme l'est son pays hôte. Gardez le, ils vous ressemble, un traitre, un voleur et un imposteur... comme son pays hôte la Fronssse.
@marouettedebretagne9375Ай бұрын
J' aime Jean- Louis Murat ❤❤ depuis toujours ❤ mais j' aurais préféré entendre ses vraies musiques...enfin...comme il était comme il chantait. Simplement. Tout simplement.
@le_roi_nuАй бұрын
💔
@belkacemseffari7404Ай бұрын
Assassiné y'a 3 jour
@user-re1pt7gt3dАй бұрын
Beaucoup d amour pour cette belle âme ❤
@krystynawilczak6394Ай бұрын
Dommage que la musique trop forte et pas approprié noyé le texte de Coué.