🎉🎉🎉 ❤❤ ❤

Grand Militant combattant international du système capitalisme....le monstre...!!! Monstre tentaculaire...!!! Des guerres...massacres.... Vampire...et des libertés...et de la vie🎉🎉🎉🎉 ❤❤❤ ❤❤ ❤ Merci BenjwaaganFay/ Afrique/ Sénégal

Un tres grand Merci...!!! 🎉🎉🎉🎉 Une très belle émission...!!!🎉🎉🎉 Magie de l'art...!!! Grand Genie...!!! Grand merci et du très Grand...!!! PABLO PICASSO...!!! ❤❤❤❤❤ ❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤ ❤❤❤❤ ❤❤❤ ❤❤ ❤ BenjwaaganFay/ Sénégal/Afrique

Magnifique

merci pour votre passage sur cette planète Monsieur

On ne peut pas présenter Debord avec de la musique pareille. On ne peut formuler des pensées quand leur prologue préfigure leur décharnement spectaculaire.

André Maurois compte parmi les plus brillants biographes de la première moitié de 20 siècle des hommes de lettres et des personnalité du monde politique .Balzac ,Hugo , Yeats ,disraeli, Lyautey ...... Les grands hommes vus par A.Maurois c'est toujours un plaisir .

Une chaine vers laquelle je reviendrai. 🙏

Intervenants très intéressants mais par contre les bruitages et musiques sont soit désagréables, soit mal placés...

En pleine lecture de Madame Bauvary, je voulais en savoir plus sur l'auteur . Merci pour ce podcast!

Je ne comprends pas ce parti pris de nous mettre 90 % de musiques douteuses voire de mauvais goût. Le silence au moins ne dérange pas.

C’est plus fort que moi, cela me dépasse mais je ne peux pas prendre véritablement au sérieux un auteur antisemite. Il est dénué de tout charisme, de tout charme et de toute légitimité !

Il faut relire et relire Focuault ... 19/11/2024

14:10

C'est quoi l'absurde ?

Excellent

Décidemment il ne peut y avoir une émission intéressante sur France Culture sans ces musiques qui miaulent, discordantes et infâmes. Quand je pense que mes impôts servent à payer ces soit-disant musiciens, mon sang auvergnat ne fait qu'un tour ; mais quand mettrons-nous ces cochons à la porte ? Pauvre Saint Augustin !

Ils ne parlent pas énormément du livre…

❤

21:00: ...la raison limitant son "pouvoir" à une épistémologie (théorie de la connaissance), conférant dès lors le monopole de l'objectivité à une science qualifiée de "réifiante" (en fait, les données empiriques soumises à la lecture de la raison dans le cadre des " formes a priori de la connaissance", en étant ainsi limitées, n'excluent pas le moins du monde, me semble-t-il, une dimension autre, celle notamment de ce que Kant appelle l'"Absolu", et qui comprend notamment la nature de l'esprit au sens de conscience, la question du "Moi" en tant qu'assimilable à celle de l'identité personnelle (mise en doute par Hume avant Kant, mais aussi par les empiriocriticistes après lui, et de nos jours par les réflexions profondes de penseurs comme Derek Parfit entre autres), la question de Dieu, de "l'âme", celle de la liberté (face au déterminisme), etc... Seulement ces questionnements-là, tout en restant légitimes et même inévitables pour un être humain, ne peuvent plus prétendre à la possibilité d'un accès à des réponses certaines, mais seulement spéculatives; la rationalité pure ne peut plus les "traiter": non seulement à cause des limites cognitives de la raison qu'a discerné Kant, mais parce qu'elles ne peuvent pas être dissociées de l'expérience subjective, par opposition à la connaissance objective, laquelle consiste à considérer le "réel" de l'extérieur. Ce qui est une démarche propre à la science moderne, mais moins en tant que "mutilation", en tant qu'élimination de la spiritualité, mais en tant que gage, condition sine qua non de son efficacité: en laissant l'absolu en dehors de son champ d'investigation, la démarche scientifique ne pose pas son élimination, son "meurtre", pour reprendre l'image de Heine, elle ne fait que reconnaître les limites de son champ de compétence, ce qui n'est je crois pas du tout la même chose. Et que la science ait débouché, en Occident surtout, ou plutôt en premier lieu, à des applications techniques de plus en plus desséchantes voire destructrices, c'est là une chose très certainement déplorable mais qui semble due plus aux penchants naturels prédominants des humains, qu'à l'acceptation des limites cognitives de la raison telles que Kant les a pointées. Cette tendance à orienter la science dans le sens d'une "domination" de la nature est du reste déjà quasiment explicitée chez Descartes, et avant lui, chez le philosophe anglais Francis Bacon. Peut-être pourrait-on aller jusqu'à dire ironiquement à ce propos que c'est la peur d'avoir vu dans la pensée de Kant une manière de guillotiner Dieu, et au-delà du Dieu des religions instituées, l'Absolu lui-même, en tant qu'irrationalité, qui a été une erreur semblable à l'effroi qu'inspire à un enfant le noir... ou les histoires de fantômes. De sorte que la trahison de la pensée de Kant résiderait en tout premier lieu, d'un point de vue chronologique, dans ce qu'on appelle l'idéalisme allemand, tel que l'illustrent surtout, Fichte et sa notion d'un "moi" à pouvoir agissant... y compris dans le sens d'une connaissance de soi-même, non pas au sens empirique d'une introspection (par définition réduite à la psychologie), mais à celui de l'érection fantasmatique du Moi en tant que sujet pensant au rang d'absolu, Fichte, donc, et aussi Hegel, qui, si je l'ai un peu (sic!) compris malgré mon peu d'appétence pour ce genre de cathédrales abstraites dont les fondations mêmes sont questionnables, consacrera un travail d'élaboration conceptuelle sophistiquée tout au long de sa vie à affirmer comme "vrai", un "Esprit absolu" qui au terme d'un processus historique s'accomplirait en dévoilerait l'équivalence entre "le réel" et le "rationnel". Alors que Schopenhauer tout au contraire, qui pensera la fameuse "chose en soi" kantienne comme non connaissable certes, mais du moins comme identifiable par l'expérience du "corps propre", assimilera l'essence du monde à une "Volonté" à la fois impersonnelle et irrationnelle, dépourvue de "sens" et d'intention autre que celle de se manifester; au prix d'un cycle éternel de souffrances et de morts.

Saint homme

Bonjour et merci à vous

Très intéressant toutefois la certitude de la mort devrait nous libérer de l'angoisse.

37'19 l'interviewer coupe facheusement la parole à l'intervenante, laquelle était en plein élan pour deployer un deuxième argument. Faute professionnelle impardonnable. Jamais j'ai entendu pareille manque à l'étiquette chez les anciens professionnels de la radio. L'indelicatesse est le lot des jeunes journalistes...

?

Toutes ces spinozeries intellectuelles me semblent bien nian-nian et romantiques, mais peu ancrées dans les réalités Beaucoup de choses sont affirmées de façon péremptoire sans lien avec ce que les gens vivent et éprouvent 41:02 Et rien n’est plus dangereux à l’homme que l’homme 42:08 Oui mais si le deuxième voit que le premier possède quelque chose que qu’il n’a pas il voudra le détrousser, quitte à le tuer (c’est toute l’histoire de l’humanité et des conflits armés)

Ça c'est de la culture la vraie celle du vivre ensemble pas de droit sans devoir

"Nous sommes un fragment de puissance"."La philosophie est une religion supérieure".

الف الف شكر

Excellent

Mille mercis

Excellent

Merci

Orales cabrones, traduzcanlo en español

Admirable analyse presque parfaite.❤️Merci

Spinoza est une force dans le systeme dans lequel on vit

J'adore vôtre conversations ❤

J'ai du écouter toute série une dizaine de fois, largement

Magnifique !

Amis de Goethe et de son théâtre, une toute nouvelle traduction de CLAVIGO vient de paraître : c'est seulement la cinquième en 250 ans, et la seule disponible de nos jours, après 28 ans de néant, sur le marché francophone. Couverture blanche, titre rouge, un dessin discret de Clavigo et Beaumarchais ; et c'est une version bilingue, c'est à dire que l'on peut comparer directement le texte original à gauche et le texte français à droite. Bonne lecture !

❤❤❤

Opposer BHL à Derrida? Pourquoi pas BHL à Platon? 😂

Des milliards des humains, et moi, et moi et moi, comme dit la chanson😅😅😅😅

Magnifique

Îl est degutant! Offence totale! Un rate! Au moins îl a eu quoi ratter!

je met un unlike malgré la qualité du programme car il est insupportable de toujours tomber sur un/z abr ti/e qui trouve de bon ton de raconter la fin d'une œuvre qu'il s'agisse d'un film ou une nouvelle etc. j'ai lue rue Morgue... mais je pense à ceux dont l’intervenante aura gâché le plaisir en révélant la fin de l’ouvre.

Le mythe de Sysiphe.

Très intéressant ! Ouvert... ce qui est rare !

Intéressant, mais la lecture marxiste-léniniste de MMe Gourfinkel est vraiment à côté de la plaque.

Merci M.Bernard pautrat sur votre pertinence sur Spinoza.C'est magnifique votre exposé , quelle délectation pour entrer dans les pensées de ce formidable philosophe qu'est Spinoza !