Nos darons ont été traumatisés par les méthodes {neo}coloniales. Je suis née à Brazzaville et mon père a appris “la pudeur” au séminaire {études pour devenir curé} là où il a appris à renier ses Ancêtres... Je crois que dans notre ADN à la base il y a beaucoup d'amour 🖤 🪽 Et d'alternance entre les énergies sacrées

9:31 les démonstrations publiques d'affection sont pas forcément une preuve d'amour c'est parfois stratégique pour afficher son territoire et mettre la femme dans une certaine sécurité mentale

C'est Dieu Le Guide 🙏🏾

C'est une blague j'ai pas compté.

@@black_girlmagic1627 limite c'est pas une métaphore c'est une comparaison vous comparez le danger que représente un homme face à une femme contre celui d'un ours.

Votre commentaire soulève des points importants sur la distinction entre peurs légitimes et généralisations excessives, mais il manque peut-être une prise en compte suffisante du contexte sociétal et des dynamiques de pouvoir qui influencent ces perceptions. La peur des hommes, contrairement à celle d’un ours, n’est pas qu’une réaction émotionnelle irrationnelle. Elle s’ancre dans des réalités vécues : les statistiques montrent que la majorité des violences sexuelles, conjugales ou interpersonnelles sont commises par des hommes, principalement envers les femmes. Cette réalité dépasse le cadre de "quelques cas isolés". Même si une minorité d’hommes est effectivement responsable de ces actes, leur impact collectif sur la vie des femmes est considérable. Ce n’est pas une simple question de perception, mais une expérience partagée par beaucoup, qui influe sur leur façon de naviguer dans le monde, que ce soit dans une forêt ou une société. Dire que les violences masculines touchent davantage d’hommes que de femmes est factuellement vrai dans certains contextes (par exemple, les homicides), mais cela ne diminue en rien la peur spécifique des femmes, qui découle de risques bien réels. De plus, cette peur n’est pas seulement liée à l’agression physique : elle englobe un éventail de comportements oppressifs, comme les microagressions, l’intimidation ou le harcèlement, qui affectent profondément leur quotidien. Quant à la métaphore homme/ours, elle ne vise pas à établir une équivalence littérale. Elle illustre une réalité : certaines femmes, dans certains contextes, ressentent que leur sécurité est davantage menacée par la présence d’un homme inconnu que par celle d’un animal sauvage. Cela reflète non pas une irrationalité, mais une vigilance acquise face à des risques systémiques. Plutôt que de réduire cette peur à une simple "émotion", il serait plus constructif de réfléchir aux causes structurelles et culturelles qui la sous-tendent. Si l’objectif est d’avancer vers une compréhension mutuelle et une réduction de ces peurs, il faut reconnaître les expériences vécues des femmes et travailler à transformer les dynamiques sociales qui perpétuent ces insécurités, au lieu de les balayer comme des exagérations.

@@black_girlmagic1627 les choix, les choix,c est comme les femmes qui portent plainte contre moha la squale. C est comme si je sors avec une fille qui s appel Peggy la cochone et ensuite je me plains de ses tromperies.

Un ours c est une image elles veulent dire qu elle préfèrent sortir avec un homme ours q un homme