Bravo Ralph

Pour le référencement

Ralph, où es-tu ? Je ne sais pas si tu es sur d’autres plateformes, peut être que tu te concentres sur ta newsletter, Podia ou insta… Mais pour ceux qui n’ont que KZbin, peux-tu nous dire où tu en es concernant tes projets pro et/ou une nouvelle réflexion sur un de ces sujets passionnants que toi seul sait traiter ? Si tu le souhaites bien entendu. J’imagine que tu es bien occupé. Bien à toi 😊

La priere, la gratitude, et on se rend vite compte qu'on est vraiment betes de se sentir de mauvaise humeur. Des videos sur le stoicisme aussi, ca aide a se recadrer. Il toujours interessant d'essayer de "tracker" les raisons de notre mauvaise humeur. Je ne crois pas que la mauvaise humeur soit une sorte d'etat / affect qui nous touche de maniere inexplicable. Souvent on se rend compte que c'est simplement qu'on a trop mange de sucre, ou dans mon cas en tant que femme, que je suis a quelques jours de la menstruation. Une routine matinale stricte, un lever en meme temps que le soleil, une douche tres froide, l'expoisition volontaire aux premiers rayons du soleil ainsi que le sport peuvent faire des merveilles sur la direction d'une journee.

J'ai toujours aimé la musique et il n'y a pas un jour où je n'ai pas mis un CD (avant, c'était des K7 ou la radio) dans mon lecteur. Que ce soit pour une heure (ou plus) ou cinq minutes... Mais j'ai toujours veillé à ce que ça ne devienne pas juste un fond sonore pour meubler une journée. Il y a un temps pour tout... Dans ce cas, je préfère encore ouvrir mes fenêtres, admirer la vue que j'ai, et écouter les oiseaux chanter dans la douceur du jour finissant... Encore merci pour vos vidéos que je regarde quand j'ai le temps...

J'ai bel et bien fait l'expérience aTTTentionnelle de cette vidéo, avec les trois "T", comme de rigueur, et ma curiosité fut satisfaite, merci !

Le fait d’écouter de la musique pendant un trajet nuit aussi à l’écoute de la musique elle-même (pour autant que celle-ci mérite d’être écouter pour elle-même)… laissons-nous la possibilité et le plaisir de ne faire qu’une chose à la fois.

Très intéressant cette réflexion. Effectivement, en définitive c'est bien souvent la gratification immédiate qui est privilégiée par les humains malheureusement (car moins couteuse en énergie j'imagine) Sinon j'aime beaucoup ton contenue en général, et je me demandais si il ne serait pas intéressant d'ouvrir un discord (ou autre forum de ce type) pour ta communauté afin qu'on puisse échanger, débattre et partager nos réflexions et idées ? Ce n'est qu'une proposition bien sur, mais je me dis que ça ne peut qu'être une bonne chose ! Merci encore pour ton travail, c'est vraiment top !

j aime etre "de mauvaise" ,j aime etre énervé ,j aime etre sous le coup de stress je suis plus concentré plus productif plus audacieux .sans doute car de nature je suis un fénéant hypocondriaque😅

Il a la chemise de l om fada 😂

C'est très déprimant comme façon de voir les choses. Il eût été préférable de définir ce qu'est l'"expérience esthétique" (autant rendre le titre du bouquin clair avant de le vulgariser) ; j'en déduis que c'est le plaisir que l'on peut ressentir par la beauté. Tu essentialises donc ce plaisir à une droite à deux axes, la fluence et la curiosité. En d'autres mots, une sensation de confort et un désir de savoir. Qu'y a-t-il d'esthétique dans ces deux pôles ? Les œuvres de Proust et de Rousseau ne proposent-elles vraiment rien de plus que du savoir, et sont donc réductibles à des témoignages historiques ou à des traités philosophiques ? Je ne pense pas que cela soit ton avis ; si ça l'est, j'aimerais le comprendre. L'exemple de Proust me paraît d'ailleurs très mal choisi. Il y a ce mythe d'un Proust inaccessible, au style alambiqué et aux sujets bien trop subtils. La fluence telle que tu la décris est très présente dans son œuvre : il décrit principalement des expériences mondaines, communes. On s'acclimate vite aux phrases longues, qui ne font souvent qu'épuiser un sentiment banal, donc facilement appréhendable. Balzac ou Flaubert ont tous deux un style bien plus difficile pour le lecteur contemporain. C'est un mythe qu'il ne faut plus entretenir, heuresement l'université et le journalisme s'en défont progressivement. Lisez Proust, globalement.

Je vais arrêter la musique dans les transports en commun ces prochains jours pour voir si "L'homme et son devevenir..." de R.Guenon va finir par s'articuler dans ma tête de piaf...

Oui tu peux être fier de toi 👏👏👏

Ducoup Ralph Müller tu te sers de tes écouteurs quand tu sors de chez toi ? Ca fait bientôt 2 mois que j'ai découper mes écouteurs filaires et que j'écoute de la musique uniquement quand je suis chez moi, mais desfois je me dis que j'aimerai sortir en écoutant d'la musique avec des écouteurs, je suis partagé...

Des fois la technologie n'apporte pas que du bon... Un autre exemple, quand on abuse du GPS pour se déplacer, on finit par perdre complétement le sens de l'orientation et on se perd facilement dans 4 rues. Allez jusqu'à dire que la technologie nous enchaine, perso je fais ce pas.

Salut Ralph. Merci c'est intéressant. Je pense qu'on peut faire un parallèle entre la tension fluence-curiosité et la ZPD de Vygotsky, pour autant qu'il s'agisse d'un rapport dialectique. Car tu sembles dire qu'il s'agit d'un processus purement dynamique (qui pose et repose des finalités?) et qui réussit "parfaitement" dans un juste milieu (qui reste à définir en dehors de dispositions et de préférences personnelles). Je pense qu'il s'agit en partie d'un rapport dynamique, et en partie d'un rapport dialectique. Dans ce second rapport, le sujet serait affecté et devrait développer une sorte d'éducation esthétique. Je ne comprends pas si ton pont de vue pessimiste en faveur de la fluence est fondé sur la nature humaine, des facultés d'attention moyennes, ou encore sur la disposition des individus d'une certaine société (fatigués après le travail et vivant des expériences sensibles et sociales d'un certain genre). Enfin je n'ai pas compris si tu critiquais Netflix -qui opérerait par un captage et une "séduction" de l'attention? Est-ce que ces séries jouent sur le minimum de curiosité, et donc d'effort d'attention à fournir pour capter notre attention en continu ? Et que dire de la publicité, qui semble aussi s'inscrire dans cette logique de l'attention? DSL pour le pavé haha

On parle tout le temps de l'innovation. Dans mon emtreprise on nous met même des critères d'innovation. Je fais un lien entre ce que tu dis et ce problème d'innovation. On a tout le temps l'esprit occupé. Musique télé boulot activités... Et on n'a plus le temps de l'ennuie... Et plus le temps d'innover. Tu penses à de nouvelles vidéos quand tu t'ennuie. Peux être une idée de vidéo ? ;)

C’est d’une réalité implacable.

Tu m'aides vraiment à développer l'analyse de mes propres opinions et en l'occurence, à mettre des mots claires sur ce sentiment que j'avais lorsque j'entrais dans la salle de cours et que je me faisais violence en m'extirpant de ces univers fictifs au possible. C'est un sentiment que j'avais l'impression d'être le seul à subir, surtout dans l'entourage éphémère que peut être celui dans lequel tu baignes à l'école, d'autant plus que j'étais moi-même cet élève qui arrivait en cours sans avoir lu le livre que j'étais sensé avoir lu. J'ai toujours su que ce sentiment que j'essayais de comprendre étant plus jeune était plus que palpable mais je n’arrivais jamais à me l'expliquer et encore moins à le développer. En ce sens, je suis convaincu que la musique est effectivement un vrai problème. Aujourd'hui, à 31 ans, je suis capable de contempler et de m'expliquer ce genre sentiment sans trop de difficulté, mais bon sang que ça fait du bien d'entendre quelqu'un au phrasé et à l'analyse approfondie qu'est la tienne pour t'aider à confirmer mais surtout mieux comprendre la réalité de ces états d'âme. Merci.

Étant bipolaire je connais la prévalance de l'humeur et sa capacité à générer des pensées affectives. (Qui nous déprime ou nous anime) Après moult recherche et essais pratiques, je suis arrivée à la conclusion suivante : Une fois dans l'humeur il n'y a rien à faire sinon l'accepter comme tu dis. En revanche, il est possible d'atténuer ses variations d'humeur en gérant les trois pôle qui font la bonne santé. Sommeil, alimentation, exercice. 9/10 quand je suis de mauvaise humeur et que je regarde les jours d'avant, j'ai manqué à un de ces devoirs d'écologie du corps, de sa nature. De manière générale également, un certain niveau d'ascèse est nécessaire au maintient d'une bonne humeur. La quantité de dopamine dans le cerveau étant inversement proportionnelle à la quantité de sérotonine, limiter son plaisir, c'est limiter son agitation mentale, et donc économiser de l'énergie pour dépasser les obstacles affectifs à venir. Merci pour ta vidéo et bonne journée !

J'avais jamais remarqué que tu était blanc.

Ta verve est toujours appréciée. Merci pour ce sujet, je pensais justement à ça ce matin. Je suis au chômage et je passe beaucoup de temps à l’intérieur mais quand je sors pour aller en ville ou pour me balader je constate que les gens ont (moi y compris) développé une relation symbiotique avec leur téléphone-écouteurs. J’ai un lycée à côté de la maison et quand je croise des garçons ils sont souvent tête baissée sur leur téléphone écouteurs vissés dans les oreilles au point qu’ils ne voient pas l’environnement autour. Une autre drogue malheureusement

Je viens de découvrir ta chaîne et je valide fortement ! Content de voir que je suis pas seul à m’être fait la réflexion, je trouve même que cet « enfermement » dans la musique rend les trajets à pieds dans la rue très silencieux là où je vis

Je n'ecoute jamais de musqiue avec un casque ou des oreillettes. J'aime bien savoir ce qui se passe autour de moi, ca permet d'apprendre des choses et en plus d'anticiper une situation qui peut être délicate.

Je t’invite à ajouter une partie proposant des solutions ou au moins des pistes de réflexion au problème. C’est-à-dire dans ce cas comment consommer la musique de la bonne manière ? Notre époque à tendance à savoir pointer les problèmes mais ne pas en donner les les solutions

Parfaitement d'accord. D ailleurs on peut rajouter qu'il faut arrêter de se branler (notamment dans les transports en commun).

Pa sûr que les séries maintiennent la curiosité. Perso, je finis immanquablement par m’ennuyer de ce qui dure dans ce domaine. Après deux ou trois saisons, j’ai l’impression qu’on tire sur un fil pour rien, qu’on tourne en rond et le désir s’émousse, car il n’y a pas de surprise ou pire qu’on avance pas. La répétition d’un schéma narratif, de situations ou le fait qu’on n’avance pas me lassent. La seule exception étant Colombo..😉 je n’irai pas jusqu’à dire que la série était géniale mais sa capacité à se renouveler l’a sauvée. Chaque épisode est réalisé comme un film à part entière. Ça change tout, il y a une vraie faiblesse à faire durer sur plusieurs années sans direction pensée dès le départ un récit. En tout cas, j’évite aujourd’hui de me lancer dans le visionnage de séries que j’abandonnerai ensuite. J’ai commencé Invasion, on ne sait toujours pas à la saison deux le but des créatures, quelques longueurs déjà… s’il faut cinq ou huit ans pour arriver au bout. Il y a un problème esthétique au départ ou c’est moi ?

Excellent.

je trouve que le terme "facile" conviendrait mieux au titre de la vidéo. La simplicité est difficile à poursuivre.

vidéo très fluente merci

Trop lu, on dirait mes colles de français...

Salut! Super vidéo, introspection très intéressante. Format que j’aimerai voir plus sur cette chaîne ! Par ailleurs (aucun rapport), j’aimerai savoir si tu as une mâchoire aussi carré génétiquement ou si tu as fait des exercices pour la developer. Bien à toi

"Consommer ses émotions peut aussi être les consumer". La phrase la plus importante et la plus profonde de la vidéo. Réflexion des plus intéressantes, je lâche un like 👍

Pas tout à fait en phase avec le prédicat de base. Personnellement, oui, la Recherche du Temps Perdu me tombe des mains, et j'assume de penser qu'il ne s'agit pas d'un chef d'oeuvre (Proust dilue par exemple l'expression de la jalousie de Schwann sur 80 pages, faisant tourner sa plume à vide. Or le style devient une forme de virtuosité stérile s'il ne sert pas un propos. A part Claude SImon, je ne crois pas avoir jamais lu d'auteur "qualitatif" plus ennuyeux que Proust). Il y a par ailleurs des lectures exigeantes qui sont en même temps gratifiantes (je pense, dans le roman, au Rivage des Syrtes de Julien Gracq, où la forme sert continuellement le fond. Ou bien aux Vies Minuscules de Pierre Michon, avant que ce dernier ne finisse hélas par s'autoplagier, vidant au fil du temps son style de sa substance). Le problème est pour partie une balance effort-rétribution. Oui, on se laisse parfois aller à du binge-watching ou au gaming, préférant le combo "zéro effort - plaisir mollasson" au combo "effort important - haut plaisir intellectuel". Le premier combo donne de manière certaine un peu de dopamine. Le second, beaucoup, mais de manière très incertaine. Mais ce qui pousse vers le second est finalement moins un calcul qu'une image de soi. Quand je n'ai pas écrit ou étudié dans une journée, je me sens sali par ma propre inertie (jusqu'à même manquer d'appétit). Les stimuli modernes sont à l'intellect ce que le gavage d'oies est à la nutrition...

Hormis le problème de se couper du monde et de rester dans sa bulle en écoutant de la musique vous oubliez de soulever un autre problème. Celui de la santé. Ceux qui écoutent avec des oreillettes de la musique en permanence s'exposent à long terme à de graves problèmes de surdité et d'acouphènes. Il vaut mieux écouter la musique sortant d'une enceinte par exemple. Claude

Il n'y a pas que la musique. beaucoup négligent de lire dans le métro.

(hors-sujet) comment tu fais pour avoir la mâchoire carré ?

j'aime aussi les choses compliquées, parfois il m'arrive d'écouter des cours de physiques quantiques sur YT alors que je ne comprends absolument rien à ce qu'ils disent, mais ça donne l'impression de faire partie d'une "élite intellectuelle" et c'est plutôt grisant. Les gens les plus intelligents et les plus passionnés sont les plus passionnants, c'est l'émotion, la beauté de l'intelligence, de l'éloquence, du discours, etc. qui me touche

Salut Ralph, je découvre ta chaîne avec cette vidéo et j’apprécie beaucoup ta manière d’aborder le sujet ! Je suis assez d’accord sur le fait que la musique peut être un moyen de fuite (mais tout comme les séries ou les réels Instagram le sont - davantage pour moi). Personnellement, j’aime que « écouter de la musique » soit une activité à part entière et effectivement, l’écouter dans les transports, en voiture, en travaillant, me détourne de mon activité de base. Par contre, ça n’est pas forcément une fuite pour moi, c’est plutôt qu’en écoutant de la musique, je me connecte à mes émotions et je ressens des choses fortes et ça me plaît. Ça a malgré tout cet effet de détournement. Je n’arrive pas à travailler efficacement en écoutant de la musique, je sais que je suis moins attentive sur la route quand je conduis en musique. L’endroit où je suis en accord avec mes émotions et mes actions, je pense que c’est en dansant (bar, boîte, soirée). Je viens exprès pour écouter la musique et faire parler mon corps en fonction de celle-ci. Sur un trajet, c’est plutôt pour rentabiliser le temps « perdu » à rouler ou se déplacer. Et la musique est la première solution alors qu’il y a aussi des livres (dans le cas du métro), podcast, etc. Je me suis surprise au bureau, à avoir mon casque sur les oreilles sans rien écouter parce que je travaillais sur un montage vidéo que j’avais laissé pour faire autre chose. Et j’ai vraiment aimé ce moment de silence, de pouvoir m’écouter a l’intérieur finalement. Merci beaucoup pour cette vidéo, j’aime beaucoup ton élocution et tes réflexions ! 😄

J'aime fuir dans ma musique pour éviter le rapport avec les autres humains. C'est effectivement un problème je le concède.

J'aime fuir dans ma musique pour éviter le rapport avec les autres humains. C'est effectivement un problème je le concède.

Spontanément, j'ai envie de dire : Pourquoi "simple" serait-il synonyme de "médiocre" ? Personnellement, j'aime les œuvres simples au sens non complexes, mais pas au sens dénuées d'intérêt, ou encore pauvres. Au contraire. Une œuvre simple permet d'y pénétrer, se l'approprier en soi et construire avec elle. Et en cela, l'expérience d'un objet artistique "simple" n'amène pas (du tout) forcément à du plaisir, ou du confort. Là, comme ça, très vite, je pourrais citer "American recording" de Johnny CASH, "Blue Monochrome", Yves KLEIN, "Les 400 coups" de François TRUFFAUT, Paroles" de Jaques PRÉVERT... Et bien sûr, la forme simple ne s'oppose en rien à une démarche artistique complexe, dont un des objectifs peut être justement d'arriver à une forme simple. OK, j'enfonce des portes ouvertes, je sais, mais je voulais réagir quand-même. Et merci beaucoup pour ce que vous proposez dans cette vidéo et sur YT, c'est vraiment bien..

Super intéressant Ralph

Bonjour, je pense qu'il faut aussi contextualiser dans l'époque. Nous subissons un quotidien de plus en plus complexe (process, mots de passe, imbrication des choses,....). Chaque individu qui veut prétendre à la norme sociale gère aujourd'hui plus d'engagements administratifs, financiers, comptables, etc. qu'une petite PME d'il y a demi siècle.... et le téléphone portable a multiplié ses engagements tout est en les rendant permanents. En conséquence, nos périodes de repos sont uniquement consacrés à chercher la meilleure façon d'éteindre un cerveau sur-sollicité....

Quid de ceux qui justement éprouvent du plaisir qu'en présente de complexité esthétique ? Car ce que tu nous explique part du postulat que tout le monde prend du plaisir de la même façon ?

Elon Musk (on pense ce qu'on veut du personnage) avait répondu à un tweet lui demandant quelle activité était la plus inspirante dans son quotidien par : "showering" En effet, 99% des gens (pour ne pas dire 100) ont déjà expérimenté ce phénomène où, sous la douche, enfermé avec soi même et privé d'écran, on pensait les choses, profondément. Perso, dans ma journée, j'alterne naturellement ce que je vais appeler "consommation" et "réflexion". Je lis/écoute de la musique/regarde une vidéo/joue à un jeu vidéo, jusqu'à saturer, et aller dans mon lit, m'évader dans des méditations aléatoires, et c'est souvent lors de moments comme ceux là, que j'apprends à partir de "rien". J'ai commencé à faire ça quand j'ai arrêté de boire, et bordel, en 4 ans j'en ai pris 20 d'âge mental.

X. Faut pas trop en écouter d'emblée car ça brûle la dopamine. Y. Normal de vouloir fuir la "réalité" qui est une simulation.

Merci d'être simple sans être simpliste !