Michael Cronin-2
12 жыл бұрын
Michael Cronin-1
12 жыл бұрын
André Markowicz
12 жыл бұрын
Présentation du département
12 жыл бұрын
Пікірлер
@thibaultdemontfort331
@thibaultdemontfort331 2 жыл бұрын
Pfff je parle et lis parfaitement le russe et ke peux vous dire que ce Monsieur Marcovitz presenté comme quasi le grand traducteur de la langue russe en francais est un escroc! Il n'a pas l'accent russe et fait de grossières erreurs aussi bien à l'oral qu'à l'écrit ! Ce bouffon a aussi traduit toutes les oeuvres de Schakespeare: haha Comme si de nombreux génies avant lui ne l'avait pas fait et de facon beaucoup plus précises. Un escroc comme ce Monsieur ne peut pas traduire une grande oeuvre
@louismelennec7958
@louismelennec7958 2 жыл бұрын
TROUBLES PSYCHIQUES PROVOQUES PAR LA PRIVATION DE SA LANGUE. Pierre Boquel Sur le bout des langues Les ravages méconnus de la langue unique On le sait peu, mais imposer à un individu un changement de langue - ou d'accent - peut provoquer de graves traumatismes psychiques. Quel désastre pour Françoise !!!! Des années de sottises.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 2 жыл бұрын
1940. ROPARZ HEMON, réformateur de la langue bretonne. @@@@@@@@@@@@@@@@@@ La réforme de 1908, qui unifie en partie la langue bretonne, sous le nom de KLT, en synthétisant les trois dialectes les plus proches de la Bretagne bretonnante (La Cornouaille, le Léon, le Trégor) va marquer les esprits. Elle est le fait de linguistes bretons. Le principal acteur des étapes suivantes, encore très jeune, est le savant Roparz Hémon (1900-1978), agrégé d’anglais, écrivain, grammairien, poète, linguiste, romancier. Il fait partie, à une époque où presque tous plient l’échine par soumission, par peur ou par sottise, sous le discours de propagande inventé en 1789 par la France, dispensé dans les écoles, et de dénigrement de la culture bretonne, sur fond prétendu de droits de l’homme, de ceux qui savent, parce qu'ils ont lu l'histoire de leur pays. Ils savent que la bonne république n’est pas née d’actes glorieux, mais de crimes contre l’humanité. La doxa française n’est qu’un discours mensonger, une manipulation mentale, destinée à asservir les consciences, opération délétère qui a produit des effets désastreux depuis plus d’un siècle. J’ai été victime, pendant trente ans, de ces sottises, avant de pouvoir en débarrasser mes méninges. D’aucuns, qu’on appelle maintenant les néo-collabos, parce que des gens de la trempe de Roparz Hémon, ont eu le courage d’honorer et de défendre la culture et la langue de leurs ancêtres, auraient voulu qu’on le fusille lorsque les Anglais et les Américains ont débarqué sur les plages de Normandie, en juin 1944. Maintenant que notre histoire est connue dans tous ses détails, il a rejoint le panthéon des héros. Un esclave conscient de sa servitude, ne peut aimer ses persécuteurs. Il n’aime donc pas la France, même s'il ne cultive pas de sentiments négatifs contre le peuple français, victime des mêmes incompétents que les Bretons, ceux qui siègent à Paris, et qui se partagent les fromages de l’État.. Il se sert des Allemands, qui ne sont pour lui que le deuxième occupant, qu’il faut utiliser, puisque le premier est responsable de l’asservissement de la Bretagne depuis cinq siècles. Il n’a qu’une religion : l’amour de son pays, et le respect absolu de ses habitants, déchus par l’occupant au rang d’animaux. C’est ‘époque où un journaleux français écrit : « Les Bretons sont les nègres de la France ». Un peu plus tard, Herbert Pagani : « Les Bretons sont les Juifs de la France ». Et en 2007, Jean-Luc Mélenchon : « Les écoles Diwan sont des sectes ». Même le journal le Monde, sous la plume de Arnaud Leparmentier ose proclamer : "Le temps n'est plus ou l'on pouvait franciser la Bretagne avec son armée et ses instituteurs" , et où Michel Rocard avoue à l'ambassadeur des Etats-Unis : "La France est une création militaire, faite de nations non homogènes". (A suivre : Hémon, version vraie de sa vraie vie). LOUIS MELENNEC Dédié à Jean-Luc, grand ami de la Bretagne (et du Tibet), avec la lettre suivante : « Non, Jean-Luc, ce ne sont pas les Allemands qui ont unifié la langue bretonne. Elle était parlée déjà avant le Christ. Sa normalisation commence au 17ème siècle, sous le père Maunoir. Et la langue de la collaboration a été le français ; exclusivement. La normalisation de notre langue, en 1941, est une oeuvre exclusivement bretonne, en germe depuis plusieurs générations, opération interdite par la France des doigts de l'homme : il a donc fallu aller voir un peu plus loin. Votre rééducation progresse : continuez ! Et ne faites pas semblant de ne pas savoir ! Avant peu, je pourrai vous conférer le titre d’Agrégé en Hystoyre bretonne ". Nous n'avons plus guère de bons historiens en Bretagne depuis la mort de la BORDERIE. Mais quels copistes !!!! Tous copient MELENNEC .... sans jamais citer son nom ! Quelle honnêteté !!! On en suffoque de fierté !
@louismelennec7958
@louismelennec7958 2 жыл бұрын
COMMENT LES BRETONS SONT DEVENUS FRANCAIS : PIRE QUE DAESH : massacres, noyades, décapitations, viols, écrasements sous des pressoirs, tueries d’enfants devant leurs mères, êtres vivants jetés dans des puits : une vraie joie pour le peuple breton . Publié le 25 mai 2015 par Louis MELENNEC Article numéro 1 COURAGE, TONTON ! En poussant un peu, ça va sortir ! Ah ces Bretons, quel courage ! @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ Entretiens sur les droits de l’homme, avec Louis Mélennec, docteur en droit et en médecine, diplômé d’études supérieures de droit public, de droit privé, de sciences criminelles, diplômé d’études approfondies de droit, ex- enseignant des facultés de droit et de médecine, historien de la Bretagne, ex-consultant près le Médiateur de la République française. Ces entretiens inaugurent une série d’articles qui sont destinés à être connus et diffusés dans la monde entier. Les « journalystes » français les ont reçus. Un jour, ils auront la main forcée : rien ne peut arrêter la vérité, lorsqu’elle atteint ce degré d’horreur. Nous connaissons par coeur le processus : il suffit d’attendre. Il est infantile de croire que leurs manigances vont arrêter quoique ce soit. EN 1789, 1793, 1794, LES ARMEES FRANCAISES DE LA LIBERTE ONT FAIT PIRE QUE DAESH, ET SUR UNE BIEN PLUS GRANDE ECHELLE : MASSACRES, PERSECUTIONS, DECAPITATIONS, PENDAISONS, VIOLS, NOYADES, DESTRUCTION DES CERVEAUX, HUMILIATIONS, ACCULTURATION, INSULTES IGNOBLES. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ D’emblée, prévenons nos lecteurs : toute l’histoire de la Bretagne, sur Wikimerdia, est étroitement contrôlée, maîtrisée, falsifiée. Cette entreprise de falsification est le fait de qui ? Devinez ? DE BRETONS ! BIEN SÛR ! Le martyre du peuple breton commence à peine à être connu. Par bonheur, des articles sont enfin parus en Russie, au Canada, en Suisse, en Allemagne, en Belgique, bientôt aux Etats Unis. La France, pays des non-droits de l’homme, a tout fait - comme la Turquie, et bien d’autres pays -, pour qu’on ignore l’ampleur des effroyables dégâts qu’elle y a commis, et pour que l’on croie à l’imposture absurde qu’elle a réussi à imposer aux Français et à de nombreux pays du monde : qu’elle a inventé les droits de l’homme , alors que ceux-ci sont une conquête de plusieurs millénaires de notre civilisation occidentale toute entière, à laquelle notre civilisation bretonne, par sa littérature des chevaliers de la table ronde, du roi Arthur et autres héros, de leur idéal élevé, a fortement contribué. La France a envahi la Bretagne à trois reprises à la fin du 15ème siècle. Les armées bretonnes ont été anéanties à Saint-Aubin-du-Cormier, en juillet 1488, par un envahisseur très supérieur en nombre, qui préparait cette invasion depuis des générations. Le pays a été annexé en 1532, par un acte camouflé en un faux traité. Une longue colonisation, a suivi, jusqu’en 1789, année durant laquelle s’est produite une « révolution », ridiculement dénommée par les Français jusqu’à ces dernières années comme la révolution des droits de l’homme. (Cf. L’article de Louis Mélennec sur la colonisation de la Bretagne, par Google). Le martyre du peuple breton commence précisément cette année là. La monarchie française, après l’annexion, n’avait pas osé abolir toutes les institutions bretonnes. Les Bretons avaient conservé une Assemblée nationale (dénommée « Etats de Bretagne »), et le droit de légiférer et de voter ses impôts. La « république » - ce que les Français désignent sous ce vocable - fait entrer les Bretons dans un long calvaire, qui n’est pas encore terminé. Les séquelles ne guériront jamais, pas davantage que celles des Juifs et des Arméniens. La langue bretonne, objet de persécutions incessantes à partir de 1790, conduites avec une grande cruauté, est en voie d’extinction programmée. L’interdiction d’enseigner l’histoire du peuple breton dans les écoles entretient une ignorance dramatique de la population, qui n’accède à la vérité que peu à peu, avec stupéfaction, et avec réticence, tant il est vrai que leur cerveau a été labouré par la France de 1789 à nos jours. LE BON DOCTEUR MELENNEC
@louismelennec7958
@louismelennec7958 2 жыл бұрын
La LANGUE ET LA CULTURE BRETONNES SONT L’OBJET D’UN ASSASSINAT ORGANISÉ : 1789 - 1960. Comment les Français ont massacré la langue bretonne. Au plan linguistique, le royaume de France est à l’image du reste : un grand désordre. Il existe une trentaine de langues locales, dont certaines sont nationales, élaborées et subtiles. La plus importante, de loin, est la langue occitane. Elle est certes divisée selon les régions de l’Occitanie, mais elle a produit une très belle littérature. Sous l’ancien régime, la langue littéraire et administrative, dénommée « langue française », n’est parlée que par quinze pour cent de la population. Les langues locales sont méprisées ouvertement par les révolutionnaire, sous des noms divers : jargons, patois, résidus de la féodalité, séquelles de la langue de Cro-Magnon, borborygmes animaux, etc. Une normalisation lente est en cours depuis la création de l’Académie française en 1635, par Richelieu. Il avait commencé un siècle plus tôt. A partir de 1789, le pays des doigts de l'homme procède à un assassinat de ces langues : un carnage. L’élaboration de la langue française n’est pas un phénomène spontané, mais une construction laborieuse et autoritaire, imposée par un pouvoir central punitif et répressif, au prix d’un authentique lavage des cerveaux, et d’une lutte effrénée contre les identités locales, et de la personnalité des régions multiples du royaume de France. François Mitterrand a fait panthéoniser l’abbé Grégoire, en 1989. Cet homme ayant été l’ authentique auteur de l’assassinat des langues du royaume, de jeunes Bretons veulent extraire son cadavre de ce lieu auguste, comme le fut celui de Marat. Ils le dénomment aujourd’hui l’assassin des langues. La langue bretonne, en voie de modernisation depuis le 18ème siècle - plusieurs linguistes élaborent des écrits théoriques, et composent des dictionnaires savants -, sachant que leur langue, qu’on affecte de mépriser, est beaucoup plus ancienne que le français. Notre langue bretonne était parlée dans l'antiquité - sous une forme évidemment très différente de celle d’aujourd’hui. A partir de 1650, et de l’abbé Maunoir, elle a, génération après génération, été épurée, enrichie, modernisée - comme bien d’autres langues, d’ailleurs, par l’utilisation des mêmes procédés que les linguistes des autres pays : élimination de mots étrangers, création de néologismes, introduction de mots empruntés aux langues sœurs (le cornouaillais, le gallois, pour les Bretons …), simplification et unification de l’orthographe, suppression des différences entre la langue parlée et la langue écrite, etc.. Le premier dictionnaire tri-lingue (breton, français, latin) a été imprimé non en France, mais en Bretagne, sous le nom de Catholicon, en 1499. Notre langue est est non seulement dévalorisée d’une manière outrancière, par les génies de la révolution (Barrère, Grégoire …), mais insultée. Ce n’est pas une langue : c’est un jargon, un idiome, un patois, un dialecte corrompu, un baragouin, un charabia, un instrument de dommage et d’erreur. Ceux qui l’utilisent ne parlent pas, ils « patoisent », ils « baragouinent », ils « déblatèrent », ils « parlent vicieusement ». Cet idiome est un reste des cavernes de Cro-magnon, une séquelle de la préhistoire, un « dernier reste de la féodalité », un langage de sorciers, une « relique barbare et arriérée d’un autre âge ». Il obscurcit et engourdit la pensée, prolonge l’enfance de la raison et la vieillesse des préjugés, empêche de raisonner, de comprendre, d’assimiler les idées nouvelles, en particulier les « idéaux » révolutionnaires, la démocratie, la République. C’est, dit Hugo, « une tombe pour la pensée ». Il est d’ailleurs, à l’oreille, hideux, inélégant, grossier, guttural, imprononçable, et ne peut l’ être qu’au prix de grimaces, et de contorsions du visage et du corps. Cette « grande vaincue de l’histoire » (sic), selon les « sçavants » français qui n’en comprennent pas le premier mot, décrète qu’elle n’a produit aucune poésie, aucune littérature, aucune œuvre littéraire de valeur. Il serait impossible que cela soit, puisqu’il n’y a pas de grammaire bretonne (!). Les prêtres, qui continuent à l’utiliser pour prêcher (c’est la seule langue parlée et comprise dans les diocèses de l’Ouest), sont particulièrement visés. Ils se servent de ce jargon infâme pour maintenir les Bretons dans leurs « superstitions religieuses », pour les asservir, pour faire entrer dans leurs pauvres cranes de demeurés des idées perverses, pour « les fanatiser », pour « chasser des têtes bretonnes les idées de liberté ». etc. Ils deviennent des « sorciers », des « ratichons », des « calotins bretons ensoutanés ». Ces insultes se prolongent jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 2 жыл бұрын
LA MISE A MORT DE LA LANGUE BRETONNE par le pays des doigts de l'homme. Ce texte a été publié dans plusieurs pays, notamment en Suisse et en Kabylie. Mais pas en Bretagne. Nos édiles ont en effet une formule qui leur sert de cri sauvage de ralliement : "A LA SOUPE, A LA SOUPE, A LA SOUPE" !!! @@@@@@@@@@@@ "Chaque année, je rendais visite à ma vieille mère, en pays Bigouden. Sa langue maternelle était le breton, qu’elle parlait avec jubilation, car c’était la langue de la joie et de l’humour. Tous les ans, j’entendais cette langue vénérable. Car les voisines de ma mère étaient bretonnes. Puis, elles sont mortes, les unes après les autres. Puis, une certaine année, rendu en vacances dans mon village natal, j’ai été saisi d’angoisse. Je me suis demandé pourquoi. J’ai bientôt compris la raison : la langue, assassinée par le pays colonial, n’était plus parlée par personne. Sous l’effet de la persécution mentale, ma mère m’avait élevé en français : on lui avait fait honte de sa langue, elle n’osait même plus la parler devant ses enfants! Mes grands parents étaient exclusivement bretonnants, je n’ai jamais pu communiquer avec eux. Savez vous ce qu’est un enfant qui ne peut parler ni à sa grand-mère, ni à son grand-père, ni aux plus anciens de sa famille ? C’est comme une tombe dans laquelle on l’enferme, à peine né. Ce fut un choc terrible : tout était changé; c’est comme si les oiseaux avaient disparu des arbres, et ne chantaient plus. Quoique l’on fasse, Ils ne chanteront plus ces mélodies si suaves, qui ont bercé et enchanté notre enfance, même si on ne les comprenait pas bien. On ne peut imaginer ce que fut cette prise de conscience pour moi. Tout un pan de notre civilisation était à jamais englouti dans les abysses. En écrivant cela, si les hommes étaient autorisés à pleurer, de grosses larmes, des vraies, couleraient sur mes joues. Honte au pays criminel ! Quel bilan pour le pays des Droits de l’homme !!! Je ne pardonnerai jamais ce crime à la France. Mais il y en eut bien d’autres. Je dis : LA FRANCE, pas les Français, car ils subissent, eux aussi, les mêmes débiles mentaux que nous : voyez ce qu’ils sont en train de faire à leur malheureux pays : une destruction systématique. " LE BON DOCTEUR MELENNEC
@louismelennec7958
@louismelennec7958 3 жыл бұрын
LA SHOAH BRETONNE (1793 - 1794) : COMMENT LES BRETONS SONT DEVENUS FRANCAIS : ce que les Bretons doivent aux armées françaises, en 1793 et en 1794. A PUBLIER PARTOUT. Parmi les centaines de témoignages qui ont été consignés par les acteurs et les témoins du temps, j’extrais celui-ci, à titre de piqûre de rappel. Savez-vous que chaque année, des Nantais organisent une cérémonie du souvenir sur les lieux où les crimes ont été commis ? Ils se réunissent sur les bords de la Loire, et jettent des fleurs dans la rivière. JAMAIS ON N’A VU LE MOINDRE DEPUTEU ni LE MOINDRE SENATEU DANS CES CEREMONIES. M.M. Ayrault, Le Drian et autres sont chaque année invités. Rassurez vous : je ne vous épargnerai pas les autres témoignages : le monde entier doit savoir cela, et l’indignité dont nous sommes frappés d’avoir des « élus » de cet acabit . Transmettez, je vous prie, aux héros de la municipalité : « Si toutes les femmes prises ne sont pas brûlées, elles trouvent, en tous cas, un emploi : les plus vulgaires appartiennent aux soldats, les plus belles aux officiers. Moins raffiné, le général Commaire marque une préférence pour les vivandières … Dans les métairies, les femmes sont prises devant leurs maris expirants … Une citoyenne est la conquête commune de l’état-major de l’armée; une autre appartient à trente soldats ….. Des malheureuses, qui espèrent par le déshonneur subi avoir évité la mort, sont fusillées nues … Des femmes sont souillées dans leurs cadavres… Le viol est la récompense du soldat » (Gabory, pages 350 et 351). « Le général Huché, monomane du crime, toujours à demi ivre, se repaît des spasmes d’agonie …Il se donne le passe temps » de voir rouler jusqu’au bas d’une côte escarpée des femmes fusillées sur la pente, pour rire des accidents de leur chute « . Ses soldats portent des enfants embrochés sur leurs baïonnettes; ils en brûlent d’autres dans leurs berceaux « (Gabory, pages 350 et 351). (A suivre). Pouvez vous me dire à quoi ressemblent les jérémiades de messieurs Molac et Lefur, sur la langue bretonne, lorsqu’on évoque ces horreurs ? J’adresse ceci aux intéressés, et demande à nos amis Suisses, Canadiens, Berbères, Catalans, Savoisiens ….. de publier ce bref article. Sans oublier nos médias bretons, héroïques, très au courant aujourd’hui, mais toujours aussi mutiques. Sans oublier M. Mélenchon, qui achève sa rééducation. Vive le pays des DOIGTS DE L’HOMME !!! Transmettez, surtout, à Johanna ROLLAND.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 3 жыл бұрын
LA BELLE FRANCOISE ! Mais non ! lorsqu'on vit avec une bretonne, on n'est jamais seul ! D'autant que les bretonne s portent la culotte ! Allons, vous le savez bien.
@TheChattounet
@TheChattounet 3 жыл бұрын
tg
@louismelennec7958
@louismelennec7958 3 жыл бұрын
Zone contenant les pièces jointes Prévisualiser la vidéo KZbin JEZUZ PEGEN BRAS VE ! (Cantique du Paradis, par louis MELENNEC de BEYRE)JEZUZ PEGEN BRAS VE ! (Cantique du Paradis, par louis MELENNEC de BEYRE)
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
CONFERENCE DE FRANCOIS ASSELINEAU SUR LES EUROS REGIONS ALLONS NOUS LAISSER DÉTRUIRE LES NATIONS EUROPÉENNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE CONSTITUÉ EN 2001 POUR DÉNONCER LA RÉHABILITATION DE MILITANTS BRETON AYANT COLLABORÉ AVEC L'ALLEMAGNE NAZIE ET DÉNONCER AUSSI LA MAINMISE DES NATIONALISTES SUR LA CULTURE EN BRETAGNE.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE,merveilleux témoignage sur l'influence du mouvement nationaliste independentiste breton sur la culture en Bretagne, expérience vécue d'une authentique bretonante au sein de cette mouvance .d'intérêts public profondément boycotté en Bretagne a diffuser au maximum.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 3 жыл бұрын
COMMENT LE PAYS DES DOIGTS DE L'HOMME A ASSASSINE LA LANGUE BRETONNE, ET A TRITURE LES CERVEAUX DES ENFANTS. CE QUE FRANCOISE VOUS A CACHE. La langue bretonne, infiniment subtile et beaucoup plus ancienne que le français, est non seulement dévalorisée d’une manière outrancière, mais insultée. Ce n’est pas une langue : c’est un jargon, un patois, un dialecte corrompu, un baragouin, un charabia, un instrument de dommage et d’erreur. Ceux qui l’utilisent ne parlent pas, ils « patoisent », ils « baragouinent », ils « déblatèrent », ils « parlent vicieusement ». Cet idiome est un reste des cavernes de Cro-magnon, une séquelle de la préhistoire, un « dernier reste de la féodalité », un langage de sorciers, une « relique barbare et arriérée d’un autre âge ». Il obscurcit et engourdit la pensée, prolonge l’enfance de la raison et la vieillesse des préjugés, empêche de raisonner, de comprendre, d’assimiler les idées nouvelles, en particulier les « idéaux » révolutionnaires, la démocratie, la République. C’est, dit Hugo, « une tombe pour la pensée ». Il est d’ailleurs, à l’oreille, hideux, inélégant, grossier, guttural, imprononçable, et ne peut l’ être qu’au prix de grimaces, et de contorsions du visage et du corps. Cette « grande vaincue de l’histoire » (sic), selon les « sçavants » français qui n’en comprennent pas le premier mot, décrète qu’elle n’a produit aucune poésie, aucune littérature, aucune œuvre littéraire de valeur. Il serait impossible que cela soit, puisqu’il n’y a pas de grammaire bretonne (!). (Ils ignorent qu’on en compte une bonne vingtaine, celles de Le Gonidec et ses élèves très perfectionnées!). Les prêtres, qui continuent à l’utiliser pour prêcher (c’est la seule langue parlée et comprise dans les diocèses de l’Ouest), sont particulièrement visés. Ils se servent de ce jargon infâme pour « maintenir les Bretons dans leurs superstitions religieuses », pour les asservir, pour faire entrer dans leurs pauvres cranes de demeurés des idées perverses, pour « les fanatiser », pour « chasser des têtes bretonnes les idées de liberté ». etc. Ils deviennent des « sorciers », des « ratichons », des « calotins bretons ensoutanés ». Ces insultes se prolongent jusqu’à la veille de la Seconde Guerre mondiale, et même n’ont pas disparu : voyez le grand linguiste Mélenchon et ses émules ! Dans l’administration, l’usage de la langue est formellement interdit. La France met en place un système médiéval de persécutions, digne de l’Inquisition, et de sanctions à l’encontre de tous ceux qui entendent perpétuer la culture qui, jusqu’alors, avait été, pour les lettrés, un sujet de fierté. Des escouades d’instituteurs français sont envoyés dans les écoles bretonnes, avec des directives précises réitérées par les préfets et les sous-préfets : « assassiner la langue bretonne » (dès 1831), « éradiquer totalement l’idiome local », (de nombreux textes et directives ministérielles accablants, ont été publiés, cette politique étant initiée, surveillée, amplifiée depuis Paris) ; « la corrompre, afin qu’on ne le comprenne plus » (sic !) interdire, manu militari au besoin, de parler breton (horreur ignoble : des gendarmes rendent visite aux parents dans les fermes, pour les intimider), infliger des punitions aussi vexantes que possibles aux enfants, aux parents, aux familles, qu’on culpabilise à outrance. Les prêtres, curés et religieux, qui prêchent dans la langue nationale, la seule qui soit comprise, sont privés de leur salaire (la séparation de l’église et de l’ Etat n’intervient qu’en 1905). Dans les écoles, les enfants sont terrorisés. On les montre du doigt, on rit d’eux lorsqu’ils confondent un terme français avec un terme breton ; on les entraine à se moquer des autres ; on les isole au piquet, on leur donne des coups de règle sur les doits, des gifles, voire coups de pied ; on les punit lorsqu’on les surprend à parler breton dans la cour ; on accroche à leur cou un objet infamant tel qu’un sabot, une corne de vache, ou tout autre objet ridicule. Dans certaines écoles, fait criminel pour ceux qui s’en sont rendus coupables, on accroche au cou de ces malheureux l’ardoise d’infamie : « Breton = cochon ». (Cette dernière pratique a marqué les esprits, d’une manière définitive, les Bretons ne l’oublieront pas, et ne la pardonneront jamais). Une autre ignominie est inventée : la culture de la délation ; l’enfant surpris à parler le breton, conserve le « symbole » infamant au cou, jusqu’au moment ou il aura réussi à dénoncer à l’instituteur un autre délinquant. Certains n’osent plus rentrer chez eux, attendent la nuit, et contournent le village. Les parents sont tellement conditionnés, qu’ils infligent de nouvelles punitions à l’enfant, après le coucher du soleil. Le ministère Combes invente le concept « d’usage abusif du breton », pour empêcher qu’il soit utilisé dans les églises. Le pire, sans doute, dans ce pays traditionnellement très religieux : priver les enfants de confirmation, et même de communion, s’ils ne connaissent pas suffisamment le Français. La langue du colonisateur, dénommée « langue nationale » dans un pays qui en en possède une, bien avant les français, autorise les plus zélés à traiter le breton de « langue étrangère » (!). Des journalistes, des hommes politiques connus, que l’on avait cru sains d’esprits, préconisent des mesures extrêmes : « Il faut frapper les curés » ; « tapons dessus, de toute la rigueur des lois, de tous les poings des gendarmes » (La Lanterne) ; « il faut prendre des mesures énergiques, sans hésiter » ; « il faut utiliser des commissaires de police courageux, des préfets, des magistrats, des fonctionnaires républicains pour entreprendre la colonisation de la Bretagne » (!!!); « il faut faire totalement disparaître la langue bretonne » (de Monzie, ministre, 1925) ; « la seule réponse, est d’emprisonner tous ceux qui formulent les revendications linguistiques bretonnes » (Albert Dalimier, ministre du travail, 1932). Détail horrible : la « Déclaration Universelle des droits de l’Homme », pendant qu’on procède à un véritable lavage des cerveaux, est enseignée dans les écoles. Les enfants bretons y croient. Ils sont tellement infériorisés, tellement convaincus d’appartenir à une race de sous-débiles, qu’ils regardent la lumière française comme étant leur seule planche de salut. Les résultats de cette politique sont spectaculaires. En 1850, à l’exception des villes, toute la moitié ouest de la Bretagne est encore bretonnante. En 1850, 160 communes du Finistère sur 160 parlent le breton. On dénombre à l’époque 1,6 million de locuteurs. En 1940, la langue de communication, dans les campagnes bretonnes, chez les marins, chez les artisans, les commerçants des villages et des petites villes, est le breton. En 2000, ce chiffre est presque tombé à zéro. En 2008, les efforts de la France ont abouti à un résultat étonnant : il reste 200 000 locuteurs bretons, tous âgés. Pour entretenir l’illusion, et perpétuer l’hypocrisie, la France a « autorisé » la création de quelques classes bilingues, mais freine de toutes ses forces en s’opposant férocement à toute progression de la langue nationale. Après un simulacre de débat au Parlement, elle a fait semblant d’autoriser les langues régionales, ce qui est fermement démenti sur le terrain. La politique de la France est l’éradication totale du breton. Honteusement, elle joue la montre ! Heureusement, nous avons des Héros : Le Drian, Ayrault, Lebranchu et autres.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
L'EUROPE DES REGIONS FRANCOIS ASSELINEAU
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE CONSTITUÉ EN 2001POUR DÉNONCER LA RÉHABILITATION DE MILITANTS BRETON AYANT COLLABORÉ AVEC L'ALLEMAGNE NAZIE ET DÉNONCER AUSSI LA MAINMISE DES NATIONALISTES SUR LA CULTURE EN BRETAGNE
@TheChattounet
@TheChattounet 3 жыл бұрын
@@portunamnetu2450 tg
@TheChattounet
@TheChattounet 3 жыл бұрын
tg
@louismelennec7958
@louismelennec7958 4 жыл бұрын
COMMENT LES BRETONS SONT DEVENUS FRANCAIS : PIRE QUE DAESH : massacres, noyades, décapitations, viols, écrasements sous des pressoirs, tueries d’enfants devant leurs mères, êtres vivants jetés dans des puits : une vraie joie pour le peuple breton . EN 1789, 1793, 1794, LES ARMEES FRANCAISES DE LA LIBERTE ONT FAIT PIRE QUE DAESH, ET SUR UNE BIEN PLUS GRANDE ECHELLE : MASSACRES, PERSECUTIONS, DECAPITATIONS, PENDAISONS, VIOLS, NOYADES, DESTRUCTION DES CERVEAUX, HUMILIATIONS, ACCULTURATION, INSULTES IGNOBLES. Le martyre du peuple breton commence à peine à être connu. La France, pays des non-droits de l’homme, a tout fait - comme la Turquie, et bien d’autres pays -, pour qu’on ignore l’ampleur des effroyables dégâts qu’elle y a commis, et pour que l’on croie à l’imposture absurde qu’elle a réussi à imposer aux Français et à de nombreux pays du monde : qu’elle a inventé les droits de l’homme , alors que ceux-ci sont une conquête de plusieurs millénaires de notre civilisation occidentale toute entière, à laquelle notre civilisation bretonne, par sa littérature des chevaliers de la table ronde. La France a envahi la Bretagne à trois reprises à la fin du 15ème siècle. Les armées bretonnes ont été anéanties à Saint-Aubin-du-Cormier, en juillet 1488, par un envahisseur très supérieur en nombre, qui préparait cette invasion depuis des générations. Le pays a été annexé en 1532, par un acte camouflé en un faux traité. Une longue colonisation, a suivi, jusqu’en 1789, année durant laquelle s’est produite une « révolution », ridiculement dénommée par les Français jusqu’à ces dernières années comme la révolution des droits de l’homme.. Le martyre du peuple breton commence précisément cette année là. La monarchie française, après l’annexion, n’avait pas osé abolir toutes les institutions bretonnes. Les Bretons avaient conservé une Assemblée nationale (dénommée « Etats de Bretagne »), et le droit de légiférer et de voter ses impôts. La « république » - ce que les Français désignent sous ce vocable - fait entrer les Bretons dans un long calvaire, qui n’est pas encore terminé. Les séquelles ne guériront jamais, pas davantage que celles des Juifs et des Arméniens. La langue bretonne, objet de persécutions incessantes à partir de 1790, conduites avec une grande cruauté, est en voie d’extinction programmée. L’interdiction d’enseigner l’histoire du peuple breton dans les écoles entretient une ignorance dramatique de la population, qui n’accède à la vérité que peu à peu. A l’heure actuelle, le génocide breton n’a fait l’objet d’aucun film. Les Bretons sont responsables de ce silence, par leur lâcheté, mais aussi par une peur très réelle, entretenue par la France. La complicité des politiques, qui se taisent, et des médias « subventionnés », qui collaborent, est effrayante. La shoah bretonne de 1793 et 1794. En 1789, quelques philosophes, des hommes de lettres, des politiques, rédigent un texte devenu célèbre, sous le nom de « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et du Citoyen ». En quelques pages concises, ces hommes, résumant les idées de leurs prédécesseurs - qu’ils n’ont en aucun cas inventées -, énoncent et définissent ce que doivent être les droits de tous les êtres humains, sans exception. C’est de ce texte, d’une grande élévation de pensée - ce que personne ne conteste -, qui recopie à peu de choses près, la déclaration des Etats Unis de 1776, laquelle dit exactement la même chose, que va naître l’imposture française. Les Français attendent toujours la mise en application de ces principes : en vain. Des crimes sans nombre sont commis par les soldats français, sur les ordres réitérés de Paris. Les abominations commises dépassent, de loin - non par leur nombre, certes, mais par leur caractère monstrueux -, celles causées par les nazis en Europe. Des hommes sont émasculés ; d’autres sont coupés vivants en morceaux ; d’autres sont jetés dans des fours, dans des brasiers, ou dans des chaudrons d’huile bouillante; la graisse humaine est récupérée pour lubrifier les canons, les roues des charrettes, les fusils. Ceux qui cherchent à s’enfuir, ont les bras et les jambes coupés. On introduit des charges explosives dans le corps des individus, et on y met le feu ; les femmes sont violées en série, si possible collectivement, devant leurs familles; on les embroche avec des fourches, alors qu’elles sont vivantes ; mieux : pour empêcher cette vermine de se reproduire, on éclate avec des fusils leurs organes génitaux… Des femmes enceintes sont écrasées sous des pressoirs. Le ventre d’autres femmes enceintes est ouvert, on y met de l’avoine, et on y fait manger les chevaux. Les enfants sont des proies de choix : on les tue, sans pitié, souvent devant leur mère, parfois en les écrasant, comme des insectes (on rapporte un cas atroce : celui d’un enfant au sein, transpercé par la même baïonnette que sa mère, sous les applaudissements du commandant). La peau des hommes est utilisée comme le cuir des animaux : après dépeçage des « brigands » (ainsi les dénomme-t-on, ce qui économise le temps de toute procédure judiciaire), on tanne, on traite, on se sert du cuir obtenu pour différents usages, notamment pour fabriquer des culottes aux officiers français (le musée Dobrée, à Nantes, a conservé l’une de ces reliques). Nantes, métropole économique de la Bretagne, qui fut la capitale politique brillante du Duché, en même temps qu’un centre important de la diplomatie européenne, est particulièrement visée. Les agissements du sinistre Carrier, en Loire Inférieure - département éminemment breton , sont restés célèbres : outre les traitements ci dessus, pour gagner en efficacité, on met au point une technique spéciale de noyade, adaptée à la vermine bretonne : on enferme une centaine de malheureux sous le pont d’un bateau, on condamne les sorties, on coule le navire dans la rivière; on perfectionne le procédé : on jette par centaines des habitants, non sans les avoir brutalisés avec une cruauté inhumaine, dans des barges qui s’ouvrent par le fond ; la méthode est rapide, le bateau est récupéré intact, et sert à d’autres exercices ; des hommes et des femmes sont liés ensemble, avant d’être jetés à l’eau, dans des positions souvent impudiques, le père avec la fille, la mère avec le fils : c’est la technique dite du « mariage révolutionnaire »; des noyades pour enfants sont organisées. La Loire est baptisée « baignoire nationale ». Carrier commente, admiratif : « Ah! La Loire ! Quel beau fleuve révolutionnaire ! ». Au total, en Vendée, sur une population de 815 000 habitants, 117 000 sont tués : les éléments du crime de génocide, tels que définis par la Convention de l’ONU de 1948, sont réunis (Golnadel, Sécher et Courtois). L’intention prouvée des révolutionnaires de Paris est bien d’exterminer totalement les populations de l’Ouest, et de les remplacer par d’autres populations, jugées en harmonie avec les malades mentaux de Paris. En Bretagne, il est malheureusement impossible, pour le moment, d’établir un bilan des disparus, tués, torturés. A Nantes, on parle de 4000 à 5000 noyades ; le total des victimes dépasse sûrement plusieurs dizaines de milliers pour tout le pays. Parmi les centaines de phrases prononcées par ces dérangés mentaux, on cite volontiers celle de Carrier : « Nous ferons de la France un cimetière, plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ». Et celle du général Westermann, passée à la postérité par l’horreur qu’elle suscite, qui commande les armées à Savenay, en Bretagne, en 1793 : « Il n’y a plus de Vendée; elle est morte sous notre sabre libre, avec ses femmes et ses enfants Je viens de l’enterrer dans les marais de Savenay. J’ai écrasé les enfants sous les pieds de mes chevaux, massacré les femmes, qui n’enfanteront plus de brigands. Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé… Les routes sont semées de cadavres ; il y en a tant qu’en plusieurs points, ils font des pyramides ». L’imagination des français dans l’accomplissement des atrocités fait même appel aux ressources de la science. Pour faire plus vite et plus fort, on fait appel à des chimistes : bien avant les nazis, on imagine de mettre au point des gaz mortels. Le chimiste Fourcroy, député à la Convention, est chargé de les fabriquer - afin, dit un humoriste nantais de « tuer les femmes, les chiens et les chats de Vendée et du comté de Nantes, s’il en reste ». Fourcroy a été décoré du nom d’une rue à Nantes ! Ce qui s’est passé sous l’Allemagne nazie s’est passé en Bretagne et en Vendée : les monstres Robespierre, Carrier, Westermann, mis à mort à leur tour dans la folie meurtrière créée par la révolution, n’ont exprimé que le sentiment d’avoir fait leur devoir. Les députés de France doivent d’urgence voter un texte de condamnation sans appel, comme ils l’ont pour les Juifs, les Arméniens, l’esclavage.Les armées françaises et les armées turques, par l’horreur des abominations commises, sont à égalité. Les communistes ont été beaucoup plus efficaces. Mais ils n’ont pas atteint ce degré d’abjection. LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, téléchargeable gratuitement sur la toile.
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@TheChattounet 3 жыл бұрын
tg
@louismelennec7958
@louismelennec7958 4 жыл бұрын
! LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE. LE PREMIER QUI A RAISON MERITE LA MORT. ON A D'AUTANT PLUS DE SYMPATHIE POUR VOUS, QUE LA BRETONNE MORVAN VOUS A FAIT VOUS PLANTER : REPRENEZ-VOUS ! Vieux proverbe, devenu une chanson, tant il reflète la vérité. Lorsqu'on s'aperçoit que celui qui ose parler a dit la vérité, surtout s'il est un surdoué, on le jalouse, on le vomit, on l'insulte. La sottise et la méchanceté humaines peuvent dépasser les sommets. A un stade de plus, on prétend que rien de cela n'est nouveau : on nie. Puis, les plus sots, croyant se rendre importants, prétendent qu'ils ont inventé ce sur quoi ils ont craché. L'espèce humaine est la plus stupide des espèces animales, car on l'a pourvue de la parole, et de l'art de médire. Aucun éditeur « breton » n'a voulu se compromettre à publier ce livre qui renverse totalement l'histoire officielle, telle qu'elle a été réécrite par la France, pays envahisseur et encore occupant, par les « hystoryens » carriéristes, formatés ou désinformés et morts de trouille (de quoi, s'il vous plaît?), dans le prolongement du roman national des Français, enseigné dans les écoles de la « république », autoproclamée de ce joli nom. Le lecteur averti sait aujourd'hui que la France n'est pas le pays des droits de l'homme, mais le pays de la falsification ; les Bretons en ont payé le prix : la destruction féroce de leur langue, sinon de leur identité. Personne n'a voulu verser un seul centime pour financer cet ouvrage, y compris les plus aptes à le faire : ceux qui détiennent les fortunes de Bretagne, et affichent partout, la main sur le cœur, qu'ils appartiennent à cette très vieille Nation : il a fallu l'éditer à compte d'auteur. Continuer à se taire, c'est à dire à se déshonorer, tel est le parti qu'ont pris les milliardaires et les éditeurs qui furent contactés en leur temps : aujourd'hui, leur démarche est méprisée : ils ont ce qu'ils méritent. On espère (?) qu'il n'ont pas entièrement perdu le sentiment bénéfique - pour soi-même et pour les autres -, qui s'appelle LA HONTE. Répandez-le : nous avons été sur une liste noire, pendant des années ; mais ce temps est dépassé ; la reconquête de votre identité, c'est-à-dire de votre Dignité, est à ce prix, car les nations n'existent que parce qu'elles ont une histoire commune. www.google.fr/search?sxsrf=ALeKk02e_AOuLG9hgOWsBQBctsQEyDpUNw:1592566998251&source=univ&tbm=isch&q=livre+bleu+de+la+Bretagne+images&sa=X&ved=2
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
BERLIN BRETAGNE VICHY DOCUMENTAIRE DE FRANCE 3 DISPONIBLE SUR KZbin.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
CONFERENCE DE FRANCOIS ASSELINEAU SUR LES EUROS REGIONS
@louismelennec7958
@louismelennec7958 4 жыл бұрын
Lettre du bon docteur Mélennec à madame Françoise Morvan. Mars 2018. @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@ Je ne pense pas que du mal de vous, loin s’en faut. Que vous déliriez quelque peu, ça oui. Vous avez écrit tout votre discours, depuis des dizaines d’années, sur un postulat, qui est faux : les Bretons qui se sont tournés vers l’Allemagne en 1940 étaient des nazis. A partir de là, vous avez construit une pyramide, qui repose sur son sommet. Ces braves gens étaient, pour l’essentiel, des patriotes, qui se sont battus pour leur pays. Peu étaient au courant des atrocités nazies. S’ils les avaient connues, ce n’est pas vers l’Allemagne qu’ils se seraient tournés, soyez en certaine. Je parle en connaissance de cause : je suis Breton, et ai consacré quarante ans à décrypter l’histoire de mon pays, qui est aussi le vôtre. Les messages les meilleurs sont les plus courts; surtout ceux qui ne véhiculent ni insultes ni grossièretés. Lisez le LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, téléchargeable sur la toile, et surtout, si vous êtes pressée, l’HISTOIRE DE LA BRETAGNE POUR LES NULS ET LES COLLABOS. C’est là que vous allez comprendre combien grave est votre erreur. Le début de votre article sur WIKIPEDIA - que d’aucuns nomment WIKIPEDIOUSE, WIKIMERDIA, WIKIMERDIOUSE, etc., est excellent. Je vais le publier, il va éclairer quantité de gens. Le reste est inutile. Les « experts », « contre-experts » et « surexperts » de cette absurde petite officine sont de petits merdeux, prétentieux, et d’une ignorance crasse. Des imbéciles au petit pied : un seul mot pour les qualifier : ridicules. Votre longue dissertation montre que ces absurdités vous ont blessée. Vous leur faites beaucoup trop d’honneur : oubliez-les totalement et définitivement. Ce faisant, ce sera encore trop pour ces pauvres hères, qui sont davantage à plaindre qu’à blâmer, car ils relèvent de la psychiatrie. Le bon docteur MELENNEC.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
CONFERENCE DE FRANCOIS ASSELINEAU SUR LES EUROS REGIONS.
@TheChattounet
@TheChattounet 3 жыл бұрын
tg
@louismelennec7958
@louismelennec7958 5 жыл бұрын
TANTE MONA OZOUF , OUF ! Mona Ozouf est née en 1931. En 1949, elle avait 18 ans, l’âge théorique de raison. Elle a pourtant adhéré au parti totalitaire en 1952, au moment où le monde entier était au courant des horreurs commises, après plusieurs dizaines d’années de falsification de l’histoire. Elle a eu la chance de naître de deux parents, l’un et l’autre lucides et courageux, dans un monde hostile, sachant que la Bretagne était colonisée, de la pire manière, et qu’elle était en train d’assister à un crime horrible : l’assassinat de la vieille langue nationale, et de la culture bretonne. A cette époque, dans mon village de Guilvinec (voir ce mot dans Google), tout le monde parlait encore le breton : la boulangère, le boucher, les ouvriers d’usine, les marins, les paysans. De 1959 à 2005, j’ai rendu visite annuellement à ma vieille mère, décédée à 97 ans. Contrairement à vous, madame, je n’ai pas été assez conscient du drame linguistique que vivait la Bretagne, je m’en fait le reproche. Chaque année, en effet, quelques voisines, encore bretonnantes, rendaient visite à ma mère. Le breton, oh combien vivant et drôle, combien plein d’humour, par rapport à la langue sinistre qu’on nous avait apprise à l’école, était leur langue de communication. Vers l’an 2000, la dernière de nos voisines bretonnantes est morte. De ce jour, je n’ai plus entendu un mot de breton dans la maison familiale : ma mère, qui ne communiquait avec son mari qu’en breton, avait, culpabilisée par la répression atroce exercée sur la langue bretonne, conditionnée par le lavage mental exercé par la puissance coloniale, pour laquelle notre langue antique n’était même pas un vestige des grottes de Cro-magnon, élevé ses enfants en français, comme tous les parents de cette époque. Je n’ai pas réalisé tout de suite ce qui se passait. J’ai décelé, dans l’air, une tristesse indicible, une atmoshère tout à fait étrange, inquiétante … Cette année-là n’était pas comme les autres. Et puis, j’ai compris : je n’entendais plus cette musique qui a bercé mon enfance, mon adolescence, mon âge adulte : la langue bretonne était morte. Ma gorge s’est serrée. Le choc fut plus grand que si tous les oiseaux de Bretagne étaient morts : leur chant n’était plus là, même dans les arbres. Je me suis retenu de pleurer. Voilà ce que votre insuffisance, vous et vos pareils avez fait, madame OZOUF, vous qui avez eu la chance inouie, d’être informée par vos parents, dès que vous avez respiré, et qui non seulement n’avez rien fait, mais avez aggravé considérablement la situation. Celà mérite-t-il d’être décoré de l’ordre de l’Hermine ? Vous faites partie, par votre incompétence, de ceux et de celles qui ont cautionné la falsification de l’histoire, sur une échelle monstrueuse. Il n’est même plus temps que vous contribuiez à rétablir la vérité en Bretagne. Je vous le dis clairement : si vous aviez fait votre devoir dans votre jeunesse, notre langue serait encore vivante. Rendez votre collier de l’ordre de l’hermine, vous ne le méritez pas . Ce collier récompense ceux qui ont agi pour leur pays; vous ne faites qu’exprimer des regrets. C’est à dire RIEN. Allons, ce n’est pas si triste ! Dans ma vie, j’ai refusé bien d’autres » gratifications » que des colliers ! Vos parents sont des héros. C’est vous qui portez leur collier : prenez garde qu’il ne vous brûle le cou; ou que, comme on le sussurait autrefois à la veillée, dans les chaumières de Bretagne, aux enfants terrorisés, pour leur apprendre la sagesse, il se mette à vous serrer la gorge, jusqu’à vous étrangler. Déposez le sur la tombe de vos parents, qui, eux, le méritent. Ce sera un geste de Dignité, qui vaudra dix, cent, mille ouvrages de pleurnicheries insipides et beaucoup trop tardives. Vous avez été complice d’un crime. Si je vous écris en français, et non dans la langue de mes ancêtres, vous y êtes certainement pour quelque chose. Yann Sohier, votre père, si on l’avait laissé faire, m’aurait appris, lui. Au fait, existe-t-il en Bretagne une rue, une école, qui portent son nom ? Il est temps que nous nous réappropriions les noms de nos héros. Les vrais. Louis MELENNEC. Nota. Une pétition circule, pour inviter madame Ozouf à se défausser d’un joyau qui, à son cou, ressemble à des perles fausses. Elle fera bien, aussi, de présenter ses excuses au peuple breton : elle a appartenu à une association dans laquelle on pratiquait l’auto-critique : celà ne lui coûtera guère. Le cas dramatique de tante Françoise Morvan. Qui est Françoise Morvan
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE CONSTITUÉ EN 2001POUR DÉNONCER LA RÉHABILITATION DE MILITANTS BRETON COLLABORÉ AVEC L'ALLEMAGNE NAZIE ET DÉNONCER AUSSI LA MAINMISE DES NATIONALISTES SUR LA CULTURE EN BRETAGNE.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
L'EUROPE DES REGIONS FRANCOIS ASSELINEAU.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 5 жыл бұрын
LA MISE A MORT DE LA NATION PAR L'HUMILIATION ET LA DESTRUCTION DES CERVEAUX. LE DECERVELAGE DES BRETONS. LES PATHOLOGIES MENTALES INDUITES PAR L'ACCULTURATION DES BRETONS. I - L’étude des troubles de la personnalité et névroses collectives a été induite, en particulier, par les sociologues et les historiens qui se sont penchés sur les dégâts mentaux induits par l’acculturation forcée des populations Amérindiennes par les Espagnols. Cette pathologie concerne un grand nombre de nations, jadis libres. Les Bretons sont h au premier chef, puisque les persécutions de toutes natures qui leur ont été infligées ne sont pas encore entièrement taries, et que certains - dont je fais partie -, sont suffisamment âgés pour apporter leur témoignage personnel, plus encore celui de leurs parents. Je me suis intéressé personnellement très tôt, à ce phénomène honteux de l’espèce humaine, dès que j’ai eu accès à l’histoire de la Bretagne, il y a plus de quarante ans. Mes études en psychiatrie, puis en psychanalyse, ma très longue pratique de l'expertise des troubles psychiques post traumatiques - dont je suis l'un des théoriciens -, m'ont aidé à comprendre ce dont il s'agit. J'ai rédigé moi-même l'épais chapitre des troubles psychiques post traumatiques, dans le traité que j'ai rédigé, traduit et publié en plusieurs langues, et plusieurs fois réédité. www.google.fr/search?q=m%C3%A9lennec+psychiatrie&gs_ivs=1#tts=0 Sous la monarchie capétienne, jusqu’en 1789, les Bretons sont très fiers de leurs origines et de leur histoire. La littérature en donne des exemples éclatants. Déjà les textes francs, aux huitième et au neuvième siècles donnent de notre fierté de peuple et de notre combattivité des descriptions éloquentes : fiers, intransigeants, orgueilleux (superbus), tels sont les qualificatifs qui nous désignent, lorsque les immenses armées de Louis le Pieux envahissent la Bretagne (Ermold le Noir, Poème en l’honneur de Louis le Pieux). Les Francs vont vite savoir ce qu’il en coûte de s’attaquer aux Bretons : des défaites sanglantes leur sont infligées tout au long du 9ème siècle, au point qu’ils s'emparent de vastes territoire, incluant notamment Rennes, Nantes, le pays de Retz, le Cotentin, une partie de l’Anjou. Nos frontières datent de cette époque, elles ont peu varié. Nantes devient notre prestigieuse capitale historique. Après l’annexion de 1532, C’est aussi l’opinion de la monarchie française jusqu’à Louis XVI : intransigeants dans la défense de leurs droits, contestant avec fermeté tout ce qui vient de France - surtout les impositions illégales qu’on prétend leur infliger, car ils sont « économes », comme les Ecossais, c'est à dire quelque peu avares -, refusant de donner à l’Intendant français son titre officiel, et lui infligeant des vexations sans nombre, grignotant peu à peu les empiètements imposés à la Bretagne sous Louis XIV, au point de devenir un pays autonome avant la révolution, menant ouvertement la sédition auprès des autres parlements du royaume français, faisant la leçon aux rois qui se succèdent à Versailles, « ils ne tendent qu’à l’indépendance », dit Montequiou… Bref, en 1789, ayant accepté d’envoyer des députés à Paris, ils se proposent, non de s’intégrer dans le pays ennemi, comme on l’enseigne encore dans nos facultés -, mais d’y semer le désordre, avec leurs idées de liberté et de droits des peuples, et de pousser leur avancées nationales. La suppression des privilèges féodaux, au cours de la célèbre nuit du 4 août, est principalement l’oeuvre des Bretons. (Voir : Mélennec, Histoire de la Bretagne pour les nuls et les collabos) On sait ce qu’il advint : ils sont dévorés par plus forts et plus brutaux qu’eux : le monstre révolutionnaire, et les malades mentaux de Paris : leur pays est juridiquement anéanti, par la suppression totale de leurs institutions, et l’installation, après découpage de leur pays en « départements », de « gauleiters », tous français, décorés du nom de « préfets » : de ce jour prend fin le gouvernement des Bretons par eux-mêmes, jusqu’à aujourd’hui. Tout change, donc, à partir de la révolution dite « des doigts de l’homme ». Une phénoménale pression est progressivement exercée sur ce peuple, sans discontinuer, jusqu’en 1950-1960. C’est un véritable terrorisme d’Etat, une vaste entreprise disciplinaire, auxquels la nation bretonne toute entière est soumise durant cette période. La francisation de la Bretagne n’est rien d’autre qu’une répression terrible, qui s’exerce sur les cerveaux, « rééduqués » selon les idées nouvelles, comme en Union soviétique, en Allemagne nazie, au Cambodge, en Chine communiste, en Corée du nord, durant les années terribles. La Bretagne, ai-je écrit dans le périodique La Baule plus, est transformée en un vaste camp de rééducation, dans lequel on apprend aux Bretons, sous la menace de la trique, à se considérer comme des Français, alors qu’ils sont Bretons depuis 2000 ans ! Non pas des citoyens normaux, mais des Français ploucs, une sous-variété d'êtres humains. Selon l’excellente formule de Marcel Texier, agrégé de l’université, ex-président de l’OBE, la Bretagne, fière d’elle même encore en 1789, devient durant le 19ème siècle, le trou du cul de l’Europe. Et pour cause : elle ne se gouverne plus elle-même, elle est soumise aux patachons et aux incapables de Paris. Dans cette grande lessive des cerveaux, l’école obligatoire de Jules FERRY, colonialiste bon teint, théoricien des races supérieures et des races inférieures, les secondes ayant vocation naturelle à être éduquées par les premières - dans leur intérêt, bien entendu, qui se confond, selon la thèse française, avec celui de l’humanité entière - joue un rôle fondamental. Sous l’effet de la pression colossale qui est exercée par l’Etat colonial, l’administration mise en place par lui, l’école, les instituteurs, les professeurs, les journaux, les livres, les moyens de communication, les parents eux mêmes, tant par le non-dit que par ce qui est suggéré ou explicitement exprimé, l’enfant se met à détester peu à peu tout ce qui lui rappelle l’infériorité de sa condition : ce patois hideux et rauque que parlent ses parents et son entourage, ces costumes de ploucs et ces coiffes d’un autre âge, ces moeurs que les Français qualifient de vulgaires, ces tournures bretonnisantes qui infectent le beau langage français, qu’on lui présente comme étant le modèle universel, le plus bel outil linguistique inventé par l’humanité depuis le début des temps, bref : la langue des langues, la langue de la Liberté, la langue universelle, digne d’être parlée par toute l’humanité ! Rien moins. Psychologiquement, le jeune Breton n’est plus RIEN, il le sait, il intériorise le modèle mauvais forgé de toutes pièces par le colonisateur. Il n’a plus aucune estime pour lui même, ni pour son pays. La névrose d’acculturation est à base de honte de soi. L’homme nouveau fabriqué en Bretagne par les délires révolutionnaires et et leurs héritiers, c’est cela : une ombre, un fantôme, RIEN, ou presque. Le phénomène diffuse, et gagne tout l’entourage. Les grands parents, qui ne parlent ni ne comprennent le français - dans les campagnes en tous cas -, sont mis à l’écart, on ne leur parle pas : eux sont des sous - ploucs, on se gausse de leur maladresse et de leur timidité, on ne voudrait certes pas leur ressembler, on a honte d’être leurs descendants. Un fossé culturel se crée entre les générations : les jeunes, élevés dans la civilisation qu’on dit mirobolante du colonisateur, et les vieux, qui paraissent, oh combien, pitoyables et arriérés. Celà peut aller très loin : on a vu, dans les lycées et collèges, des enfants avoir honte de rencontrer au parloir leur propre mère, à cause de son accent rocailleux, de sa coiffe en dentelles, de son habitus de femme plouque, et prétexter l’étude ou le travail pour ne pas montrer ce triste spectacle à ses camarades. L’homme qui écrit ces lignes a été témoin de cela, lorsqu’il fut pensionnaire au lycée de Quimper, en 1952; il est hors de question pour quiconque de nier que cela ait existé. Peut-on imaginer l’horreur que cela représente ? Un breton ayant honte de sa mère, celle qui l’a engendré, parce qu’elle est bretonne ! Au niveau individuel, les dégâts sont considérables. Les Bretons de ces générations sont à l’image de ce qu’ont été les Juifs pendant des millénaires, les colonisés, les esclaves : timides, honteux d’eux mêmes, des êtres convaincus de leur infériorité native. A SUIVRE ...
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE CONSTITUÉ EN 2001 SELON SA PAGE D'ACCUEIL "POUR DÉNONCER LA RÉHABILITATION DE MILITANTS BRETON AYANT COLLABORÉ AVEC L'ALLEMAGNE NAZIE ET DÉNONCER LA MAINMISE DES NATIONALISTES SUR LA CULTURE EN BRETAGNE"
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
BRETAGNE BERLIN VICHY DOCUMENTAIRE FRANCE 3 DISPONIBLE SUR KZbin
@TheChattounet
@TheChattounet 3 жыл бұрын
tg
@louismelennec7958
@louismelennec7958 5 жыл бұрын
LE CONTEXTE ! OUI, EN EFFET. Vous avez raison, M. Markowicz, le contexte ! Votre contexte à vous, M. Markowicz, qui êtes sympathique et intelligent en diable, est mauvais. Françoise Morvan, votre contexte, n'a pas lu l'histoire de la Bretagne. Elle croit que la Bretagne, c'est ce qu'elle appelle la "collaboration". Savez vous qu'aujourd'hui, maintenant que l'histoire de la Bretagne est restituée dans sa vérité, le mot "collabo" a changé radicalement de signification : ce sont tous ceux qui connaissent les crimes contre l'humanité commis en Bretagne pendant cinq siècles, depuis l'abominable guerre d'invasion de 1487 à 1491. Lisez donc LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE, tout deviendra lumineux. Et pendant que vous y êtes, changez donc de contexte : alors, au lieu de la servitude, vous connaîtrez une vraie liberté. LE BON DOCTEUR. ps. pas d'accord avec vous, du tout, pour la ponctuation.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE CONSTITUÉ EN 2001POUR DÉNONCER LA RÉHABILITATION DE MILITANTS BRETON AYANT COLLABORÉ AVEC L'ALLEMAGNE NAZIE AUSSI LA MAINMISE DES NATIONALISTES SUR LA CULTURE EN BRETAGNE.
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
CONFERENCE DE FRANCOIS ASSELINEAU SUR L'EUROPE DES REGIONS
@TheChattounet
@TheChattounet 3 жыл бұрын
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@TheChattounet 3 жыл бұрын
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@louismelennec7958
@louismelennec7958 5 жыл бұрын
LE NATIONALISME FRANCAIS : L’ECRASEMENT DES AUTRES CULTURES. LE NATIONALISME BRETON : UN MOUVEMENT DE LIBERATION NATIONALE. C’est au nom de ce nationalisme français méprisant, arrogant, orgueilleux, stupide, en un mot, que les quelques centaines de Bretons qui ont fait l’honneur à leur pays de porter haut les couleurs de leur culture, au prix de leur liberté, de leurs carrières, parfois de leur vie, ont été persécutés, jusqu’à ces trente dernières années. Combien ont-ils été, durant la dernière guerre mondiale, à tenter de défendre les intérêts de leur pays en s’alliant aux Allemands, sans partager, ni de près, ni de loin, les révoltantes thèses nazies ? Une infime minorité. Quelques dizaines ? Cent au plus ? Sûrement moins de mille. La collaboration française, elle, a été plus que largement compromise par l’adhésion à cette idéologie criminelle : des centaines de milliers de personnes, peut-être des millions, y ont souscrit, notamment par leurs sentiments violemment antisémites. Ce que l’on dénomme les » collaborateurs » bretons ont été, pour la plupart, des patriotes, qui n’ont fait alliance avec l’Allemagne - pays avec lequel la Bretagne n’a jamais eu de contentieux, contrairement à nos voisins les plus proches -, que parce que cette alliance leur permettait d’entrevoir un avenir enfin libre, et de vivre dans la Dignité leurs valeurs, leur culture, leur langue. J’ai partagé avec Bernard Le NAIL, directeur de l’Institut culturel de Bretagne (lettres dans mes archives) cette opinion : c’était une bande de pauvres bougres, qui ne connaissaient pour le plus grand nombre rien des thèses dites » nationales socialistes « , et qui ne savaient certes pas que leur mémoire serait prise en otage par les survivants des complices des goulags, tant en France qu’en Bretagne, jusqu’à aujourd’hui ( » Les écoles bretonnes Diwan, a dit un imbécile, sont une secte « ; le même : » La Chine accomplit au Tibet une oeuvre civilisatrice admirable «) . (Vous connaissez l’auteur de ces phrases saugrenues : il porte le patronyme de Mélenchon, l’homme qui a donné son nom à une série de néologismes, tels que mélenchonneries, mélenchonner, etc ..). (Lisez sur la toile, par Google : Jean-Luc Mélenchon, L’imbécile heureux, l’idiot inutile. Un délice). Ceux qu’on dénomme les « collaborateurs bretons », ont animé ce qu’on désigne ailleurs, partout dans le monde, un MOUVEMENT DE LIBERATION NATIONALE. Voila le grand mot enfin lâché, et qu’on ne peut plus, aujourd’hui que l’histoire des sinistres relations franco-bretonne est écrite, et diffusée dans le monde entier, infirmer. La collaboration française, elle, a été plus que largement compromise par l’adhésion à l’ idéologie criminelle des Allemands nazis : des centaines de milliers de personnes, peut-être des millions, y ont souscrit, notamment par leurs sentiments violemment antisémites. C’est au nom des erreurs de quelques uns, et de la manipulation très consciente des autres, que des campagnes honteuses sont encore menées dans la presse nationale française, contre ces quelques malheureux, qui continuent de servir de boucs émissaires et d’échappatoire aux vrais coupables, qui, eux ont été les complices moraux des assassins des cent millions de victimes du marxisme, à l’égal des idéologies nazies, et qui continuent à polluer les médias, à pervertir la vérité, et à échapper aux sanctions qu’ils méritent. Si nous en avons le loisir, nous publierons un jour quelques extraits des incroyables sottises que les instituteurs de la troisième république ont enseigné sur tout le territoire hexagonal dénommé » La » France, - avec quelques circonstances atténuantes, il est juste de le dire, car quiconque est décervelé malgré lui, ne sait pas les dégâts qu’il commet sur les jeunes consciences -, à leurs jeunes élèves, comme on enseigne dans les sectes dénoncées quotidiennement par les médias . Les excès peu ragoûtants de cet enseignement ont produit des effets désastreux. On verra bien, lorsque ces extraits seront publiés, combien a été agressive la politique française, et combien timides apparaissent nos bretons » nationalistes « . Le nationalisme breton a fait quelques victimes, c’est vrai. Nous regrettons sincèrement que certains de nos compatriotes aient cédé au désespoir pour en arriver là : la mort d’un seul homme est déjà une mort de trop. Cela serait-il arrivé si la France, au lieu de nous envahir, d’annexer notre pays, de détruire notre langue et notre identité, était restée chez elle, où nous aspirons, avec fermeté, la voir retourner ? Si elle n’avait pas sucé au fil des siècles nos richesses, nos ressources fiscales, notre marine, nos intellectuels, nos administrateurs, nos écrivains, le sang de nos jeunes hommes, en les enrôlant de force dans des guerres (les guerres d’Italie, de Hollande, de Louis XIV, de Napoléon Ier, de Napoléon III, de 1914 - 1918 (200 000 morts, plus d’un quart de la population active), de 1939 -1945, d’Indochine, d’Algérie … ). Notre peuple pacifique n’avait rien à faire dans ces conflits meurtriers, QUI N’ETAIENT, NI DE PRES, NI DE LOIN LES NÔTRES, mais ceux d’un peuple belliqueux, expansionniste, en guerre d’une manière pathologique contre tous durant presque toute son histoire. La Bretagne médiévale, sous le gouvernement de ses Ducs, n’a eu de cesse que de se tenir à l’écart, par une politique de sage neutralité, des guerres franco - anglaises. Le nationalisme breton compte à son passif quelques dizaines, peut-être un peu davantage, de morts. MAIS LE NATIONALISME FRANCAIS, SES GUERRES, coloniales notamment, a tué des MILLIONS D’ÊTRES HUMAINS en Europe et dans le monde. On verra bien, sans trop tarder, qui est coupable, et qui est victime, et si la Bretagne a lieu d’être satisfaite de la politique de ce pays, qui s’imagine nous avoir apporté la civilisation, comme aux nègres d’Afrique et d’ailleurs ). La stupide légende de la France, inventrice des Droits de l’homme, vit ses derniers moments : j’ai l’honneur d’avoir puissamment contribué à cette évolution, et de l’avoir largement précipitée. Un Alsacien m’a dit un jour : »Quel dommage, docteur, qu’il y ait la France entre nous ! » Je dis la même chose pour la Suisse, que nous admirons, et que nous considérons comme un modèle : la Suisse est une autre Bretagne, la Bretagne a vocation à devenir une autre Suisse, j’écris cela fréquemment dans mes chroniques politiques, pas seulement celle-ci. Citoyens Suisses, nous vous aimons. Si j’étais plus jeune, j’irai peut-être partager votre sort, dans vos montagnes, dans vos vallées, dans vos villes. LOUIS MELENNEC, dit « le bon docteur ». Exclu de tous les médias français, sans aucune exception, par la presse du pays hyperdémocratique dénommé « La France ».
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE
@portunamnetu2450
@portunamnetu2450 3 жыл бұрын
GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE CONSTITUÉ EN 2001POUR DÉNONCER LA RÉHABILITATION DE MILITANTS BRETON AYANT COLLABORÉ AVEC L'ALLEMAGNE NAZIE ET DÉNONCER LA MAINMISE DES NATIONALISTES SUR LA CULTURE EN BRETAGNE .
@bodidley3621
@bodidley3621 10 жыл бұрын
Un des meilleurs traducteur en langue française du célèbre écrivain russe Dostoievski...
@thibaultdemontfort331
@thibaultdemontfort331 2 жыл бұрын
Pfff je parle et lis parfaitement le russe et ke peux vous dire que ce Monsieur Marcovitz presenté comme quasi le grand traducteur de la langue russe en francais est un escroc! Il n'a pas l'accent russe et fait de grossières erreurs aussi bien à l'oral qu'à l'écrit ! Ce bouffon a aussi traduit toutes les oeuvres de Schakespeare: haha Comme si de nombreux génies avant lui ne l'avait pas fait et de facon beaucoup plus précises. Un escroc comme ce Monsieur ne peut pas traduire une grande oeuvre
@sergeventurini6143
@sergeventurini6143 11 жыл бұрын
à méditer, pour tout traducteur. La traduction évolue à chaque époque. Il faut sortir des représentations, déconstruire, identifier les obscurités, si riches de sens. Traduire, c'est sans cesse retraduire un texte, selon les époques. O métamorphoses des dieux ! Il est dommage qu'André Markovicz refuse de traduire Ossip Mandelstam.