« Les joyaux cachés du Nord »
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Пікірлер
@KaltoumYamani
@KaltoumYamani 2 күн бұрын
❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤❤
@KaltoumYamani
@KaltoumYamani 5 күн бұрын
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@dazaigh9419
@dazaigh9419 29 күн бұрын
Tital lah ire7mo
@yacinehrkl
@yacinehrkl Ай бұрын
Un chien typiquement marocain
@drytoon1507
@drytoon1507 2 ай бұрын
Je croyais que le sloughi était un jeu du pays de Galles... ah non, je confonds avec le sloubi 😂❤
@daviddavis61
@daviddavis61 2 ай бұрын
Je confirme. Le rapace filmé est un circaète (Circaetus gallicus).
@McM486
@McM486 2 ай бұрын
Allah yrahmek a el hassnaouia
@monde7881
@monde7881 2 ай бұрын
Je te comprend bien en berbère. C'est magnifique Et merci pour la vidéo de kabylie.
@tetouanforeveryagalbi407
@tetouanforeveryagalbi407 3 ай бұрын
merci pour ce beau et émouvant reportage sur l'histoire de cette mosquée très ancienne , de ce monument du Rif! 🙏👍
@Aminchaachoo
@Aminchaachoo 4 ай бұрын
Je suis Amin Chaachoo, la personne concernée dans cette vidéo et l'interprète du violon. Mes propos ont été totalment déformés: je n'ai jamais dit que la musique andalouse du Maroc ou de Tétouan avaient des origines algériennes, mais tout simplement que, quand les tlémciens et d'autres ont du fuir la colonisation française à partir de 1830 de ce territoire (l'Algérie n'existait pas encore comme nation), c'est le Maroc et Tétouan qui les ont aceuillis. Ils ont approté certaines de leurs chansons que les tétouanais ont appris: zandani, qadriyat,... et qu'ils ont soumis au style marocain, qui n'est pas ottomanisé comme dans l'Algérie actuelle. Et tout ceci n'a rien à voir avec la musique andalouse proprement dite. Il va sans dire que la musique andalouse du Maroc est la plus pure, car elle n'a pas subi l'influence ottomane, il n'y a en elle ni bacharif ni glissages turcs ni rien. Ceci est tout-à-fait logique car le Maroc est le pays le plus proche de al-Andalous, donc le plus apte à conserver cette grande tradition. Même le repertoire y est plus grand et riche.
@hakemdharq3788
@hakemdharq3788 5 ай бұрын
❤❤❤👑🇲🇦🤲🥰
@AlAyyurAtlas
@AlAyyurAtlas 5 ай бұрын
Vive le moyen atlas oriental , des ait marmouchas aux ait ouarain tribus zenetes guerrières
@AnnetteLarisse
@AnnetteLarisse 6 ай бұрын
J'aime votre louange au nom de Jésus le Christ.Amen
@AnnetteLarisse
@AnnetteLarisse 6 ай бұрын
Très belle louange,je suis avec vous de tout coeur, mais les Francis n'arrive as comprendre leslangages
@mohamedmansour1244
@mohamedmansour1244 7 ай бұрын
C ou
@aytissadraxid7318
@aytissadraxid7318 7 ай бұрын
C'est un circaète jean le blanc
@شخصما-ط7ح
@شخصما-ط7ح 8 ай бұрын
L'aigle de bonelli est trèq répondu dans la région de Taza au Maroc
@arnaquenul
@arnaquenul 8 ай бұрын
En 1918, un Kabyle débarquait à Safi. Boujemaâ Lamali, maître céramiste de son état, était chargé par les autorités du Protectorat de sauvegarder et de développer la principale activité artisanale de la région. Aujourd’hui encore, les petits-enfants des premiers apprentis potiers de Lamali se réclament de lui. Récit. Boujemaâ Lamali est né vers 1890 dans un village de la Haute Kabylie. Très tôt, et contrairement à ses frères, l’enfant exprime, nous dit-on, son désir de s’instruire. Son père l’envoie vivre chez un oncle installé dans la banlieue d’Alger. On retrouve l’adolescent Boujemaâ apprenti dans l’atelier du maître céramiste Soupireau. Il y restera dix ans et finira chef d’atelier. C’est certainement sur le conseil de Soupireau et avec son appui que Boujemaâ Lamali s’inscrit à l’Ecole des beaux-arts d’Alger. En ce tout début de XXème siècle, l’école ne doit pas, on l’imagine bien, compter moult étudiants musulmans. En 1914, Boujemaâ Lamali est envoyé en mission d’études à la Manufacture nationale de Sèvres. C’est la première fois que la fabrique de porcelaine au rayonnement mondial, fondée en 1740, sous les auspices de Louis XV, accueille un Nord-africain. A cette époque, les travaux d’art de la Manufacture sont dirigés par Alexandre Sandier. Ce décorateur ensemblier reconnu s’est attelé à la création de nouvelles formes, essentiellement des vases et pièces de service, qu’il fait décorer par des artistes extérieurs à la maison. Nous savons que Lamali a travaillé au projet d’édition de certaines de ces formes. Il participe également à la préparation de l’importante participation de la Manufacture à l’Exposition internationale de Lyon sur «La cité moderne», ayant lieu cette même année. Isabelle Laurin, co-commissaire scientifique de l’exposition Sèvres-Safi (voir page 59) relève, non sans pertinence, qu’on retrouvera souvent dans la future production de Lamali le fameux «vase-boule» si cher à Alexandre Sandier. Plus généralement, remaque-t-elle, Lamali a gardé de Sandier «ce goût pour les vases pansus, simples et décoratifs, qui eurent un grand succès durant les années 30». (1) Lamali profite de son séjour en France pour étudier les faïences perses et arabes exposées aux musées du Louvre et de Cluny. Il est particulièrement impressionné par les céramiques émaillées à reflet métallique. Cette technique d’origine mésopotamienne a été à l’honneur en Perse et en Egypte durant les IXème et Xème siècles avant de s’épanouir dans l’Espagne musulmane des XIVème et XVème siècles. Son expression ultime se trouvant alors dans les fameux azulejos de Séville, Lamali ne manque pas d’aller étudier la question sur place. En 1918, sous l’impulsion du Résident général Hubert Lyautey - dont on sait la passion pour la vieille civilisation marocaine qu’il entend regénérer dans le plus strict respect de la tradition-, est créé, à Rabat, l’Office des industries d’art indigènes, dépendant du Service des Beaux-arts. Sa mission est de «centraliser toutes les questions concernant la production artistique indigène et spécialement de surveiller la fabrication et d’assurer l’écoulement des produits». (2) Pour ce faire, on procède, entre autres, à la création d’ateliers d’Etat «fonctionnant sous la direction de l’Office, dans des locaux du Protectorat, avec des matières premières et des salaires payés par lui». (3) Pour pourvoir au poste de responsable de l’atelier de céramique devant s’ouvrir dans ce cadre, M. de la Nézière, directeur de l’Office - bientôt transformé en Service des arts indigènes, rattaché à la Direction de l’enseignement -, s’enquiert auprès de l’administrateur de la Manufacture nationale de Sèvres. Tout naturellement, celui-ci lui recommande Lamali. Lorsque Lamali arrive à Safi, la production de la poterie d’art est déliquescente. Certes, les souks de la région croulent sous les objets en poterie brute (h’rach ou souki) à usage domestique courant (m’jamer, khabiat, gh’raref, etc.), mais les rares ateliers spécialisés dans la production de poterie fine, décorée et vernissée, vivotent péniblement. Deux ans durant, Lamali fait travailler deux ouvriers, leur fournissant matière première et encadrement. Las ! les ouvriers sont trop indisciplinés, leurs mauvaises habitudes trop ancrées. Lamali demande à Rabat l’autorisation d’ouvrir un cours de dessin et de tournage. Démarré en 1920 avec une dizaine d’élèves-apprentis, l’atelier-école de Lamali en compte 42 en 1924. Entre-temps, après avoir «réussi à former une équipe de tourneurs et de décorateurs suffisamment expérimentés et à créer un assez grand nombre de modèles susceptibles d’être vendus»,(4) Lamali reçoit, avec une subvention annuelle, «une licence du Protectorat de travailler à son compte et profit, à charge pour lui de continuer à former de nouveaux apprentis et à respecter les caractères traditionnels de la céramique marocaine». (5) A partir de son atelier safiot, Lamali va révolutionner le sort de la poterie marocaine. On lui doit tout ou presque. Il apprend à ses élèves à procéder au lavage de l’argile - celle de Safi est trop riche en calcaire et oxyde de fer - ; à retrouver les formes berbéro-romaines et arabo-andalouses d’origine ; à utiliser un système de canevas permettant aux apprentis de reproduire les motifs traditionnels safiots - qu’il répertorie - à main levée mais avec précision ; il améliore, enfin, la qualité de l’émail. «Hors de la tradition, point de salut», ainsi pourrait-on résumer le credo du Service des arts indigènes de l’époque. Pour obtenir l’autorisation de produire des faïences polychromes, Lamali doit montrer à ses supérieurs deux pièces anciennes exécutées à Safi et retrouvées par lui. Mieux, après une enquête approfondie auprès des vieux mâalems safiots, Lamali est en mesure de fournir l’explication de ce fameux bleu de Safi. Il est tout simplement dû à une pénurie de pigments lorsque, en temps de siba, la route entre Safi et Fès était coupée - le cobalt anglais arrivant, lui, par voie de mer. Nous devons beaucoup de nos connaissances sur l’histoire de la poterie de Safi à Lamali. Tout en prodiguant un enseignement et un encadrement conformes aux directives de sa hiérarchie, Lamali consacre une partie de son temps à ses recherches personnelles, en toute liberté. En 1925, la participation de Lamali à l’Exposition des arts décoratifs modernes à Paris lui vaut une médaille d’argent. Les objets que le maître céramiste expose lors de cette manifestation internationale historique - elle signe l’acte de naissance de ce qu’on appellera le mouvement Art déco - sont étonnants. Il s’agit de vases et de plats aux formes marocaines stylisées ou d’inspiration pré-Art déco, recouverts de décors géométriques empruntés aux tapis zaïan et sous émail à reflet métallique néo-persan ! Le style Lamali est né. Le maître artisan est indubitablement un précurseur de ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui l’ethno-design. D’une exposition coloniale à l’autre, Lamali collectionnera les distinctions. Des décennies durant, il fera œuvre de création tout en poussant plus loin son exigence technique. Une exigence technique que ses élèves transmettront à leur tour à leurs enfants et petits-enfants - formant ainsi de véritables dynasties safiotes de maîtres potiers, dont les fameux Serghini -, à défaut de prolonger son sens du design, lequel se retrouve plus certainement, aujourd’hui, à Marrakech. Lamali n’a jamais quitté Safi où il vivait avec sa famille dans une véritable maison-musée. Un Musée national de la céramique, contenant certaines de ses pièces a d’ailleurs ouvert ses portes en 1990 dans la cité portuaire. Lamali s’est éteint en 1971, laissant un souvenir vivace chez tous les Safiots comme chez l’ensemble des amateurs d’art marocain. Les collectionneurs se sont vite arrachés les pièces de céramique signées Lamali ou portant la marque de fabrique de son atelier (Asafi en lettres arabe, dans une calligraphie spécifique). Durant les années 60, Lamali n’a cessé de demander aux autorités de son pays d’adoption la création d’une école nationale des arts du feu à Safi - dont il disait vouloir faire une «petit Sèvres». En vain Par azititoudans Art, Culture, et Traditions.
@arnaquenul
@arnaquenul 8 ай бұрын
ولد بوجمعة لمالي في الجزائر العاصمة عام 1890، وتخرج من مدرسة الفنون الجميلة في العاصمة الجزائرية ومن المصنع الوطني في سيفر. اختار الإقامة الدائمة في مدينة آسفي سنة 1919، بعد تجارب غنية مع الخزافين الفرنسيين في متحفي اللوفر وكلوني. أسس الفنان مدرسة لصناعة الخزف هي الأولى من نوعها في المغرب وإفريقيا. أثر عمل لمالي على معظم خزفيات الصافيوت مثل السوسي، سرغيني الطاهر، عبد القادر لغريسي، محمد الرباطي سنتيل وغيرهم الكثير. وساهم في جعل آسفي عاصمة الخزف المغربي بعد فاس، وتمثيل المغرب في العديد من المعارض الدولية. ↑ <
@ZahraOusbir
@ZahraOusbir 8 ай бұрын
Quelq'un qui peut m'aider à faire une recherche sur le conte Marocain
@ZahraOusbir
@ZahraOusbir 8 ай бұрын
Quelq'un qui peut m'aider à faire une recherche sur le conte Marocain
@ZahraOusbir
@ZahraOusbir 8 ай бұрын
Quelqu'un peut m'aider de faire une recherche sur le conte marocain
@azizhaboub4822
@azizhaboub4822 8 ай бұрын
Pourrais je avoir votre no tel ?
@azizhaboub4822
@azizhaboub4822 8 ай бұрын
Je ne trouve nul part votre nr de tel
@amazigh7457
@amazigh7457 10 ай бұрын
DIMA maghrib
@jaffarinho
@jaffarinho Жыл бұрын
J espere un jour avoir un Sloughi avec ma cherie Salmitos
@ahmadaehari-cv1tq
@ahmadaehari-cv1tq Жыл бұрын
Mmmmmmmmmmm no
@mohamedatatab4573
@mohamedatatab4573 Жыл бұрын
@hoobly1967
@hoobly1967 Жыл бұрын
Le sloughi est arabe et non uniquement marocain
@adams2430
@adams2430 11 ай бұрын
différents chien : y a le sloughi marocain et le slouqi arabe et le slouqi bangladais…
@skynet5305
@skynet5305 4 ай бұрын
C'est fait exprès, la propagande sioniste
@pandsky95
@pandsky95 Жыл бұрын
je me pose cette question et si ont pouvais refertiliser les sol ont pourrais réimplanter ces espèces autochtones Acacia raddiana, vachelia gumifera,et panicum turgidum😥😥
@Lol29278
@Lol29278 Жыл бұрын
Benimellal 🇲🇦ⵣ♥️🩸
@ilyasi9960
@ilyasi9960 Жыл бұрын
C les ait said ou Ali branche ait Slimane de de la région de Moudj si je ne trompe pas
@badalinassim6348
@badalinassim6348 Ай бұрын
Ait Slimane
@imad-e2u
@imad-e2u Жыл бұрын
J'ai trouvé 2 vieux livres à vendre à la Maison Coloniale
@martinelaurier909
@martinelaurier909 Жыл бұрын
Merci à vous de faire vivre cet endroit magnifique !J'aime ces lieux plein de mystères....
@hibabouhamra9995
@hibabouhamra9995 Жыл бұрын
ghzala hadchi
@harmouche9746
@harmouche9746 Жыл бұрын
merci
@grangierkathy3690
@grangierkathy3690 Жыл бұрын
Ou je peux la acheter en France svp
@marie8391
@marie8391 Жыл бұрын
As salam walaykom machallah trop bien les contes racontés réconfortant dommage que ça se perd , les enfants aimeraient beaucoup s’en suis certaine, Balakallah oufik pour cette superbe pages je m’abonne de suite et je partage ❤❤❤
@MohamedMohamed-ks2jk
@MohamedMohamed-ks2jk Жыл бұрын
Ma.ajmalehz.kont.sakene.fihz.1997 Achhgale Kalaress.saik.trax
@tetouanforeveryagalbi407
@tetouanforeveryagalbi407 Жыл бұрын
Ça m'a tellement rappelé ma mère quand elle nous raconter des histoires le soir avant d'aller dormir , qui sur son épaule, qui l'a tête sur ses jambes, et la petite dernière dans ses bras ❤ Allah rehma 🙏
@MarokoJin
@MarokoJin Жыл бұрын
Je ne savais même pas qu'un musée pareil existe au Maroc, merci pour le partage et conitnuez à poster des nouvelles choses!
@3assila
@3assila Жыл бұрын
L'Algérie n'existant pas à cette période votre réflexion part d'un faux postulat. Tlemcen était Marocaine et prêtait allégeance au sultan donc arrête ses distorsions historique qui font du torts à tous car l'histoire est la et ne trompe pas l'andalousie est TAMARGHRABIT et l'art du malhoune vient en tout premier lieu du Tafilet. Honte aux disgresseur de l'histoire.
@RidaEsseid
@RidaEsseid Жыл бұрын
Hahaha, je sais que c'est dure à avalé quand les dziri vous ont appris le raffinement.
@massinissagaraoun5064
@massinissagaraoun5064 Жыл бұрын
Tanemmirt tameqqrant à uma
@najibzeha
@najibzeha Жыл бұрын
Mon grand père lah yr7mou était le gardien de ce sanctuaire plusieurs décennies avant de nous quitter en 1995, on y jouait l'été quand on lui rendait visite. Maintenant c'est mon cousin qui s'en occupent avec sa famille. Dieu les gardent tous.
@smartise8000
@smartise8000 Жыл бұрын
super !!
@hatimartforart5263
@hatimartforart5263 Жыл бұрын
Much love and blessings ❤
@monsieurk2409
@monsieurk2409 Жыл бұрын
Malheureusement le slougi n'est pas du tout originaire du Maroc...
@bello2bello51
@bello2bello51 Жыл бұрын
MOUAHAHAHAHAHAHAHAHAH IL DESCENT DU SALUKI CHIEN PERSE IMPORTER AU MAROC KAWED
@ahmedhadda3727
@ahmedhadda3727 Жыл бұрын
L' AIGLE DE GUIOUROUX *Wild @€atlas mountains ' MORROCO
@chmymy8859
@chmymy8859 Жыл бұрын
🇲🇦❤️
@FfffFfff-zx5lg
@FfffFfff-zx5lg Жыл бұрын
Tu lui a demandé ses papiers au Sloughi pour savoir si il est marocain???? Le Sloughi n'est pas marocain il est Maghrébin Algérien, Tunisien, Libyen aussi. Mais c'est vraies vous aimez bien vous appropries la culture magrebines en disent qu'elles est marocaines pour plaire à vos maîtres esclavagiste touristes et vous donner une valeurs. Vous faites pitiés. Vive les vraies magrebins.