Un millénaire de Savoir-Faire: Histoire de la poterie de Safi

  Рет қаралды 5,042

Marocopedia Français

Marocopedia Français

Күн бұрын

Пікірлер: 27
@جزائريحر-ي5و
@جزائريحر-ي5و 4 жыл бұрын
Boudjemaa lamali qui a formé les marocains apres la premiére guérre mondial , c'est un artiste boudjemaa lamali il est un kabyle l'algerie tout les domaines fooor tradions music cultures tout tout vive l'algerie 🇩🇿
@BOAWON
@BOAWON 2 жыл бұрын
Hhhh...vous faite pitiée les DZ, vous etes comme des sans-papiers de l'histoire qui s'accroche a n'importe quoi pour vous donner de l'importance. Le Shop de mr Sarghini qui apparait dans la video a 200 ans hhhhhhhh.
@mokidir2255
@mokidir2255 2 жыл бұрын
@@BOAWON Oui c'est ca va réviser va chercher dans le musée de la asafi tu verras c'est qui lamali sinon va lire un peu dans les textes du Marchal lieuti
@BOAWON
@BOAWON 2 жыл бұрын
@@mokidir2255 je connais le travail de Mr Lamali.... et je connais aussi des ateliers à Safi ou Fez qui sont active depuis les années 1800.. Alors vouloir attribuer a Mr Lamali la ceramique atlante ou bien fassi ou celle du Rif est vraiment stupide... seul un Nazi Dz peut se permettre une telle connerie. Et ne parle pas de lyautey... il a passé en Algerie plus de temps qu'au Maroc...et tu doit avoir honte de les citerapres 130 ans de Colonisation.
@mokidir2255
@mokidir2255 2 жыл бұрын
@@BOAWON la seule chose que je peux vous dire moi je suis d'origine kabyles amazigh je connais la poterie car chaque maison kabyles produit sa propre poterie si je parle de Mr laamali ce n'est qu'une petite goutte dans l'océan alors je dénigre pas ni Fez ni asafi. Comme vous le faites vous en ignorant le travail de Mr laamali qui a développé la poterie a asafi c'est pas lui le créateur car c'est un patrimoine mondial Point barre l'accusé les dz et moi autant que autochtone kabyles berbère amazigh je reconnais pas ces frontières Pour moi il y'a pas ni Maroc ni Algérie ni Tunisie ni Maroc ni autres mes frontières sont de Siwa jusqu'au îles Canaries
@BOAWON
@BOAWON 2 жыл бұрын
@@mokidir2255 Azul agma inu... moi aussi je suis Amazigh autochtone et j'ai le plus grand respect et fascination pour notre culture amazigh... bien sur que je reconnais le travail du grand maitre Lamali... mais je trouve stupide de lui attribuire la poterie atlante connu depuis l'epoque de la Mauritanie... comme a fait le nazionaliste en haut. je t'invite a googler "la poterie du Rif" ou " la poetrie de Tamegroute"... chaque region a sa touche et son art. quant au frontieres... c'est pas moi qui les a tracer... elles etaitent bien là même avant l'arrivée des romains et des phoeniciens..
@amineben.2814
@amineben.2814 4 жыл бұрын
On remerciera boudjemaa lamali l'ALGERIEN qui a tout appris dans cet art aux marocains ,en créant des écoles! 🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿🇩🇿
@a2syou3
@a2syou3 4 жыл бұрын
Tout à fait et se maître potier algérien est reconnu et reconnu au Maroc. La poterie Safi existait déja et il a apporté son talent au service d un art qui existait déjà.
@marouanetalbi4762
@marouanetalbi4762 3 жыл бұрын
pourquoi il ne vous la pas appris a vous ? alors ? yal janissaire
@مغربيةعياشةوافتخر
@مغربيةعياشةوافتخر 2 жыл бұрын
@@marouanetalbi4762 ils sont des bras cassés, creuse trou, pétrole lol
@karimhmimi1244
@karimhmimi1244 2 жыл бұрын
🤣🤣🤣🤣🤣 t'as entendu ou pas? la poterie a safi existe depuis des SIÈCLES donc on a pas attendu ton DZesperé de concitoyen pour nous apprendre quoi que ce soit 💪🏻🇲🇦
@arnaquenul
@arnaquenul 8 ай бұрын
En 1918, un Kabyle débarquait à Safi. Boujemaâ Lamali, maître céramiste de son état, était chargé par les autorités du Protectorat de sauvegarder et de développer la principale activité artisanale de la région. Aujourd’hui encore, les petits-enfants des premiers apprentis potiers de Lamali se réclament de lui. Récit. Boujemaâ Lamali est né vers 1890 dans un village de la Haute Kabylie. Très tôt, et contrairement à ses frères, l’enfant exprime, nous dit-on, son désir de s’instruire. Son père l’envoie vivre chez un oncle installé dans la banlieue d’Alger. On retrouve l’adolescent Boujemaâ apprenti dans l’atelier du maître céramiste Soupireau. Il y restera dix ans et finira chef d’atelier. C’est certainement sur le conseil de Soupireau et avec son appui que Boujemaâ Lamali s’inscrit à l’Ecole des beaux-arts d’Alger. En ce tout début de XXème siècle, l’école ne doit pas, on l’imagine bien, compter moult étudiants musulmans. En 1914, Boujemaâ Lamali est envoyé en mission d’études à la Manufacture nationale de Sèvres. C’est la première fois que la fabrique de porcelaine au rayonnement mondial, fondée en 1740, sous les auspices de Louis XV, accueille un Nord-africain. A cette époque, les travaux d’art de la Manufacture sont dirigés par Alexandre Sandier. Ce décorateur ensemblier reconnu s’est attelé à la création de nouvelles formes, essentiellement des vases et pièces de service, qu’il fait décorer par des artistes extérieurs à la maison. Nous savons que Lamali a travaillé au projet d’édition de certaines de ces formes. Il participe également à la préparation de l’importante participation de la Manufacture à l’Exposition internationale de Lyon sur «La cité moderne», ayant lieu cette même année. Isabelle Laurin, co-commissaire scientifique de l’exposition Sèvres-Safi (voir page 59) relève, non sans pertinence, qu’on retrouvera souvent dans la future production de Lamali le fameux «vase-boule» si cher à Alexandre Sandier. Plus généralement, remaque-t-elle, Lamali a gardé de Sandier «ce goût pour les vases pansus, simples et décoratifs, qui eurent un grand succès durant les années 30». (1) Lamali profite de son séjour en France pour étudier les faïences perses et arabes exposées aux musées du Louvre et de Cluny. Il est particulièrement impressionné par les céramiques émaillées à reflet métallique. Cette technique d’origine mésopotamienne a été à l’honneur en Perse et en Egypte durant les IXème et Xème siècles avant de s’épanouir dans l’Espagne musulmane des XIVème et XVème siècles. Son expression ultime se trouvant alors dans les fameux azulejos de Séville, Lamali ne manque pas d’aller étudier la question sur place. En 1918, sous l’impulsion du Résident général Hubert Lyautey - dont on sait la passion pour la vieille civilisation marocaine qu’il entend regénérer dans le plus strict respect de la tradition-, est créé, à Rabat, l’Office des industries d’art indigènes, dépendant du Service des Beaux-arts. Sa mission est de «centraliser toutes les questions concernant la production artistique indigène et spécialement de surveiller la fabrication et d’assurer l’écoulement des produits». (2) Pour ce faire, on procède, entre autres, à la création d’ateliers d’Etat «fonctionnant sous la direction de l’Office, dans des locaux du Protectorat, avec des matières premières et des salaires payés par lui». (3) Pour pourvoir au poste de responsable de l’atelier de céramique devant s’ouvrir dans ce cadre, M. de la Nézière, directeur de l’Office - bientôt transformé en Service des arts indigènes, rattaché à la Direction de l’enseignement -, s’enquiert auprès de l’administrateur de la Manufacture nationale de Sèvres. Tout naturellement, celui-ci lui recommande Lamali. Lorsque Lamali arrive à Safi, la production de la poterie d’art est déliquescente. Certes, les souks de la région croulent sous les objets en poterie brute (h’rach ou souki) à usage domestique courant (m’jamer, khabiat, gh’raref, etc.), mais les rares ateliers spécialisés dans la production de poterie fine, décorée et vernissée, vivotent péniblement. Deux ans durant, Lamali fait travailler deux ouvriers, leur fournissant matière première et encadrement. Las ! les ouvriers sont trop indisciplinés, leurs mauvaises habitudes trop ancrées. Lamali demande à Rabat l’autorisation d’ouvrir un cours de dessin et de tournage. Démarré en 1920 avec une dizaine d’élèves-apprentis, l’atelier-école de Lamali en compte 42 en 1924. Entre-temps, après avoir «réussi à former une équipe de tourneurs et de décorateurs suffisamment expérimentés et à créer un assez grand nombre de modèles susceptibles d’être vendus»,(4) Lamali reçoit, avec une subvention annuelle, «une licence du Protectorat de travailler à son compte et profit, à charge pour lui de continuer à former de nouveaux apprentis et à respecter les caractères traditionnels de la céramique marocaine». (5) A partir de son atelier safiot, Lamali va révolutionner le sort de la poterie marocaine. On lui doit tout ou presque. Il apprend à ses élèves à procéder au lavage de l’argile - celle de Safi est trop riche en calcaire et oxyde de fer - ; à retrouver les formes berbéro-romaines et arabo-andalouses d’origine ; à utiliser un système de canevas permettant aux apprentis de reproduire les motifs traditionnels safiots - qu’il répertorie - à main levée mais avec précision ; il améliore, enfin, la qualité de l’émail. «Hors de la tradition, point de salut», ainsi pourrait-on résumer le credo du Service des arts indigènes de l’époque. Pour obtenir l’autorisation de produire des faïences polychromes, Lamali doit montrer à ses supérieurs deux pièces anciennes exécutées à Safi et retrouvées par lui. Mieux, après une enquête approfondie auprès des vieux mâalems safiots, Lamali est en mesure de fournir l’explication de ce fameux bleu de Safi. Il est tout simplement dû à une pénurie de pigments lorsque, en temps de siba, la route entre Safi et Fès était coupée - le cobalt anglais arrivant, lui, par voie de mer. Nous devons beaucoup de nos connaissances sur l’histoire de la poterie de Safi à Lamali. Tout en prodiguant un enseignement et un encadrement conformes aux directives de sa hiérarchie, Lamali consacre une partie de son temps à ses recherches personnelles, en toute liberté. En 1925, la participation de Lamali à l’Exposition des arts décoratifs modernes à Paris lui vaut une médaille d’argent. Les objets que le maître céramiste expose lors de cette manifestation internationale historique - elle signe l’acte de naissance de ce qu’on appellera le mouvement Art déco - sont étonnants. Il s’agit de vases et de plats aux formes marocaines stylisées ou d’inspiration pré-Art déco, recouverts de décors géométriques empruntés aux tapis zaïan et sous émail à reflet métallique néo-persan ! Le style Lamali est né. Le maître artisan est indubitablement un précurseur de ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui l’ethno-design. D’une exposition coloniale à l’autre, Lamali collectionnera les distinctions. Des décennies durant, il fera œuvre de création tout en poussant plus loin son exigence technique. Une exigence technique que ses élèves transmettront à leur tour à leurs enfants et petits-enfants - formant ainsi de véritables dynasties safiotes de maîtres potiers, dont les fameux Serghini -, à défaut de prolonger son sens du design, lequel se retrouve plus certainement, aujourd’hui, à Marrakech. Lamali n’a jamais quitté Safi où il vivait avec sa famille dans une véritable maison-musée. Un Musée national de la céramique, contenant certaines de ses pièces a d’ailleurs ouvert ses portes en 1990 dans la cité portuaire. Lamali s’est éteint en 1971, laissant un souvenir vivace chez tous les Safiots comme chez l’ensemble des amateurs d’art marocain. Les collectionneurs se sont vite arrachés les pièces de céramique signées Lamali ou portant la marque de fabrique de son atelier (Asafi en lettres arabe, dans une calligraphie spécifique). Durant les années 60, Lamali n’a cessé de demander aux autorités de son pays d’adoption la création d’une école nationale des arts du feu à Safi - dont il disait vouloir faire une «petit Sèvres». En vain Par azititoudans Art, Culture, et Traditions.
@mooshinu
@mooshinu 3 жыл бұрын
Aucune mention des berbères, étonnant.
@legangdegaza
@legangdegaza 4 жыл бұрын
Lamali l algerien qui a formé les marocains,mais sa fait tellement mal au cul de le préciser !
@legangdegaza
@legangdegaza 2 жыл бұрын
@@Na64741 les poteries de Safi par l algérien Lamali,si si 😆
@legangdegaza
@legangdegaza 2 жыл бұрын
@@Na64741 tape sur youtube (Céramique de Safi a l espace actua) C'est une petite vidéo ou tu apprendra beaucoup de choses😆
@sarahtricmart9438
@sarahtricmart9438 4 жыл бұрын
Tribus arabique hhhhhh
@shama1202
@shama1202 2 жыл бұрын
Personne ne parle
@amineben.2814
@amineben.2814 4 жыл бұрын
Des voleurs et des menteurs!!!
@a2syou3
@a2syou3 4 жыл бұрын
En quoi il y a vole ? El Lamali est un maître potier qui a apporté son style. Il n est pas caché au contraire reconnu. Son travail est reconnu au Maroc. Le Maroc n à rien volé la poterie Safi existait déja et El Lamali a ajouter sa touche par son grand talent. Et il vécu tout le reste de sa vie à Safi.
@etoilefilante9586
@etoilefilante9586 3 жыл бұрын
@@a2syou3 Non monsieur.. j ai vu une vidéo très ancienne marocaine ou des gens honnêtes ont déclaré qu il a été fait appel à boujemma l'ampli,par équipe il n y avaitque du plastique pour manger.
@raishamidou9949
@raishamidou9949 2 жыл бұрын
École amali mais il ne dit pas qui est ce monsieur EL AMALI ça reste coincé en travers de la gorge ???!!!
@BOAWON
@BOAWON 2 жыл бұрын
Les DZeubs c'est comme des sans-papiers de l'histoire qui s'accroche a un nom ici ou un petit fait la-bas pour se donner de l'importance... Je peux comprendre qu'apres 300+150 ans de colonisation c'est dificile de ce creer une identitée.
@salmayahyaoui6109
@salmayahyaoui6109 2 жыл бұрын
La base de tout cela chez est les berbères les amazighs. Le tajine les bols lgasaa tajine pour cuire le pain lkhabia zlayfs jbbanats agdour de eau et celui de la huile lgolla dsmen lgolla tanjia, tekint et son couscousier pour le couscous.....etc tout cela dans origine amazighe berbère. Et arrêtez svp vos conneries qui n ont plus de fin.
MEDITERRANEO - Au Maroc : Safi, la capitale de la céramique en déclin
8:29
France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur
Рет қаралды 14 М.
Il fabrique des céramiques comme à l’époque des Gaulois et des Romains
25:32
Passe-moi les jumelles
Рет қаралды 351 М.
Chain Game Strong ⛓️
00:21
Anwar Jibawi
Рет қаралды 41 МЛН
My scorpion was taken away from me 😢
00:55
TyphoonFast 5
Рет қаралды 2,7 МЛН
Правильный подход к детям
00:18
Beatrise
Рет қаралды 11 МЛН
La colline des potiers
16:47
TOUT LE MONDE VIDEO
Рет қаралды 19 М.
AmouddouTV 137 آسفي... سحر الأنامل
51:26
Amouddou TV | HD | قناة الأفلام الوثائقية أمودّو
Рет қаралды 78 М.
C'est pas sorcier -CERAMIQUES : 
sorciers tournent autour du pot
26:33
C'est pas sorcier
Рет қаралды 572 М.
La céramique préhistorique
23:17
gto974
Рет қаралды 7 М.
Le documentaire  :  Arts traditionnels - LA POTERIE
27:14
MarocDocumentaire
Рет қаралды 28 М.
Chain Game Strong ⛓️
00:21
Anwar Jibawi
Рет қаралды 41 МЛН