1/2. Sexe : Envoyé spécial vous manipule ! Décryptage ci-dessous à lire des manipulations

Décryptage des manipulations (Durée 14mn) : En quoi un sifflet, un frottement, une injure et une insulte sont-ils du « harcèlement », qui plus est « condamnable » ? Rappel :
tout harcèlement n'est pas condamnable, comme toute violence : votre femme vous harcèle bien pour vous faire acheter une petite culotte, sans que cela soit asscocié à de la malveillance, du danger, du préjudice, une agression. Preuve du caractère discriminatoire et sexiste contre les hommes que le délit du "harcèlement sexuel" où l'on mélange les formes à prescrire et les formes bénignes.. quand c'est un homme. On se pose la question à la lumière de ce reportage manipulatoire d'Envoyé spécial ; un de plus dira t'on !
En quoi l'agression physique de Linda dans le Bus a t'elle un rapport avec le thème ? Mais aucun rapport ! C'est du conditionnement pavlovien ! (pour vous impressionner)
Simultanément, toujours « une musique intensément dramatique, et donc négative (SC) et des images floutées (SC) » de la femme renforcent le conditionnement dans le même sens.
Entre nous, il n'y a pas que les femmes qui sont « emmerdés » dans la rue ! Surtout dans ces quartiers mal famés (choisies comme par hasard ??) : banlieues, gares, etc. ; surtout à des heures tardives et aux populations arabo-musulmanes mal intégrées, mais pourtant jamais accusées et désignées. C'est qu'il s'agit de désigner un sexe : tous les hommes. Le sexisme envers les hommes de ces journalistes féminophiles du reportage suinte la nausée : le sexisme d'État devrait être pourtant condamnable pénalement, car commis par des professionnels (ministres, profs) tenues à la neutralité : notons que ce sexisme envers les hommes fonctionne souvent par des non-dits et des sous-entendues, et dans l'instant même de la dénonciation du sexisme masculin par les intéressé(e)s :
« Je dénonce le sexisme bon-enfant des hommes, mais je le pratique en tant que ministre, journaliste, profs, etc.» Insidieux et sournois comme le Mal féminin ?
La manière de traiter l'information ici est « idéologique ». En quoi un baisé volé (la journaliste nous dit « imposé » pour conditionner le public) est-il condamnable ? Comme dirait une féministe, pour une fois objective, ce qui est rare, « les avances sexuelles non désirées font partie de la nature et même de la culture : « pour recevoir une attention sexuelle désirée, il faut en donner et recevoir pas mal de non désirées. En vérité, si on ne permettait à personne de prendre le risque d'offrir une attention sexuelle non sollicitée, nous serions tous des créatures solitaires. (Cité par Badinter, dans Fausse route, p 45, Katie Roiphe, Livre de poche) Les termes de la féminophile de France 2 sont trop bien choisies pour faire passer la femme pour une victime (idéologie), en jouant sur l'émotion et l'affectif. Comme on ne peut rien reprocher aux hommes dans ce reportage, et le justifier : « aucun harcèlement sexuel condamnable visible (notion idéologique ne pouvant se définir) », on l'associe à d'autres choses : agressions physiques, quant ce n'est pas des « pseudo-agressions sexuelles », inventées par deux " tarés " de policiers : oui, des pseudo « agressions sexuelles » où il n'y a pas de « victimes qui se sentent et se disent victimes (cf.partie 2), de conscience et d'intention d'agressser de la part de l'homme ; et de violences faisant trauma objectivables ». On invente dans ce reportage, et dans les lois, des délits et des victimes, là où il n'y en a pas ; des « harceleurs » là où il n'y en a pas, car en matière de sexualité masculine, tout est « idéologique » : on satisfait la minorité féministe intégriste, qui est relayée toujours complaisamment par nos médias et politiques LR/UDI/ front de gauche ! On retrouve des idéologues, dont Baldeck, incapable de donner une définition sérieuse et consistante du « harcèlement sexuel » (11.37mn): la répétition de remarques et de propos sexuels le qualifierait ! LOL : Le pire, c'est que cette saleté de femme compare les insultes à caractère raciste (charge historique forte, Holocauste, etc.) aux « insultes sexuelles (14:00 mn) » : de toute façon, ça n'a aucun rapport avec le thème ! (c'est encore du conditionnement) Ainsi, pour cette intégriste relevant de la pathologie, c'est un « trouble à l'Ordre public » équivalent à la référence historique faisant exception (millions de juifs gazés) ! À ce rythme, tout propos non convenable sera « délictueux » avec de telles comparaisons monstrueuses et ignobles, et une telle logique archaique et primaire !
Moralité : « Que c'est dur de qualifier un harcèlement condamnable ! »
1 ère partie (envoyé spécial, 21 mars 2013) Envie de cliquer "Je n'aime pas", car ce reportage est manipulée ? Je le comprends ; mais merci de cliquer sur "J'aime"...si vous le souhaitez, pour amener + de visites, mais faites comme vous l'entendez.
2ème partie facultative : • 2/2. Sexe : Envoyé spé...
E. Jourdain, Psychanalyste