On est surpris par la violence de l’époque ( le colleur d’affiches tué par l’extrême-droite , la violence de l’IRA), mais aussi par le coté décousu des sujets, le manque d’images… 13 minutes en tout et pour tout. La faute au week-end sans doute. Alors que l’Italie entre dans les années de plomb, pourquoi parler de cette querelle de clochers entre l’Aquila et Pescara , véritable bouche-trou à la Peppone ou clin d’œil à Fernandel ? Pas un mot sur la vague de froid en Scandinavie ni sur la grève historique des chemins de fer suédois, qui au même moment bloquait le trafic ferroviaire et une bonne partie de l’économie de la Suède ! Et que dire de la présentation (abracadabrante) de la météo franco-française en début de Journal …Cela dit, Jean Lanzi était quand même un excellent journaliste, particulièrement consciencieux