Alzheimer à 40 ans : comment vivre avec la maladie ? - In Vivo

[@flo22041981]

Quelle belle initiative ❤❤❤

[@CardaBelle]

Ce reportage est plein d'espoir humainement parlant. Merci

[@grogneux]

Merci à ces personnels soignants, incroyables de bonté et de douceur, et courage aux proches aidants. Comment ne pas pleurer devant les témoignages ? Challenge impossible.

[@cecileorsoni4567]

Ce commentaire est honteux.

[@corinnecortes1304]

😢

[@juliespace-j8h]

L'état ferait tellement d'économies avec une possibilité d'euthanasie dès pose du diagnostic, c'est vraiment le combat à mener pour qu'on puisse toustes vivre mieux ensemble

[@Mr0cyril0]

Si on euthanasiait les cons vous seriez dans la charrette ! Comment peut-on parler d’économie avec un sujet sur la fin de vie !!!

[@zenziwe5966]

Avec l'automatisation (usines sans humains déjà en Chine), l'AI, quasiment tout le monde va être inutile. Êtes vous prêt pour l'injection ?

[@juliespace-j8h]

@@zenziwe5966 de toute façon il faut sauver la planète du réchauffement climatique, toutes les méthodes indolores seront bonnes à prendre

[@zenziwe5966]

Réponse illogique, attention Alzheimer approche à grands pas 😅

[@grogneux]

Julie, je me doute que vous ne vouliez pas dire exactement ce que vous avez dit et que c'est probablement un mauvais choix de mot, mais je souhaite vous expliquer en quoi votre commentaire (qui, j'espère, ne définit pas votre pensée) est extrêmement problématique : 1- Le motif d'un suicide assisté ou d'une euthanasie ne doit JAMAIS être financier, sinon vous exposez notre société à l'ignominie. Pour le cas du suicide assisté, il devrait reposer entièrement sur le DROIT A DISPOSER DE SON CORPS, c'est-à-dire être le choix de la personne dans une situation où elle est libre de faire le choix inverse (et donc la possibilité d'une prise en charge humaine et adaptée par des services publics bien dotés, pour que son choix ne soit pas entre la peste et le choléra). Dans certaines circonstances très spécifiques (incapacité à exprimer soi-même sa volonté, état incurable et douloureux, bref des conditions qui sont déjà à peu près ainsi dans la loi pour l'euthanasie), le choix de médecins et de la famille peut entrer en compte, mais jamais aucun critère financier n'est tolérable, la vie est sacrée (et je le dis en tant qu'athée). 2- De l'argent, il y en a, il faut juste la volonté d'aller le chercher, ce que n'ont pas ou n'ont pas eu les gouvernements de ploutocrates qui se sont succédé depuis plusieurs dizaines d'années. Nous avons une cinquantaine de milliardaires français, et des centaines de milliers de multi-millionnaires, leur contribution renforcée permet toutes les politiques permettant une vie digne aux malades et aux vieux. 3- On ne vivrait pas "mieux ensemble" en souhaitant sacrifier certains d'entre nous pour des questions budgétaires. Au contraire, on juge une société à la manière dont elle traite les gens dans le besoin, les faibles, les malades, les minorités, les étrangers, et la solution "qu'ils meurent" n'est vraiment, vraiment pas acceptable, pas audible, pas dicible.