AMAZING GRACE en breton (Mond davédoh), par Louis MELENNEC de BEYRE

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Louis Melennec

Louis Melennec

Күн бұрын

Пікірлер: 35
@virginiepestalozzi1683
@virginiepestalozzi1683 Жыл бұрын
Magnifique !!! Merci…❤
@mamithe29
@mamithe29 Жыл бұрын
que c est beau et émouvant..............merci
@yann-mikel8013
@yann-mikel8013 7 жыл бұрын
Aujourd'hui notre fils aurait 35 ans. Il y a 13 ans qu'il nous a quitté, j'écoute en ce jour, en boucle cette musique.
@christianeboitte7676
@christianeboitte7676 3 жыл бұрын
De tout coeur avec vous de Belgique. Une maman belge qui a le coeur breton et dont le grand père a participé à la Grande Pèche.
@odilecade1370
@odilecade1370 11 ай бұрын
quelle belle voix merci
@DyllineXXII
@DyllineXXII 13 күн бұрын
Breizh ma bro 🫶🎄 joyeux Noël a tous
@bretonnedu2957
@bretonnedu2957 5 жыл бұрын
Oh comme c'est magnifique en breton,,,, encore plus!!!!!!!!!!!!!!!!
@loiclepajolec7262
@loiclepajolec7262 Жыл бұрын
Sublime en breton comme en anglais.
@henri-patricktecoz4371
@henri-patricktecoz4371 7 жыл бұрын
Quelle voix puissante de notre cher Docteur Louis Melenec.
@enzoprovence9723
@enzoprovence9723 Жыл бұрын
Tout est beau la présentation le chant la voix je suis sous le charme
@odilecade1370
@odilecade1370 Жыл бұрын
Superbe
@joncourgilles9059
@joncourgilles9059 7 жыл бұрын
Dans trois ans , je quitte le monde. Dans cinq ans, je refonde la Trappe. Honnêtement, je ne m'en suis pas capable. Mais c'est une belle folie écrite. Si tu es toujours vivant,
@tombzh2956
@tombzh2956 10 жыл бұрын
cantique produit par roger abjean et amélioré par la chorale de landivisiau dont fesais parti mon grand pere RIP vive la bretagne, breizh atao
@gilamis7957
@gilamis7957 Жыл бұрын
Bonjour Je viens de trouver cette interpretation , tres bonne Vous avez raison pour Roger ABJEAN, que j'ai bien connu car c'etait mon frere qui dirigeai les Kanerien Salud d eoc'h
@abelcordonnier1951
@abelcordonnier1951 6 жыл бұрын
terre de Bretagne ,les racine de mon epouse qui refflete ton image j aime visiter cette beaute *changeante chaque qui nous detend
@troalenirene4109
@troalenirene4109 14 күн бұрын
❤❤❤❤❤❤
@louismelennec7958
@louismelennec7958 10 жыл бұрын
Joyeux Noël, cher Maestro VOLODOS, qui m'avez enseigné la mélodie, de 1981 à 1984, à paris, fort de votre carrière prestigieuse en Russie, au Bolchoi, et au Kirov, et de votre sensibilité particulière à ce style, le plus difficile et le plus élaboré de l'art du chant. Louis mélennec de Beyre.
@nolwenngourdin5887
@nolwenngourdin5887 11 жыл бұрын
trop bien !!!je suis en train de l aprendre
@bernezBzh29
@bernezBzh29 5 жыл бұрын
Gourc'hemennoù deoc'h da zeskiñ hor yezh !
@nolwenngourdin5887
@nolwenngourdin5887 4 жыл бұрын
bernez Géléoc breizh ma bro🥰
@louismelennec7958
@louismelennec7958 6 жыл бұрын
DE LA PART DE IRENE C. (juillet 2018) Je viens d'écouter , en boucle , avec ravissement , les enregistrements que vous avez eu la gentillesse de m'envoyer . Voix splendide , envoûtante , mais le son de mon ordinateur ne lui rend pas pleinement hommage. Est il possible de se procurer des enregistrements de vous dans le commerce afin de vous écouter avec une meilleure qualité de son ? J'ai beaucoup aimé vos anecdotes de scènes , truculentes et racontées avec vie et humour. Merci d'avoir apporté cette note de talent à une fin d'après midi qui se languissait sous une pluie hésitante.
@berthofr
@berthofr 5 жыл бұрын
Avez vous un casque pour écouter votre musique l'ordi? c'est nettement mieux
@louismelennec7958
@louismelennec7958 5 жыл бұрын
QUELQUES CRITIQUES « Grands interprètes » : « Louis de Beyre, baryton à la voix d´or » Ouest France (23 Juillet 1987). « Yannick Kerjose et Louis de Beyre, tous les deux au plus haut niveau, ont fait l´unanimité du public ». Ute Marty, 14 septembre 1988 (Festival de Camaret, Août 1988). « Une superbe voix ... les superlatifs ne sont pas de trop ». Sinclair (Musique et Tradition , Janvier- Avril 1988 , salle Cortot). « Un vétitable régal. Mille merci à vous Louis de Beyre ». Philipp Luke, directeur du Bloomsburry arts festival ( Récitai à Londres, Novembre 1988). « Sens des nuances, vaillance et puissance, poésie raffinée, éclectisme. Une soirée mémorable ». Jacques Darras, Ouest France (Festival de Locronan,16 Juillet 1988). « Sa voix est belle ». Yves Bastide, l´Echo Républicain (Semaines musicales de Chartres, 4 Juillet 1988). « Le public envoûté », « Louis de Beyre a su prouver que le public peut s´enthousiasmer pour la voix humaine », « Un temps fort du festival ». Festival de Tréguier, Le télégramme, Ouest France (22 Août 1988). « Le timbre sombre de sa voix évoque la basse russe Chaliapine, ce qui n´est pas peu dire ». La Presse de la Manche (9 Août 1989). « Je vous ai entendu avec beaucoup de plaisir; je vous félicite de tout coeur ». Georges Cziffra (15 Décembre 1987, Fondation Cziffra). « Il gagne son public par la belle chaleur humaine qui se dégage de lui, par son talent, par la vérité de toutes ses interprétations ». Yvonne Desportes, Grand Prix de Rome. « Il est habité par une sorte de magie et possède au plus haut point l´art d´entrer dans les personnages qu´il incarne ; il possède ce « plus », don inestimable qu´aucun travail ne peut procurer ; nous n´avons pas fini d´entendre parler de cet artiste ». Yette Mussat, Visages du 20ème siècle (1990). « Une science vocale parfaite ». Ouest France (Festival de Bayeux, 12 Août 1991). « Ce diable d´homme n´a pas fini de nous surprendre ! ». Yette Mussat, Visages du 20ème siècle (1996). « Magnifique concert ; il excelle par son interprétation enthousiaste et raffinée », « Il a le don de piaire et de faire rêver ». N. Turtach et E. Radacineanu,Genève (Janvier 1989)l. « De Pergolèse à Puccini , il est à l´aise dans tous les rôles. Comment fait-il ? II y a de l´acteur dans ce chanteur-là ». Michèle Auclair ( Festival de Saint Julien, Paris 1997).
@jean-bernardbrisset4589
@jean-bernardbrisset4589 7 жыл бұрын
Cet hymne est très beau, même en breton.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 7 жыл бұрын
N'avez-vous pas voulu écrire : "SURTOUT EN BRETON" ?
@louismelennec7958
@louismelennec7958 10 жыл бұрын
Par GOOGLE, sur la toile : LE LIVRE BLEU : LES LETTRES QUI VONT FAIRE PLEURER LES BRETONS. Par Louis Mélennec
@bretonnedu2957
@bretonnedu2957 5 жыл бұрын
Je pleure souvent quand j'entends du breton,,, de ne jamais l'avoir appris!!!!! trugarez!!!!!!!!!!!! trugarez vras,, je vais acheter votre livre,,,,,,,,,,,, Gourc'hemmenoù,,, laisser des traces pour les jeunes générations .......
@louismelennec7958
@louismelennec7958 2 жыл бұрын
VISAGES DU 20 ème SIECLE. L'ensemble "Sortilèges" Louis MELENNEC de Beyre, créateur de l'Ensemble "SORTILEGES" II y a bientôt dix ans, je présentais à nos lecteurs un baryton, Louis de Beyre et j´écrivais à l´époque : "Une grande voix. II est habité par une sorte de magie et possède au plus haut point l´art d´entrer dans les personnages qu´il incarne. II possède ce "plus", don inestimable qu´aucun travail ne peut procurer nous n´avons pas fini d´entendre parler de cet artiste." Mes intuitions se sont révélées exactes. Louis de Beyre a poursuivi une brillante carrière de soliste, chantant tour à tour la mélodie, l´Opéra, qu´il interprète d´une manière émouvante, mais aussi l´opérette qu´il affectionne particulièrement, privilégiant cependant toujours le répertoire sacré. Ce celte amoureux du pays de ses ancêtres, est l´un des rares à programmer dans ses concerts le répertoire traditionnel breton. Profondément cultivé, cet artiste refuse à être l´homme d´une seule passion. II a été médecin et juriste, il a enseigné à la Faculté de droit et à la Faculté de médecine. Il se plaît à dire que rien n´est prémédité dans sa vie et que c´est la providence qui décide pour lui. Mais, quant à moi, je ne le crois qu´à moitié. Cette simplicité apparente et vraie cache un profond altruisme, une réelle capacité à donner et à aller vers les autres. C´est ce qui l´a conduit, il y a quelques mois à créer un ensemble original et, je dirais même inattendu. II a pris l´audacieuse initiative de réunir des instruments que l´on n´est pas accoutumé à voir concerter ensemble. Cet ensemble comporte en effet, outre une voix humaine, un clavecin, un violon, un violoncelle, un haubois et un basson. Si l´on demande à Louis de Beyre pourquoi cette association étonnante ? il répond en riant qu´il n´y a, en vérité, aucune explication logique ; tout s´est fait par LA RENCONTRE inopinée de cinq musiciens, qui se sont trouvés d´emblée sur la même longueur d´onde et ont pris conscience qu´ils partageaient la même conception de la Musique. Autour de Louis de Beyre : Brigitte Rapetti violon, Karum Kinoshda clavecin, Philippe Pélissier haubois, tous artistes de qualité exceptionnelle et d´une prodigieuse sensibilité, le cinquième instrument : basson ou violoncelle, varie suivant les ceuvres interprétées. Quel répertoire choisir pour cet ensemble original ? Louis de Beyre répond : Vivaldi, Bach, Charpentier entre autres... mais ce qui est essentiel c´est que les ceuvres soient belles, émouvantes et faciles à recevoir sans pour autant être aisées à interpréter. Avant tout elles doivent permettre aux artistes de communier avec le public dans la joie comme dans le recueillement. C´est dans les églises qu´il aime particulièrement se produire. Les moments les plus forts de sa carrière musicale, dit-il, se sont déroulés dans ces lieux privilégiés tels que Saint-Germain-des-Prés, Saint-Roch, Saint-Sulpice, Saint-Louis. J´ajouterai que c´est peut-être là que sa voix émouvante, riche, pleine, chaude trouve toute son ampleur. L´ensemble "SORTILEGES" quant à lui est voué sans nul doute à un avenir brillant. Cette étonnante gageure, va per- mettre aux mélomanes de découvrir l´heureux mariage d´instruments que l´on ne s´attend guère à voir ensemble. Encore une idée géniale de Louis de Beyre. Ce diable d´homme n´a pas fini de nous surprendre! Yette MUSSAT
@louismelennec7958
@louismelennec7958 6 жыл бұрын
LANGUE BRETONNE : L'ASSASSINAT. www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=m%C3%A9lennec+langues
@louismelennec7958
@louismelennec7958 6 жыл бұрын
LA DIGNITE DU PEUPLE BRETON, LA BARBARIE DU PAYS CRIMINEL. (Extraits de l’Appel du peuple breton à toutes les nations de la terre, texte propulsé des dizaines de milliers de fois sur la toile). ________________________________________________________ La France ayant retrouvé un calme relatif après la folie révolutionnaire, des hommes au service du système réinventent l’Histoire, qui est enseignée par la “République” dans les écoles. La France s’arroge le droit insensé de s’intituler “nation”, tandis que le peuple breton, beaucoup plus ancien que le peuple français, est réduit à une sorte de magma informe, reliquat des grottes de Cro-Magnon, parlant un jargon inarticulé et quasiment incompréhensible. Les Bretons n’ont plus aucun accès à leur histoire nationale, ils sont victimes d’un véritable lavage de cerveaux; après avoir cultivé la fierté d’être Bretons, ils connaissent ce phénomène douloureux : la honte de soi. La langue bretonne est humiliée et persécutée, au profit de l’idiome présenté comme la langue des langues, l’Unique, l’Universelle, la Seule digne d’être parlée dans tout l’univers : le français. La langue et la culture Bretonnes sont l’objet d’un assassinat programmé, qui se poursuit encore. Dès la « révolution », dénommée « jargon », « patois » par les Français, elle est interdite dans les écoles, persécutée dans les églises. De nombreuses directives préfectorales attestent de la volonté d’éradiquer totalement notre langue. Le pouvoir français invente un concept insultant : les curés, s’exprimant en chaire dans la seule langue comprise de leurs fidèles, sont accusés de « faire un usage abusif du breton » ! Leurs salaires, versés par l’Etat, sous le régime concordataire, sont supprimés. Crime horrible : les enfants convaincus de ne pas parler suffisamment le français, baptisé « langue nationale », sont privés de la communion ; les malheureux, - ils n’en connaissent pas d’autres - sont punis ; on les oblige à se dénoncer mutuellement, à se moquer les uns des autres, en se transmettant un objet dénommé ” symbole” porté autour du cou, attestant de l’infamie d’avoir parlé la langue de leurs ancêtres. Les instituteurs, associés à cette oeuvre de bourreaux, sont encouragés à mettre en œuvre la corruption des mots bretons, afin que d’une ville à l’autre, plus aucun Breton ne se comprenne dans une autre langue que le français. Pendant qu’on assassine leur langue et leur histoire, les Bretons doivent apprendre par cœur, dans les écoles de la « République », que la France est l’inventrice des droits de l’homme, et que sa langue est la plus sublime que l’espèce humaine ait inventée. Ils ne sont pas admis à étudier leurs écrivains nationaux - on nie même qu’ils en aient, puisque selon les accusations françaises, ce peuple de poètes n’a ni littérature, ni grammaire -, mais seulement à étudier la littérature française qui, sous la plume de nombreux auteurs ( Hugo, Balzac, Prosper Mérimée, Zola…) n’ont pour la Bretagne que pitié, mépris ou dégoût : les Bretons sont une race inférieure, paresseuse, sale, puante, ivrogne, superstitieuse, bornée, n’ayant pour seules richesse que son jargon et sa boue. En 1900, le travail de lessivage des esprits est accompli : les cerveaux des Bretons ont été vidés de leur substance, on y a introduit une greffe cérébrale « made in France » ; leur fierté naturelle - décrite par tous les auteurs au cours de l’histoire, depuis le haut moyen- âge -, a fait place à la honte de soi. La population, comme tous les peuples acculturés, est complexée, devenue quasi amorphe, et a perdu sa créativité. Durant les guerres françaises, qui ne sont pas les siennes, la Bretagne est amputée de sa jeunesse, depuis la prétendue révolution française jusqu’à aujourd’hui : les Bretons servent de chair à canon. Durant la seconde guerre mondiale, la France étant sourde à leurs revendications les plus légitimes, quelques Bretons patriotes tentent de négocier avec l’Allemagne quelques libertés pour la Bretagne. Les premières émissions radiophoniques en breton, ainsi que les premiers cours de breton dans les écoles naissent dans ce contexte. Le régime du maréchal Pétain, en 1941, redoutant la renaissance d’un gouvernement breton indépendant, décide de procéder à une mutilation du territoire national des Bretons, en vertu du principe bien connu : diviser pour régner. Le pays comportait cinq départements ; le plus riche, la Loire Atlantique, breton depuis onze siècles, est détaché de la patrie-mère, afin de le dissoudre dans la France. Cette « opération », qui ampute le pays de son poumon économique, représentant aujourd’hui 33 pour 100 de sa richesse, a été reconduit en 2014, par le pays voisin, sans aucune consultation des Bretons, avec la complicité de nombreux « élus », en violation gravissime du droit international, qui interdit d’une manière impérative de réduire les territoires des nations premières sans leur consentement. Une énorme manipulation va suivre. Les Bretons ont été des résistants intransigeants durant la dernière guerre, ne s’identifiant ni de près ni de près ni de loin à l’occupant nazi, pas davantage avec le nazisme, idéologie que la plupart ne connaissent même pas : l’occupant est pour lui un ennemi, non une idéologie. L’épisode de l’Ile de Sein, qui envoie à Londres tous ses hommes valides, est universellement connu. Mais parce que quelques centaines de Bretons patriotes ont négocié en 1940 avec les Allemands le droit d’exister, après avoir été écrasés pendant des siècles par la France, le gouvernement français manipule l’opinion : les Bretons sont désignés comme les symboles de la collaboration avec l’Allemagne. On procède à des arrestations en série, à des épurations, à des exécutions sommaires, à des campagnes de presse culpabilisantes et ignobles, là où il s’est agi, en tout et pour tout, de faire rendre à ce peuple ce qu’on lui a volé : ses Droits et sa Dignité. Cette propagande aux dépens des Bretons, a été si délétère et si efficace, que le sieur Jean-Luc Mélenchon, il y a quelques années, a pu déclarer publiquement - sans en être encore puni -, que le breton a été la langue de la collaboration, laquelle fut faite exclusivement en français ! Même des gens que l’on croit d’intelligence normale ont été contaminés par ce discours inique. L’ amputation du territoire, maintenue après la guerre, donne naissance à une imposture, la création d’ une région “administrative” ne comportant que quatre départements au lieu de cinq, dénommée ridiculement “Bretagne” par la France. Le territoire le plus important - Nantes et sa région -, est inclus dans une région fantoche, dite « Pays de Loire ». L’ONU et les instances internationales, saisies par des Bretons, sont parfaitement informées de cet état de choses. Depuis, l’enseignement de l’Histoire dans les écoles et les facultés est toujours celui de la France. Les prétendus moyens pour protéger la langue bretonne sont calculés pour être mortifères ; chaque année, alors que la France autorise la pseudo-formation de plusieurs centaines de locuteurs effectifs, plusieurs milliers de locuteurs réels, bretons âgés, meurent, condamnant inéluctablement la langue à disparaitre à court terme. Les demandes de création de postes d’enseignement sont ignorés par les politiques et par les administratifs. Des enfants subissent des discriminations linguistiques - au regard notamment des prénoms bretons que veulent leur donner leurs parents. Tout ceci, malgré la condamnation de la France concernant les enfants Le Goarnig. La fusion de communes, ainsi que la création de nouveaux quartiers, a souvent pour but de débaptiser des villes et des quartiers, en effaçant toute trace de leur identité bretonne. Des mesures multiples ont été prises à Nantes par des personnages connus pour «débretonniser » la ville et son département.” Le pays qui a fait cela est une nation barbare et méprisable. Honte à ceux qui s'associent à cette infamie de vouloir détruire un peuple. Ils sont déjà punis : notre jeunesse les désigne sous le nom peu flatteur de COLLABOS.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 5 жыл бұрын
BRO GOZH MA ZADOU, hymne national breton. kzbin.info/www/bejne/jIKpYmekmLikpZI
@louismelennec7958
@louismelennec7958 3 жыл бұрын
CHRONIQUE D’UN LINGUICIDE : la mise à mort de la langue bretonne par le pays des doigts de l'homme; (LOUIS MELENNEC). J’ai écrit des tonnes de littérature sur les langues, non en qualité de linguiste, mais d’historien. Sous l’ancien régime, la langue littéraire et administrative, dénommée « langue française », n’était parlée que par quinze pour cent de la population. Il y avait en France plus de trente langues locales, certaines authentiques langues nationales, méprisées par les cinglés de Paris sous des noms divers : jargons, patois, résidus de la féodalité, séquelles de la langue de Cro-Magnon, borborygmes animaux, etc. Une normalisation douce était en cours depuis la création de l’Académie française en 1635, par Richelieu. Mais à partir de 1789, le pays des doigts de l'homme procède à un assassinat de ces langues : un vrai carnage. L’élaboration de la langue française n’est pas un phénomène spontané, mais une construction laborieuse et autoritaire, imposée par un pouvoir central punitif et répressif, au prix d’un authentique lavage des cerveaux, et d’une lutte effrénée contre les identités locales, et de la personnalité des régions multiples du royaume de France. François Mitterrand - de triste mémoire, que Dieu lui pardonne -, fait panthéoniser l’abbé Grégoire, en 1989. Cet homme est l’auteur de l’assassinat des langues du royaume. Les jeunes Bretons veulent extraire le cadavre de l’abbé Grégoire de ce lieu auguste, comme le fut celui de Marat. Ils le dénomment aujourd’hui l’assassin des langues. Notre langue bretonne était parlée dans l'antiquité - sous une forme évidemment très différente de celle d’aujourd’hui. A partir de 1650, et de l’abbé Maunoir, elle a, génération après génération, été épurée, enrichie, modernisée - comme bien d’autres langues, d’ailleurs, par l’utilisation des mêmes procédés que les linguistes des autres pays : élimination de mots étrangers, création de néologismes, introduction de mots empruntés aux langues sœurs (le cornouaillais, le gallois, pour les Bretons …), simplification et unification de l’orthographe, suppression des différences entre la langue parlée et la langue écrite, etc.. Le premier dictionnaire tri-lingue (breton, français, latin) a été imprimé non en France, mais en Bretagne, sous le nom de Catholicon, en 1499. Les contributions de Le Gonidec, La Villemarqué, Roparz Hémon, ont été majeures. Interdite d’être parlée dans les écoles, Persécutée, humiliée, elle a été modernisée, à partir du 18ème siècle, par des gens de très haut niveau, linguistes réputés, en rapport avec les grands esprits de leur temps, est devenue une langue littéraire sous l'effet des grammairiens et des agrégés, à partir de 1900. Cette langue, qui comportait plusieurs dialectes - quatre selon les uns, cinq selon les autres, a été unifiée au vingtième siècle par des hommes de lettre éminents, des grammairiens, des agrégés de l’université, en dépit des oppositions de la France, dont le but - qui n’a pas varié depuis lors - est la destruction programmée de ce qu’elle dénomme les langues régionales. Aux dires des spécialistes de cette langue - ce que je ne suis pas, car dans mon enfance elle était interdite - , et je n’ai parlé qu’une seule langue, celle du colonisateur, les chefs d'oeuvre abondent; d’aucuns comparent Malmanche à Shakespeare - ce qui est sans doute excessif. Youenn Drézen, bigouden de Pont l’Abbé, est l’auteur de plusieurs chefs-d’oeuvre, et est l’un des auteurs, liés avec Roparz Hémon - dont il fut le professeur de breton ! -, qui a contribué à sauver la langue de la disparition totale. En revanche, s’il n’y avait eu sur terre que des communistes - comme madame Morvan -, la langue bretonne serait morte et enterrée depuis longtemps. D’authentiques débiles mentaux - dont certains de l’académie française , ont prétendu que la langue bretonne ne comporte ni vocabulaire, ni grammaire, ni poésie, ni aucun ouvrage qui mérite de retenir l’attention. Ainsi Jean Dutourd, lorsque les Bretons ont arraché aux Français l’instauration d’un CAPES de breton : « pourquoi pas, pendant qu’on y est, un CAPES de mendicité ? ». Et cet autre : « Il y avait déjà les putes bretonnes ; ne voila-t-il pas qu’ils veulent maintenant une littérature ? » En réalité, nous possédons des ouvrages nombreux et très savants de linguistique, de grammaire, de théories des langues. Ces deux phrases démontrent ce qu’est la subtilité française. La langue bretonne est plus fine que le français, elle exprime toutes les nuances de la pensée. La littérature bretonne est si vaste (des milliers d’oeuvre), qu’aucun auteur n’a pu la lire en entier. Elle a produit des ouvrages magnifiques dans tous les genres : la prose, la poésie, le théâtre, les contes, les légendes, les chansons, les ouvrages lyriques religieux surtout ... Nos poètes sont infiniment plus sensibles que les poètes français, qui souvent ne sont que des versificateurs. Malheureusement, sa faible extension limite son usage, ce qui est dommage pour tous. Ceux qui ont, comme moi, subi les persécutions qui nous ont été infligées par le pays des doigts de l’homme, ne peuvent s’empêcher de reproduire ici deux citations qui réjouiront le coeur de ces victimes de l’ignorance et de la sottise. La première est d’Henriette Walter, la grande linguiste, qui fut l’une de mes correspondantes : « le français n'est jamais qu'un patois qui a réussi ». L’un de nos plus grands linguistes, Goulven Pennoad, exclu de l’université à cause de son savoir, et surtout de ses opinions politiques, non conformes à la doxa (il n’était pas de gôche) a écrit, arguments à l’appui : « Le français est l’un des idiomes le plus minable d’Europe ; ceci ne tient pas à la richesse du breton, mais à la pauvreté intrinsèque de la langue française, et de toutes les règles qui ont brimé sa spontanéité ». La France fait semblant d'autoriser quelques classes bilingues : elle joue la montre, car nous perdons 2000 locuteurs chaque année. Son but n’a jamais varié : c’est la mise à mort de la langue bretonne.
@louismelennec7958
@louismelennec7958 5 жыл бұрын
www.kan-iliz.com/adoromp-holl/
@louismelennec7958
@louismelennec7958 4 жыл бұрын
LES CRIMES COMMIS PAR LA FRANCE EN BRETAGNE : L’ASSASSINAT DU PLOUKISTAN OCCIDENTAL PAR LE PAYS DES DOIGTS DE L’HOMME. HOLLANDE A LU LE LIVRE BLEU, faites en autant. Le rapport qui suit a été lu par Louis Mélennec à Bruxelles, en 2009, lors du congrès annuel des nations persécutées par les Etats dits « centraux ». Il est intégré dans le Livre Bleu de la Bretagne. Le monde entier est au courant de ces horreurs ; il a fallu une volonté de fer pour les faire connaître. Plusieurs pays nous ont aidés à diffuser ce rapport partout, par Internet : la Russie, le Canada, l’Allemagne, la Suisse, la Catalogne, la Kabylie ….. Il est plus que jamais d’actualité. La France avait réussi, en se répandant en Europe avec ses armées, et dans le monde en colonisant un territoire de 10 millions de kilomètres carrés, soit 20 fois sa superficie, à accréditer des mensonges monstrueux. Le plus stupide : alors que les droits de l’homme commencent leur long parcourt deux mille ans avant le Christ, et que la religion chrétienne a énoncé d’une manière claire toutes les libertés individuelles, dans le strict respect de la personne humaine, la France a voulu faire accroire qu’elle les a inventés !!! Ce roman a convaincu jusqu’à ces dernières décennies les naîfs, les faibles, les insuffisants de l’esprit. Il est demandé à tous les Bretons du monde de le diffuser, jusqu’à la fin des temps, afin que le vrai visage du pays des doigts de l’homme soit définitivement mis à nu, et que les droits des Bretons leur soient intégralement restitués par le colonisateur). Je dédie la réédition de ces extraits à M. Philippe de Grosvalet : son œuvre en faveur du rétablissement de la vérité historique pour nos petits Bretons de Nantes et de Loire Atlantique est si immense, qu’elle est connue même à l’étranger. La restauration de la vérité de l’histoire bretonne avance à grand pas. Même dans notre honorable université bretonne, on commence à comprendre qu’il n’y a jamais eu de traité de réunion de la Bretagne à la France en 1532, mais une brutale annexion, imposée par la force, la peur, l’achat des consciences. Honorable début, après tant d’inepties lues dans tous les livres. Le peuple français n’est pour rien dans ce qui nous est arrivé : nous avons été victimes de fous authentiques, ceci à partir de la révolution dite aujourd’hui des doigts de l’homme. …………………. 1 - LA BRETAGNE EST DÉTRUITE EN TANT QU’ENTITÉ POLITIQUE Civilisation antique, pourvue d’une culture spécifique, avec un sentiment d’appartenance très fort, bien qu’annexée par le royaume de France depuis 1491, bien qu’ayant souffert des rois français, la Bretagne avait réussi, après le règne sanglant de Louis XIV, à retrouver le droit de s’administrer elle-même, cela jusqu’à 1789 inclusivement. Elle gérait ses finances avec économie ; son opposition acharnée à l’oppression de la Cour de France lui avait permis de maintenir un niveau d’imposition de moitié inférieur à celui appliqué dans le royaume des Français. En 1789, divisée en départements, la Bretagne disparait de la carte politique. Son antique parlement - les « Etats de Bretagne » - est aboli. Elle perd tout droit de regard sur la législation appliquée sur son territoire, le droit de voter ses impôts, de gérer ses recettes fiscales et son économie, ainsi que de s’administrer elle-même… Dirigée par les fonctionnaires français chroniquement incompétents des ministères centraux, tous les postes importants sont attribués à des Français. Etant privée de toute initiative, elle s’étiole et s’enlise. Elle avait commencé à dépérir à partir du moment ou les bureaux de Colbert et de Louis XIV s’étaient emparés de son économie, l’avait pressurée d’impôs illégaux, avait saboté son économie en l’empê chant de commercer librement avec ses alliés commerciaux traditionnels, en particulier l’Angleterre. Les gouvernements français du XIXe siècle la transforment, par leur stupidité, en Ploukistan occidental de l’Europe occidentale. Les préfets jouent à la fois le rôle de courroies de transmission - toutes les décisions sont prises à Paris -, d’espions qui surveillent et dénoncent, et de pères fouettards. Les écoles, le clergé font l’objet d’une surveillance attentive. Rien n’a d’ailleurs vraiment changé : aujourd’hui, toutes les fonctions électives (celles de députés et des sénateurs, en particulier), sont « pré-sélectionnées » par les états-majors parisiens ; ce système suscite la risée, car cette pré-sélection est empoisonnée par une soumission quasi-aveugle. 2 - LA BRETAGNE EST DETRUITE EN TANT QUE NATION. Les « révolutionnaires » de Paris ont décrété qu’il n’y a, dans le territoire qu’on va prendre l’habitude de dénommer « l’hexagone », qu’une nation : la seule, l’unique, l’exemplaire, la géniale, le moule unique et universel : la Nation française - celle dont Nicolas Sarkozy a dit, ridiculement, qu’elle a été créée par l’ Etat (!) (comme si un Etat pouvait créer une Nation, il ne peut que la détruire, ce qu’il a tenté de faire en Bretagne !). Toutes les nations périphériques sont niées, néantisées, interdites d’exister : les Basques, les Flamands, les Béarnais, les Corses, les Savoyards, toutes nations plus anciennes que la Nation française. Les Français, par l’effet de cette bouffissure qui se développe à la faveur de l’enseignement du complexe de supériorité qu’on leur inculque dans les écoles, se transforment en nationalistes furieux, imbus d’un sentiment de mépris ridicule qui, aujourd’hui fait rire à leurs dépens. La Nation bretonne, la plus antique avec celle des Basques, est particulièrement persécutée, stigmatisée. Là où le nationalisme français est une éminente vertu, le nationalisme breton devient un crime, ce mot étant utilisé ici sans aucune forme d’exagération. Au nom du nationalisme français, la France s’autorise à conquérir de très vastes territoires, souvent à dépouiller les indigènes de leurs terres, ou les acheter, sous contrainte, pour des prix absurdement préjudiciables (en Algérie, 300 000 hectares changent de mains sous l’effet de cette politique). Même si l’œuvre coloniale comporte des éléments positifs par ailleurs - ce qui est indéniable -, elle est à base de sentiment de supériorité des colons, et de mépris des indigènes. Il est génial, à cette époque, d’ être un nationaliste français, il est criminel d’être un nationaliste breton. L’un des auteurs du présent rapport, avait, dans sa jeunesse, été endoctriné avec tant de répulsion et de dégoût contre ceux qu’on nommait « nationalistes » en Bretagne, qu’il disait : « Qu’on m’en montre seulement un : je le fusillerai ». Il est aujourd’hui mieux que Furet, mieux qu’Ozouf, et bien d’autres, qui ont fait leur mea culpa : il est fier d’avoir vu clair à temps dans le jeu obscène du pays colonial. Sur sa carte de visite, il a écrit « M. D., nationaliste breton ». Le fait est qu’aujourd’hui encore, taxer les Bretons de nationalistes est une injure. Cela mérite le mépris lorsque cela vient d’un quelconque Mélenchon, qui admire « l’œuvre civilisatrice » de la Chine au Tibet (voir ses propos lamentables sur Internet). 3 - La LANGUE ET LA CULTURE FONT L’OBJET D’UN ASSASSINAT ORGANISÉ LIRE LA SUITE SUR LA TOILE, et diffuser partout : c'est de la Dignité de l'homme qu'il s'agit. A travers le martyre breton, tous les habitants de la planète sont concernés.
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